Nora ANSELL-SALLES

vendredi 13 décembre 2013

MINE D'INFOS: Résultats étude Ifop/UPSA : Petits maux de l’hiver...

MINE D'INFOS: Résultats étude Ifop/UPSA : Petits maux de l’hiver...: Petits maux de l’hiver : 32% des Français ont peur de contaminer leurs enfants et leurs proches¹     Résultats de l’étude If...

Résultats étude Ifop/UPSA : Petits maux de l’hiver : 32% des Français ont peur de contaminer leurs enfants et leurs proches


Petits maux de l’hiver :

32% des Français ont peur de contaminer leurs enfants

et leurs proches¹

 

 Résultats de l’étude Ifop / UPSA1

 

Froid, manque de soleil, fatigue… L’hiver pointe son nez et les microbes ne sont pas en reste. Difficile de passer le cap sans avoir le nez qui coule, les yeux larmoyants, la gorge qui pique. D’après une étude Ifop / UPSA¹, seuls 16% des Français affirment tomber systématiquement malade en hiver¹ et pourtant ils sont nombreux à avoir des appréhensions. Pour ne citer qu’un exemple, ils sont plus de 32% à avoir peur de contaminer leurs enfants et leurs proches1.

 

Comment éviter les petits maux de l’hiver ? Quelles astuces les Français emploient-ils pour éviter d’être contaminés par les microbes? 64% des personnes interrogées affirment se couvrir chaudement pour mieux se protéger du froid¹, 40% se lavent davantage les mains¹, 25% utilisent un remède de grand-mère¹ et 23% font une cure de vitamine C¹.

 

 Près d’1 Français sur 4 appréhende de ne pas pouvoir aller travailler lorsqu’il est malade en hiver¹

 

 Nez qui coule, fièvre, maux de gorge, fatigue… Être malade en hiver est loin d’être agréable même s’il ne s’agit que de petites maladies bénignes. Les résultats de l’étude Ifop / UPSA¹ révèlent que, 35% des Français, au total, craignent que leur pathologie traîne à cause du froid¹ ; 32% ont peur de contaminer leurs enfants ou leurs proches¹, 31%, au total, pensent qu’ils ne pourront pas effectuer les tâches quotidiennes¹ et 23%, au total, appréhendent de ne pas pouvoir aller travailler¹.

 

 Le froid, principal facteur responsable des maux en hiver¹

 

 Pourquoi attrape-t-on plus de maladies en hiver que le reste de l’année ? Notre système immunitaire est-il soumis à plus rude épreuve à cette période ?

Pour 34% des Français, le froid est le principal facteur expliquant que l’on tombe davantage malade en hiver¹ ; suivi de la contagion au travail (12%)¹, la promiscuité dans les transports en commun (11%)¹ et enfin la contagion à la maison (9%)¹.

 

Comment donc passer au travers des microbes ? Quelles astuces emploient les Français pour passer un hiver sans encombre ?

 

 

® 64% des personnes interrogées se couvrent bien pour éviter

de prendre froid¹

 40% se lavent plus souvent les mains¹

 30% mangent beaucoup de fruits et légumes¹

 25% utilisent un remède de grand-mère tel qu’une tisane, un grog….¹

 12% prennent des médicaments en automédication pour prévenir les maladies¹

 6% chauffent plus leur logement¹.

 

Les séniors* s’estiment moins sensibles aux microbes en hiver
Rhinopharyngite, rhume, toux, fièvre, états grippaux…. Même si 84% des Français affirment avoir déjà passé un hiver sans tomber malade¹, seulement 16% des personnes interrogées n’y échappent pas chaque hiver¹. D’après l’étude Ifop / UPSA¹, les seniors apparaissent comme les personnes les moins promptes à être atteintes de maux en hiver. 51% d’entre eux déclarent avoir passé de nombreux hivers sans être malade (contre 35% en moyenne)¹.
En revanche, les femmes âgées de moins de 35 ans semblent être plus sensibles aux microbes : un tiers d’entre elles n’a jamais passé un hiver sans tomber malade¹.

1 Etude réalisée par l’Ifop pour UPSA auprès d’un échantillon de 1 014 personnes - représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus – par questionnaire auto-administré en ligne. Du 18 au 20 septembre 2013.

*Les séniors représentent ici les Français de 65 ans et +.

 

 

MINE D'INFOS: Enquête ESSEC : A votre santé!

MINE D'INFOS: Enquête ESSEC : A votre santé!: Dans le cadre de ma thèse de Master ESSEC avec Gérard de Pouvourville, je mène une enquête  anonyme ,  simple  et très rapide ( 2 min . ...

Enquête ESSEC : A votre santé!


Dans le cadre de ma thèse de Master ESSEC avec Gérard de Pouvourville, je mène une enquête anonymesimple et très rapide (2 min. maximum, garanti :-)) sur vos habitudes de santé.

 

Auriez vous la gentillesse d'y répondre? 

 


 

 Je vous remercie énormément par avance pour votre collaboration,

 

N'hésitez pas à me contacter si je peux vous rendre service à mon tour, ce serait avec plaisir.

 

Un grand merci d’avance

 

Pauline HURET

Pharmacien /Master ESSEC

Libres propos Leciss : Hostilités ?


Le président du comité économique des produits de santé a déclaré, le 3 décembre 2013, devant la représentation nationale qu’il était hostile à la nomination de représentants des usagers au comité économique des produits de santé au motif que l’on y prenait des décisions et non des avis, d’une part ; et que la présence de tels représentants n’était pas souhaitable compte tenu de l’atteinte potentielle, du fait de leur simple présence, à la protection des secrets de l’industrie, d’autre part.

 

On en suffoque…

 

Au moment où la ministre des affaires sociales et de la santé, elle-même, propose de faire de la démocratie sanitaire le troisième pilier de la stratégie nationale de santé, on s’étonne de tels propos par une personnalité nommée par la ministre elle-même à la présidence de ce comité.

 

D’autant que cette représentation des usagers découle d’un principe général codifié à l’article L. 1114-1 du code de la santé publique. Et que les dispositions codifiées ne prévoient pas de distinguer entre les lieux où les représentants des usagers sont admis selon qu’il s’y prend des décisions ou des avis. D’ailleurs, chacun observera que les représentants des usagers sont bien membres de lieux de décision : comme les conseils d’administrations de l’Inpes, de l’Invs et de la CNSA ! Tout comme ils sont aussi membres de nombreux lieux d’émission d’avis : le Hcaam, Hcfips, le conseil de la CNAMTS, et tant d’autres.

 

On a honte…

 

De voir qu’un haut fonctionnaire s’abandonne à penser que par nature certains membres d’instances décisionnelles, parce qu’ils ont la qualité de représentant des usagers, seraient, par destination en quelque sorte, quasi naturellement sans doute ( ?), les auteurs potentiels d’infractions au secret de l’industrie. Ce qui fait la « balance » ce n’est pas son statut, quel qu’il soit, mais son comportement délictuel !

 

On réclame…

 

Le CISS réclame l’application de la loi et demande plus que jamais que le principe général dégagé par le législateur à l’unanimité des deux chambres lors du vote de la loi du 4 mars 2002 soit appliqué sans réserve, y compris pour toutes les instances qui ont vocation à se prononcer sur ce qui concerne les conditions de prise en charge des patients : le comité économique des produits de santé (CEPS) ; le haut conseil de la santé publique (HCSP) ; la commission de la transparence (CT), la commission nationale d’évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé (Cnedimts) et le collège de la Haute autorité de santé.

 

 

La prochaine désignation des membres du collège de la Haute autorité de santé sera l’occasion de voir si les actes suivent les paroles… et la .

 

 

  

L’UNSSF : vers la création d’une filière médicale au sein de la fonction publique hospitalière.

 
 


L’Union nationale et syndicale des sages-femmes a participé mardi 10 décembre à la deuxième réunion de concertation sur la reconnaissance statutaire des sages-femmes et la concertation va se poursuivre. Nous sommes dans une phase de discussion et en recherche de consensus.

Un consensus semble possible autour de la création d’une filière médicale au sein de la fonction publique hospitalière.

La création d’une filière médicale au sein de la FPH, filière réservée exclusivement aux personnels médicaux, aura l’avantage de reconnaître la spécificité médicale de la profession, de garantir un statut unique, une égalité de traitement sur l’ensemble du territoire, et de permettre d’établir de nouvelles grilles salariales en phase avec nos responsabilités.

Il est important à ce stade, de repréciser que ces réunions ont pour objectif de rendre des propositions à la ministre le 20 décembre prochain. Dans un deuxième temps un arbitrage gouvernemental aura lieu.

Au cours de la réunion, les revendications portant sur le premier recours et la visibilité de la profession ont également été débattues.

Une unité syndicale émane du groupe dans la création d’unités sages-femmes gérées par les sages-femmes. L’UNSSF rappelle qu’à ce jour la législation permet déjà aux sages-femmes de pouvoir gérer des unités fonctionnelles au sein des hôpitaux. Les sages-femmes sont le premier acteur de premier recours pour les femmes en bonne santé et les grossesses à bas risques.

Nous soulignons la volonté du ministère de faire avancer ce groupe de travail dans l’intérêt de toutes les sages-femmes.

Les discussions se poursuivent et l’UNSSF continuera à porter son projet dans la prochaine réunion du 16 décembre 2013.


 

MINE D'INFOS: Encres de tatouage couleur, le bout du tunnel ?

MINE D'INFOS: Encres de tatouage couleur, le bout du tunnel ?: L’Association Tatouage et Partage*, à la demande du Sénateur-Maire Pierre Jarlier**, a été reçue ce 12 décembre au   Ministère de la San...

MINE D'INFOS: MSF appelle à un changement urgent et radical de l...

MINE D'INFOS: MSF appelle à un changement urgent et radical de l...: Bruxelles, 12 décembre 2013 – Les agences humanitaires onusiennes viennent de décider de mobiliser davantage de moyens et de ressources...

MSF appelle à un changement urgent et radical de la réponse humanitaire des Nations-Unies en République Centrafricaine


Bruxelles, 12 décembre 2013 – Les agences humanitaires onusiennes viennent de décider de mobiliser davantage de moyens et de ressources pour répondre à la crise humanitaire en Centrafrique. Selon Médecins Sans Frontières (MSF), qui adresse aujourd’hui une lettre ouverte à Valérie Amos, Secrétaire générale adjointe des Nations-Unies chargée des Affaires Humanitaires, cette décision doit se concrétiser sur le terrain compte tenu des difficultés rencontrées jusqu’à présent  par les agences onusiennes pour apporter une réponse adaptée à la gravité et à l’ampleur des besoins.

 

L’Inter-Agency Standing Committee (IASC), un forum décisionnel impliquant les principales agences humanitaires onusiennes, a décidé le renforcement de la réponse humanitaire des Nations-Unies en Centrafrique. Ce qui signifie concrètement pour les agences des Nations-Unies, davantage de ressources et de moyens pour apporter une réponse adaptée à la crise humanitaire en Centrafrique. Mais cette décision arrive très tard.

 

Beaucoup auraient dû être déjà fait au regard de la dégradation de la situation humanitaire en Centrafrique depuis plusieurs mois. « Cette décision tardive doit maintenant  être suivie d'effet et initier un changement radical et immédiat dans la façon dont les agences humanitaires onusiennes ont jusqu'à présent répondu à la crise » explique Bart Janssens, directeur des opérations à MSF.

 

Aujourd’hui, environ 30.000 personnes survivent sur le site de l’aéroport de Bangui. Sur le terrain, MSF a alerté plusieurs fois les agences des Nations Unies, demandant que de la nourriture, des tentes et du matériel d’hygiène soient immédiatement déployés, mais sans qu’aucune réponse concrète ne puisse être apportée.

A Yaloké et Bouca, où la situation est critique, et en dépit de nos demandes répétées, les agences des Nations Unies ne sont toujours pas intervenues.

 

Lors des récents évènements à Bossangoa, MSF a pris en charge des dizaines de blessés et continuer à creuser des latrines et assurer un accès à l’eau potable aux personnes déplacées alors que les agences onusiennes ont cessé toute activité de distribution de nourriture pendant 4 jours. Ces activités sont pourtant cruciales pour les 30.000 personnes réfugiées auprès de la Mission Catholique.

 

Les activités des agences onusiennes ont été jusque-là insuffisantes et plusieurs fois interrompues et leurs équipes retirées – parfois pour une longue période, perturbant le déploiement et la réponse aux besoins des populations centrafricaines. « Malgré ses efforts importants, MSF - et les rares ONG  présentes - ne peuvent pas couvrir tous les besoins. Les agences des Nations Unies doivent maintenant apporter une réponse  solide et concrète à la hauteur des besoins » affirme Janssens.  

Depuis des mois MSF a alerté sur la situation humanitaire catastrophique en Centrafrique et a montré qu’il était possible de travailler et d’étendre ses activités humanitaires dans le pays malgré les conditions sécuritaires difficiles.

 

Présent en RCA depuis 1997, MSF gère actuellement sept projets réguliers (à Batangafo, Boguila, Carnot, Kabo, Ndéle, Paoua et Zémio) et quatre projets d’urgence (à Bangui, Bossangoa, Bouca et Bria). De plus, une équipe d’urgence mobile couvre les zones de Bouar, Yaloké et les camps de déplacés de Bangui. D’ici la fin de l’année, MSF espère pouvoir initier des activités dans les hôpitaux de Bangassou et Ouango. Au total, nous offrons aujourd’hui des soins médicaux gratuits à environ 400 000 personnes ; proposons une capacité hospitalière d’environ 800 lits ; travaillons dans 7 hôpitaux, 2 centres de santé et 40 postes de santé ; et comptons plus de 100 personnels expatriés et environ 1 100 personnels centrafricains dans nos équipes.

Contact Presse
Amélie Ketoff
amelie.ketoff@paris.msf.org
Charlotte Nouette-Delorme
presse-msf@paris.msf.org

 

 

 

Encres de tatouage couleur, le bout du tunnel ?


L’Association Tatouage et Partage*, à la demande du Sénateur-Maire Pierre Jarlier**, a été reçue ce 12 décembre au  Ministère de la Santé par Jérôme Salomon, Conseiller chargé de la sécurité sanitaire auprès de la Ministre de la Santé, Marisol Touraine, et Gabriel Attal, Conseiller parlementaire. Stéphane Chaudesaigues, Président de Tatouage et Partage, association de tatoueurs professionnels, a pu présenter, au nom de ses collègues, leurs doléances et leurs propositions concernant les encres de tatouage. Mais aussi, plus largement, évoquer les conditions de l’exercice leur  métier. Une rencontre technique et très constructive

Des demandes justifiées
Bien consciente de l’intérêt de la mise en place d’une législation protégeant les personnes désireuses de se faire tatouer, l’Association Tatouage et Partage, par la voix de son Président, a cependant émis des remarques sur cette législation et le contrôle de son application par les services de l’Etat.
Stéphane Chaudesaigues reconnaît qu’il est indispensable que les fabricants d’encre fassent preuve de la plus grande transparence en ce qui concerne la composition de leurs encres et que leur étiquetage soit conforme au règlement CE 1272/2008.


Les arrêtés du  6 mars 2013 et du 6 février 2001 posent question tant dans les produits reconnus comme dangereux que dans leur application et leur cohérence avec la réglementation communautaire à laquelle ils font référence.


L’arrêté du  6 mars 2013 désigne les substances ne pouvant entrer dans la composition des produits de tatouage en énumérant 7 listes correspondant à des motifs différents. Stéphane Chaudesaigues a demandé, lors de cet entretien, la confirmation qu’il s’agissait bien de listes négatives et qu’en aucun cas l’arrêté ne faisait référence à une liste positive exhaustive comme semblaient le penser certains services de l’Etat.


Bien évidemment, Tatouage et partage reconnaît l’exclusion des substances classées en catégorie 1 dans la classification CMR. Stéphane Chaudesaigues a réclamé, par contre, que pour certaines substances qui sont déjà utilisées depuis longtemps dans les encres de tatouages, conformément à l’alinéa 5 du paragraphe 4 de l’annexe de la ResAP(2008)1, l’Etat français reconnaisse la possibilité d’une étude prouvant l’innocuité de certains pigments interdits dans le tableau 2 de la présente annexe ou dans les colonnes 2 à 4 de l’annexe de la directive 76/768/CEE, si cette innocuité est établie sur la base de données complémentaires obtenues dans les conditions d’utilisation de ces pigments dans les tatouages. Aux USA, la FDA*** a opté pour une position similaire.
L’Association Tatouage et Partage souhaiterait être associée aux travaux menés sur le tatouage dans les différents comités, commissions, groupes, en tant qu’expert capable d’apporter sa connaissance de la pratique du tatouage et des pratiques du terrain.
Stéphane Chaudesaigues suggère que, plutôt qu’une interdiction totale à partir d’une liste, l’attention des candidats au tatouage soit attirée sur les risques allergènes de certains produits utilisés ; voire, pour les sujets présentant un terrain sensible, la présentation d’un certificat médical établi par un allergologue ou un dermatologue. De nombreux  produits alimentaires sont connus pour produire des réactions allergiques graves (gluten, arachide, …). Ils ne sont pas interdits pour autant et sont même à portée de main des enfants, notamment dans les cantines scolaires.
Tatouage et Partage souhaite la mise en place d’un véritable statut d’artisan tatoueur, comprenant l’obligation d’une formation par apprentissage pour les candidats tatoueurs, sanctionnée par un diplôme d’Etat reconnu,  type CAP. Les conditions actuelles d’installation pour les tatoueurs, exigeant une attestation de présence à une formation de 3 jours sur l’hygiène et une simple déclaration en Préfecture semblent être vraiment dérisoires en termes de sécurité sanitaire. Il y a une vraie disproportion entre le régime de précaution ultra sécuritaire sur la composition des encres et les risques sanitaires infectieux et de contaminations dus à de mauvaises pratiques par des personnes mal formées voulant pratiquer le tatouage.

Un Cabinet particulièrement à l’écoute
Pierre Jarlier et Stéphane Chaudesaigues ont été reçus par Jérôme Salomon et Gabriel Attal, en présence, notamment, de Frédéric Garron, Chef du Bureau des dispositifs médicaux et autres produits de santé de la Direction Générale de la Santé.
Monsieur Salomon a commencé par faire un tour d’horizon de la législation sur le tatouage et la mise en place de la transcription de la législation européenne dans la législation française.
Gabriel Attal avait déjà évoqué le sujet du tatouage avec Madame la Ministre de la Santé et il a tenu à préciser que le Ministère de la Santé n’avait rien contre la pratique du tatouage et les tatoueurs.

Le Sénateur Jarlier a mentionné ses inquiétudes sur l’application de cette règlementation telle qu’elle est comprise, à ce jour, dans le milieu du tatouage, ainsi que ses craintes du passage à la clandestinité des tatoueurs couleur.
Stéphane Chaudesaigues, en tant que Président de l’association Tatouage et Partage, a pu questionner les membres du Cabinet sur l’application de l’arrêté du 6 mars 2013.
Jérôme Salomon a confirmé qu’il n’existait pas et qu’il n’existerait pas de liste positive des pigments de couleur.
L’arrêté prévoit uniquement un certain nombre d’interdictions, comme prévu dans la législation communautaire. De ce fait, tout pigment qui n’est pas interdit dans les listes figurant dans l’arrêté est donc autorisé.


Sur les autres points abordés, il a demandé à Tatouage et Partage que lui soient transmises des questions écrites, précises, afin qu’il soit possible d’y apporter des réponses. Mais, d’ores et déjà, il annonce que viendra au Parlement une Loi qui transcrira l’ensemble de la législation communautaire sur le tatouage.


Le Cabinet a pris l’engagement de répondre par écrit à toutes les questions abordées pendant l’heure et demi de rendez-vous, dans les jours qui viennent. Par ailleurs, le Cabinet s’est également étonné de ne pas avoir eu de proposition officielle de la part du SNAT, suite au délai d’application qui lui avait été accordé.


Il y a désormais bon espoir, après les informations apportées par Tatouage et Partage, que la législation française soit en conformité avec la législation des autres pays européens, notamment l’Allemagne, qui permet d’utiliser un certain nombre d’encres couleur correspondant aux besoins des tatoueurs.


Le Cabinet et la DGS, au regard de la qualité professionnelle et technique des échanges avec  Tatouage et Partage, ont proposé à Stéphane Chaudesaigues, Président de l’association, de rester en contact afin de poursuivre ce type d’échanges fructueux sur l’évolution de la règlementation
. Et, ce, afin d’éviter, à l’avenir, tout quiproquo préjudiciable à tous.


* Tatouage & Partage est une association dont l’objectif est la pérennité du métier de tatoueur, sa reconnaissance, et son ancrage dans l’avenir. Des ateliers dirigés par les meilleurs tatoueurs sont organisés permettre d’assister à des master class menées par les plus grands maîtres de la discipline, le tout dans une ambiance chaleureuse, décontractée, en petit comité et profondément enrichissante. Jeff Gogue, Joe Capobianco ou encore Shane O’Neill ; autant de grands noms du tatouage international qu’il est très difficile, pour ne pas dire impossible, de croiser un jour lorsque l’on exerce son art en France et qui se sont prêtés au jeu du partage d’expérience. Tatouage & Partage, présidé par Stéphane Chaudesaigues, se bat pour une reconnaissance toujours plus accrue du métier de tatoueur, et contre les aberrations encore inhérentes à la profession. A l’heure actuelle, le statut-même de tatoueur, en France, est un grand flou. Tatouage et Partage lutte pour que les autorités permettent aux professionnels du tattoo de jouir du statut d’artisan. L’association se veut également une force d’opposition et de proposition face aux menaces pesant sur le tatouage, comme celle, majeure, de l’interdiction de la grande majorité des encres de tatouage couleur. Appuyé par un réseau dont la force va croissant, adossé àdes compétences techniques et relationnelles reconnues, Tatouage & Partage s’efforce de frapper aux bonnes portes et d’user des bonnes armes pour défendre les tatoueurs de France et d’ailleurs. Tatouage & Partage vise également à permettre une vraie transmission du métier de tatoueur, et à constituer un véritable pouvoir de défense des droits de ses travailleurs.
**Sénateur-Maire de Saint-Flour (15)
***Food and Drug Administration

Si vous ne souhaitez plus recevoir de communications de FESTIVAL DU TATOUAGE DE CHAUDES AIGUES, veuillez cliquer sur ce lien ici.FESTIVAL DU TATOUAGE DE CHAUDES AIGUES, Stéphane Chaudesaigues, CHAUDES AIGUES, auvergne 15100 France

Les Lauréats 2013 des Trophées APAJH


9è cérémonie des Trophées APAJH présentant les lauréats 2013

MINE D'INFOS: dnf - le grand projet que le monde entier nous env...

MINE D'INFOS: dnf - le grand projet que le monde entier nous env...: Les gestes d'ouverture du nouvel Hôtel-Dieu   12 décembre 2013 | Par Caroline Coq-Chodorge - Mediapart.fr   Faire coexiste...

dnf - le grand projet que le monde entier nous envie, ou : plus flou tu meurs


Les gestes d'ouverture du nouvel Hôtel-Dieu
 
12 décembre 2013 | Par Caroline Coq-Chodorge - Mediapart.fr

 

Faire coexister dans un même lieu l’hôpital et la médecine de ville, la recherche et les patients : une équipe de professionnels de santé dessine ce que pourraient être les nouveaux contours de l'Hôtel-Dieu. Depuis qu'il a pris la tête de l'AP-HP, Martin Hirsch démine le dossier et auditionne. Discrètement et sans argent.

Des urgences ou pas, un hôpital ouvert ou fermé, un avenir ou une mascarade ? Le brouillard flotte toujours autour de l’Hôtel-Dieu. Ce qui devrait nourrir un débat sur l’accès aux soins à Paris est en réalité un dialogue de sourds, un feuilleton aux rebondissements difficiles à suivre, dans le contexte des élections municipales. Résultats : les urgences ont fermé le 4 novembre, sans surprise, une consultation ouverte 24 heures sur 24 a pris le relais, en catimini, et quelques personnes travaillent, au secret, à une préfiguration d’un nouvel Hôtel-Dieu.

C’est de cette situation confuse que vient d’hériter le nouveau directeur général de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), Martin Hirsch. Avant lui, Mireille Faugère a payé ses relations difficiles avec la majorité socialiste à la mairie de Paris, qui soutient le projet du nouvel Hôtel-Dieu, mais ne veut pas froisser ses alliés écologistes et communistes, mobilisés contre la fermeture des urgences. Dès sa nomination, le 13 novembre, Martin Hirsch a largement consulté avant de se positionner le 5 décembre. Il abandonne « les arrière-pensées immobilières » du plan de Mireille Faugère : la vente du siège de l’AP-HP – un joli pâté de maisons en bord de Seine au centre de Paris – et son déménagement à l’Hôtel-Dieu. Martin Hirsch a fait une autre concession, de façade, aux défenseurs du service des urgences : le « service porte » est rouvert. C’est une salle où les patients sont placés en observation ou en attente d’une hospitalisation. Elle servira peu, car il n’y a plus d’hospitalisation possible à l’Hôtel-Dieu. Martin Hirsch a en effet confirmé la poursuite du transfert des derniers services d’hospitalisation dans d’autres hôpitaux parisiens : médecine interne, oncologie, diabétologie, etc. L’Hôtel-Dieu est désormais presque vide.

Jean-Christophe Allo, urgentiste, en charge de la nouvelle consultation ouverte 24 heures sur 24 à l’Hôtel-Dieu. © DR

 

Restent des centres de consultations – pour les jeunes, les populations précaires – et à la place des urgences, une « consultation 24 heures sur 24 ». La différence, de taille, c'est que les patients se présentent par leurs propres moyens. Les pompiers, les ambulances et le Samu n’amènent plus d’urgences graves. L’anesthésiste-réanimateur Jean-Yves Fagon fait la visite. Il est le responsable médical du nouvel Hôtel-Dieu. C’est un des professeurs qui compte à l’AP-HP. Nous avions visité les urgences en juillet, le service était calme, il l’est encore un peu plus aujourd’hui. Jean-Yves Fagon estime à « une soixantaine » le nombre de passages par jour, contre une centaine auparavant. C’est peu, mais il s’en satisfait pour l’instant, car cette consultation a été mise en place dans un contexte très polémique. « Nous avons décidé de ne pas communiquer », explique-t-il. Cela sera bientôt fait, Martin Hirsch l’a annoncé.

S'il n’y a plus de possibilité d’hospitalisation à l’Hôtel-Dieu, il reste un plateau technique important : radiologie, laboratoire d’analyse, scanner, IRM, échographie, etc. Pour répondre à quel niveau d’urgence ? Comment s’articule-t-il avec les urgences hospitalières et la médecine de ville ? Pour l’urgentiste Gérald Kierzek, défenseur de l’ancien Hôtel-Dieu, « c’est de la com, des demi-urgences, c’est dangereux. Cette consultation est vide quand les autres services d’urgence saturent ». Autre approche, tout aussi critique, du syndicat de médecins généralistes libéraux MG Paris : « L’accès dérégulé aux urgences, c’est plus de fric pour l’hôpital, qui ne fait jamais la promotion de nos maisons médicales de garde, s’énerve sa présidente Agnès Giannotti. Cette consultation 24 heures sur 24, c’est une désorganisation supplémentaire. »

La fréquentation des urgences progresse de 5 % par an en moyenne. À côté de réels cas graves, se présentent aussi ceux qui ne veulent pas ou ne peuvent pas avancer le prix de la consultation chez les médecins libéraux, ceux qui n’ont pas de médecin traitant ou s’orientent mal dans le système de soins. Et cela ne peut pas s’arranger car, côté médecine de ville, la situation se tend aussi. Paris est pourtant richement doté en médecins. Les généralistes, qui pour la plupart ne pratiquent pas de dépassements d’honoraires, sont encore nombreux. Mais l’Ordre des médecins prévoit une diminution de 30 % de leur nombre d’ici 2018.

L'expertise des malades

La faute à la situation financière fragile des centres de santé – nombre d'entre eux ont fermé ces dernières années – et au coût de l’immobilier qui freine l’installation des jeunes. Quant aux médecins spécialistes, leur nombre progresse, mais le prix de leur consultation aussi. Que choisir a réalisé l’an dernier une cartographie de la France sans dépassements d’honoraires : pour l’accès aux spécialistes, Paris est un désert médical.

 

La carte de la fracture sanitaire du magazine « Que choisir ».

Pour accéder à la carte, cliquer ici

Pour le repeupler, l’Hôtel-Dieu ambitionne de devenir un « centre de soins », offrant des consultations de médecine générale et spécialisée, sans dépassements d’honoraires ni avances de frais. Le projet est encore très ouvert : « Nous voulons construire une gouvernance partagée, avec les hospitaliers, les médecins de ville, les universitaires et les usagers », assure Jean-Yves Fagon.

 
 


Thomas Cartier, chargé de mission sur la médecine générale pour le nouvel Hôtel-Dieu © CCC

Thomas Cartier, jeune médecin généraliste récemment débauché du gros centre de santé de Gennevilliers, est chargé de piloter le volet médecine générale. Il fait le tour des centres de santé et des médecins de ville, pour tenter de les rallier : « C’est la première fois que l’AP-HP s’ouvre ainsi sur la ville, c’est une révolution culturelle. Mais les résistances sont fortes. »

Richard Lopez, président de la Fédération nationale des centres de santé, trouve « l’approche intéressante », en particulier la réflexion sur une nouvelle offre de consultations spécialisées : « Aujourd’hui, c’est une galère pour nos patients, la pratique des dépassements d’honoraires est déraisonnable. » Alain Beaupin, membre de l’Union syndicale des médecins de centre de santé et du comité de défense de l’Hôtel-Dieu, qui demande depuis des mois à l’AP-HP d’abandonner son projet de nouvel Hôtel-Dieu, le reconsidère aujourd’hui : « Fagon et Lombrail sont prêts à discuter. L’Hôtel-Dieu est une page blanche sur laquelle il est désormais possible de construire quelque chose de vraiment nouveau. Il ne faut pas manquer cette occasion. » Agnès Giannotti, présidente de MG Paris, syndicat qui promeut depuis des années de nouvelles formes d’exercice de la médecine générale, est de son côté très remontée : « De la médecine générale d’excellence à l’hôpital ? On rêve ! C’est dans nos cabinets qu’elle se fait. L’Hôtel-Dieu est en train de saper tous nos efforts. » Elle n’est pour autant pas totalement fermée au dialogue : « Si on construit ce projet, on le construit ensemble. On a besoin de l’hôpital, d’un accès à des consultations spécialisées. »

L’Hôtel-Dieu a une autre ambition encore : devenir un « hôpital universitaire de santé publique », en lien avec toutes les facultés de médecine d’Île-de-France. Il servirait de terrain de recherche et de stage pour les internes en médecine générale. Ce projet viendrait conforter une lente réhabilitation de cette discipline dans un pays qui a le système de santé le plus inégalitaire d’Europe : plus de six ans de différence d’espérance de vie entre un ouvrier et un cadre. Ces inégalités s’expliquent par la faiblesse des « soins primaires», en France, c’est-à-dire du premier niveau de contact de la population avec le système de santé.

 

Thomas Sannié, représentant des usagers à l’AP-HP et membre de l’équipe de préfiguration du nouvel Hôtel-Dieu © CCC

Un autre volet « expérimental » du projet du nouvel Hôtel-Dieu est porté par des représentants des usagers, intégrés à l’équipe de préfiguration, en premier lieu Thomas Sannié, le président de l’Association française des hémophiles, et représentant des usagers à l’AP-HP. « Avant, on mourait ou on guérissait d’une maladie, explique-t-il. C’est terminé. En Île-de-France, 15 personnes sur 100 ont une maladie chronique. Ils vivent avec leur pathologie, ils travaillent, ils aiment. » Il veut former à l’Hôtel-Dieu des « patients experts », qui pourront transmettre leurs connaissances de leur maladie à d’autres patients et aux professionnels. Aides, l’association de malades du sida, est également partie prenante : elle veut participer à la construction d’une « offre de soin potentiellement innovante pour les séropositifs ». « On ne manque pas d’hôpitaux en France, on a besoin d’une autre approche du soin », poursuit Thomas Sannié.

À l’intérieur de l’AP-HP, en déficit de 70 millions d’euros en 2013, c’est le coût de ce projet qui inquiète. En renonçant à la vente du siège, estimé à 150 millions d’euros, il s’est privé d’une garantie financière. Le 10 décembre, Martin Hirsch a expliqué ses choix pour l’Hôtel-Dieu à la commission médicale d’établissement, qui représente les médecins de l’AP-HP. Son président Loïc Capron raconte : « Martin Hirsch nous a expliqué qu’il trouverait d’autres sources de revenus, ce qui nous a fait un peu sourire. Pour l’instant, il n’y a pas de budget pour le nouvel Hôtel-Dieu. »  « Personnellement », Loïc Capron est « favorable » à ce projet : « C’est l’occasion de développer un prototype de coopération ville-hôpital. Je serais très heureux de voir enfin ces deux médecines travailler ensemble. »

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Avec plus de 9 000  vues cette dépêche publiée le 24 octobre 2012  est en tête.


 




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