Nora ANSELL-SALLES

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dimanche 7 janvier 2024

Urgence sans abri : #Paris17


L'appel de l'Abbé Pierre, du 1er février 1954

Une série de drames pousse l’abbé Pierre à se faire entendre auprès des politiques. Le 1er février 1954, il lance son célèbre Appel, sur les ondes de Radio Luxembourg, créant ce qu'on appellera "l'insurrection de la bonté".


"Mes amis, au secours... Une femme vient de mourir gelée, cette nuit à trois heures, sur le trottoir du boulevard Sébastopol, serrant sur elle le papier par lequel, avant hier, on l'avait expulsée...

Chaque nuit, ils sont plus de deux mille recroquevillés sous le gel, sans toit, sans pain, plus d'un presque nu. Devant tant d'horreur, les cités d'urgence, ce n'est même plus assez urgent !

Écoutez-moi : en trois heures, deux premiers centres de dépannage viennent de se créer : l'un sous la tente au pied du Panthéon, rue de la Montagne Sainte Geneviève ; l'autre à Courbevoie. Ils regorgent déjà, il faut en ouvrir partout. Il faut que ce soir même, dans toutes les villes de France, dans chaque quartier de Paris, des pancartes s'accrochent sous une lumière dans la nuit, à la porte de lieux où il y ait couvertures, paille, soupe, et où l'on lise sous ce titre « centre fraternel de dépannage », ces simples mots : « Toi qui souffres, qui que tu sois, entre, dors, mange, reprends espoir, ici on t'aime »

La météo annonce un mois de gelées terribles. Tant que dure l'hiver, que ces centres subsistent, devant leurs frères mourant de misère, une seule opinion doit exister entre hommes : la volonté de rendre impossible que cela dure. Je vous prie, aimons-nous assez tout de suite pour faire cela. Que tant de douleur nous ait rendu cette chose merveilleuse : l'âme commune de la France. Merci ! Chacun de nous peut venir en aide aux « sans abri ». Il nous faut pour ce soir, et au plus tard pour demain : cinq mille couvertures, trois cents grandes tentes américaines, deux cents poêles catalytiques.

Déposez-les vite à l'hôtel Rochester, 92, rue de la Boétie. Rendez-vous des volontaires et des camions pour le ramassage, ce soir à 23 heures, devant la tente de la montagne Sainte Geneviève. Grâce à vous, aucun homme, aucun gosse ne couchera ce soir sur l'asphalte ou sur les quais de Paris.

Merci !"



HIVER 2024 : 70 ANS PLUS TARD...

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Urgence sans-abri dans le 17e arrondissement
Mise à jour le 23/06/2023


Chères habitantes, chers habitants,
Vous êtes nombreux à me solliciter, ou les membres de l’équipe municipale du 17e, au sujet de campements de sans-abri. Comme vous, je déplore ces situations inhumaines, indignes et je mesure votre incompréhension.
Tous les mois, à la mairie, avec Lourdes Fernandes, mon adjointe en charge de la lutte contre l’exclusion, nous organisons une réunion de coordination des maraudes pour faire un point sur chaque situation signalée. Nous comptons dix équipes de maraudes qui sillonnent le 17e du lundi au dimanche pour aller à la rencontre des personnes de la rue.
L’État, et seulement lui, a la compétence en matière d’hébergement d’urgence. C’est pourquoi j’ai de nouveau saisi le Préfet de Région pour notamment lui demander de doublonner le numéro d’urgence 115, aujourd’hui saturé d’appels. Dans le même esprit, j’ai sollicité la Première Ministre afin qu’elle mette en place une mission interministérielle d’urgence pour que les ministres concernés par cette problématique puissent rapidement identifier des solutions pérennes.
Toutefois, lorsque vous nous signalez une ou plusieurs personnes à la rue, dans un campement, j’appuie évidemment votre demande auprès du Secrétariat Général de la Ville de Paris. Mais l’éviction des tentes relève d’une décision de justice, qui détermine le statut ou non d’habitation de la tente. La Ville de Paris procède ensuite à l’éviction si l’occupation de l’espace public est bel et bien considéré comme illicite.
Tous les partenaires - équipes médico-sociales, travailleurs sociaux, police nationale, pompiers, la mairie d’arrondissement, la maire de Paris - sont mobilisés pour répondre à une situation sociale préoccupante.
Avec l’équipe municipale, nous restons à votre écoute et à votre disposition.

Geoffroy Boulard,
Maire du 17e arrondissement

Crédit photo :Mairie du 17e
 

jeudi 12 juin 2014

APPEL DES ETUDIANTS MUTUALISTES



Pour répondre aux aspirations des jeunes, renforçons l'outil de leur autonomie !

Frappée par la précarité, notre génération paie depuis plusieurs années les conséquences d’une crise dont elle n’est pas responsable. 1 jeune sur 4 est au chômage et 22,5% d’entre nous vivent sous le seuil de pauvreté. Notre génération ressent d’autant plus durement la précarité qu’elle ne bénéficie pas d’un statut social protecteur.

A mesure que le mandat de François Hollande avance, l’espoir de vivre mieux en 2017 qu’en 2012 s’amenuise. Les seules actions du gouvernement, sur le plan sanitaire notamment, se résument
à une succession de mesurettes qui ne permettent pas de répondre à nos aspirations. Dernier exemple en date : l’ouverture de la CMU – C aux seuls 2600 étudiants les plus précaires, lorsque nous demandions que des dispositifs d’aide à l’acquisition d’une complémentaire santé soient ouverts à l’ensemble des étudiants.

Si nos combats mutualistes ont permis d’obtenir des avancées conséquentes, comme le remboursement à 100% de l’IVG, la principale logique poursuivie par ce gouvernement est celle de la réduction des déficits enfermant l’ensemble des politiques publiques dans une logique d’austérité. Les dépenses de protection sociale sont particulièrement visées, ainsi c’est plus de 10 milliards d’euros de réduction de dépenses qui sont demandées à l’Assurance Maladie dès l’année à venir. C’est dans ce contexte que l’ensemble des régimes délégués de protection sociale est remis en cause, au premier rang desquels se trouve le régime étudiant de sécurité sociale (RESS).

Après des années d’affaiblissement du régime étudiant, c’est donc le gouvernement de la priorité à la jeunesse qui s’apprête à lui donner le coup de grâce. En refusant de prendre ses responsabilités, il s’apprête à remettre en cause le seul outil, qui, géré par les étudiants, nous permet de pouvoir prendre en main nos propres affaires, démocratiquement. Le seul outil qui, adapté à nos besoins, nous permet d’être accompagnés dans nos démarches de santé et dans l’acquisition de bonnes habitudes de santé. Intégré au régime général, il nous inclut dans la solidarité nationale.

Nous refusons de laisser le gouvernement sacrifier le régime étudiant pour quelques millions d’économie. Jeunes en formation, en insertion, salariés ou chômeurs, nous aspirons tous à accéder à notre autonomie et à ne pas être considérés comme des ayants droits sous la responsabilité de nos parents. Nous ne ferons pas le jeu de la résignation. Nous ne pouvons accepter que la seule réponse du gouvernement se résume à une réponse comptable vis à vis du régime. Nous refusons les débats dont le seul prisme est celui de la réduction des dépenses publics.

Elus étudiants de la LMDE, nous assumons le mandat que nous ont donné les étudiants et partons à la conquête de leur autonomie. Réunis en Assemblée générale les 6 et 7 juin 2014, nous exigeons du gouvernement qu’il prenne les décisions permettant de préserver l’autonomie des jeunes et de répondre à leurs besoins sanitaires et sociaux. Nous revendiquons :
 


Que dès à présent, toutes les mesures soient prises pour pérenniser le régime étudiant, en préservant avant tout la gestion étudiante ;
Une réforme ambitieuse du régime étudiant de sécurité sociale qui passe notamment par un financement à hauteur de ses besoins et le retour à un opérateur unique de gestion du régime étudiant ;

Une augmentation des moyens alloués à la prévention et à l’expertise ;

La délégation de nouvelles missions au régime, lui permettant réellement de prendre en charge les risques sociaux auxquels les jeunes sont soumis.


 
Qu’est ce que la LMDE ?
Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la sécurité sociale et la mutuelle complémentaire de plus de 900 000 étudiants, elle intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants. La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431 791 672 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.



 
 Julien MILLION
 
Administrateur délégué en charge des Relations Presse
Bureau National
jmillion@lmde.com

 La Mutuelle des Etudiants-LMDE
Mutuelle soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité
SIREN : 431 791 672
Siège social : 37 rue Marceau 94200 Ivry-sur-Seine–
www.lmde.com
- Tél. : 09.69.369.601 (Coût d’un appel non surtaxé à partir d’un poste fixe depuis la France métropolitaine)



NDLR  : MGEFI et LMDE

Les droits Sécu de votre enfant changent                               
  • Foire aux questions pratiques Bloc de mise en avant
  • F.A.Q. Pratique Page de texte

  •  

    mercredi 16 octobre 2013

    C'est à lire : l'enquête esclusive de Martin Leprince sur l'affaire Carlton


    AUJOURD'HUI : APPEL DU RENVOI EN CORRECTIONNEL DANS L'AFFAIRE DU CARLTON - RENÉ KOJFER AU BAN DES MIS EN EXAMEN

    Aujourd'hui, la cour d'appel de Douai "examine  l’appel du renvoi en correctionnelle interjeté par quatre des quatorze mis en examen dans l’affaire de proxénétisme dite du Carlton de Lille, dans laquelle est poursuivie Dominique Strauss-Kahn." (AFP)

     


    Parmi ces mis en examen se trouvent Dodo la Saumure, David Roquet et René Kojfer, chargé des relations publiques du Carlton de Lille.

     

    René Kojfer vient de sortir un livre qui s'intitule CARLTON, LE DOSSIER X DE DSK dans lequel il revient sur l'affaire. Accusé de proxénétisme, il plaide non coupable et évoque avec Martin Leprince une instrumentalisation politique de l'affaire dont il ne serait qu'une victime collatérale. La cible principale étant Dominique Strauss Kahn.

    vendredi 6 septembre 2013

    Appel urgent pour combattre le diabète


    Sur 3,5 millions de personnes diabétiques en France, plus de 700 000 ignoreraient qu'elles sont atteintes.

    Ces 700 000 personnes courent un danger car le diabète se développe sournoisement et peut entraîner des dégâts irréversibles : cécité, amputations, accidents cardio-vasculaires...

    Encore plus grave : le diabète est en progression constante et l'on prévoit que le nombre de cas va doubler dans les 10 prochaines années soit quelques 6 millions de diabétiques en France.

    Aujourd'hui nous avons besoin de votre soutien, pour lancer un cri d'alarme, pour interpeller les acteurs de santé, pour promouvoir la prévention et le diagnostic précoce… Et pour aider la recherche à guérir le diabète.

    Cette année, les donateurs financent quatre grandes recherches prioritaires pour un budget total de 200 000 €. Ce sont des projets porteurs d'espoir en matière de prévention et de traitements pour des millions de malades.

     

    Aidez-nous à intensifier nos efforts. Aidez-nous à faire reculer l'épidémie
    et offrir
    un plus grand espoir de guérir du diabète.

    Quel qu'en soit le montant, votre geste est essentiel. D'avance, un immense MERCI
    Fédération  française des diabétiques

    66 %  du montant de votre don est déductible de vos impôts et ce jusqu’ 20 % de votre revenu net imposable. Ainsi, un don de 60 euros vous revient en réalité à 20,40 euros.

    jeudi 25 avril 2013

    LIBRES PROPOS signés du Pr Bernard GRANGER


    Alcoolisme : appel de personnalités en faveur du Baclofène


    PARIS - Une trentaine de personnalités dont de nombreux médecins ont dénoncé l'atermoiement des pouvoirs publics dans la mise à disposition du public du Baclofène, un médicament testé actuellement pour traiter l'alcoolo-dépendance, dans un appel rendu public mercredi.

    Alors qu'il existe un médicament susceptible d'aider une large proportion des patients alcoolo-dépendants, les pouvoirs publics font preuve d'atermoiements et freinent la mise à disposition de ce traitement pour tous ceux qui en auraient besoin, écrivent les signataires de l'appel qui demandent à l'agence du médicament (ANSM) d'autoriser une recommandation temporaire d'utilisation (RTU) dans les plus brefs délais pour ce médicament en attendant son autorisation de mise sur le marché (AMM).

    La RTU est une mesure qui peut être prise par l'ANSM lorsqu'il n'existe pas d'alternative thérapeutique appropriée disposant d'une AMM pour une pathologie donnée. Elle ne peut excéder une durée de trois ans. Une demande de RTU est actuellement en cours d'instruction à l'ANSM.

    Les signataires relèvent que plus de 100 personnes meurent prématurément chaque jour en France à cause de l'alcool, un fléau social de grande ampleur qui touche non seulement les patients alcoolo-dépendants mais également leur entourage.

    Parmi les signataires figurent notamment le professeur Didier Sicard, ancien président du Comité consultatif national d'éthique (CCNE), le Pr Bernard Debré, député UMP de Paris, et le Professeur Bernard Granger, professeur de psychiatrie à l'Université René Descartes (Paris).

    Deux essais cliniques sont en cours sur le baclofène, l'essai Bacloville, autorisé en avril 2012 par l'ANSM, et l'étude Alpadir, initiée en milieu hospitalier en octobre dernier.

    (©AFP / 24 avril 2013 16h11)

    Comité de  parrainage

     

    Appel en faveur du baclofène

     

    Plus de cent morts par jour ça suffit !

     

    Fin 2004, le professeur Olivier Ameisen publiait dans la presse scientifique le succès thérapeutique obtenu par le baclofène à hautes doses sur sa dépendance à l’alcool. En 2008, il publiait Le Dernier Verre, qui a popularisé cette découverte. Depuis, plusieurs publications scientifiques ont rapporté les effets favorables de ce traitement sur de larges cohortes de patients, alors que les résultats obtenus par les autres méthodes thérapeutiques sont largement inférieurs. Deux essais en double aveugle contre placebo sont en cours pour démontrer avec le plus haut niveau de preuves les effets du baclofène à hautes doses dans l’alcoolo-dépendance. Pendant ce temps-là, on considère qu’en France plus de 100 personnes meurent prématurément chaque jour à cause de l’alcool. L’alcool est aussi à l’origine de multiples drames, accidents de la route, violences conjugales, passages à l’acte auto ou hétéro-agressifs. C’est un fléau social de grande ampleur qui touche non seulement les patients alcoolo-dépendants mais également leur entourage. Alors qu’il existe un médicament susceptible d’aider une large proportion des patients alcoolo-dépendants, les pouvoirs publics font preuve d’atermoiements et freinent la mise à la disposition de ce traitement pour tous ceux qui en auraient besoin. L’Agence nationale de sécurité sanitaire doit autoriser une recommandation temporaire d’utilisation (RTU) dans les plus brefs délais en attendant l’autorisation de mise sur le marché.

     

    Il faut mettre un terme aussi rapidement que possible à ce retard aux conséquences

     

    graves pour les malades qui seraient sensibles au baclofène !

     

     

    Comité de Parrainage 

    Président : Pr Didier Sicard, ancien président du Comité consultatif national d’éthique

    Coordination : Pr Bernard Granger  (bernard.granger@cch.aphp.fr – tél : +33 6 71 68 40 77)

     

     

    Signataires de l’appel en faveur du baclofène

     

    Plus de cent morts par jour, ça suffit !

     

    Dr Xavier Aknine, médecin généraliste, président de l'ANGREHC (Association Nationale des Généralistes pour la Recherche et l'Etude sur les Hépatopathies Chroniques)

    Dr Renaud de Beaurepaire, psychiatre, centre hospitalier Paul Guiraud, Villejuif

    Dr Sibel Bilal, management de réseaux de santé, Paris

    Pr Jacques-Louis Binet, secrétaire perpétuel honoraire de l'Académie de médecine

    Madame Elisabeth Borrel, vice-présidente au Tribunal de Grande Instance de Bourg-en-Bresse

    M. Yves Brasey, vice-président de l'association Baclofène

    Dr Claude Bronner, médecin généraliste, président d'Union Généraliste

    Dr Didier Bry, directeur du Resad84 (Réseau santé addiction, VIH, Hépatites Vaucluse Camargue)

    Pr François Chast, université Paris Descartes, ancien président de l’Académie nationale de pharmacie

    M. Bernard Choquet, président de Créalis Médias

    Pr Bernard Debré, député

    Dr Gille Demigneux, médecin spécialiste de santé publique et alcoologue

    Pr Gérard Dubois, membre de l’Académie de médecine et ancien président de l’Alliance Prévention Alcool

    Dr Françoise Faisandier, médecine psychosomatique, nutrition et addiction, Paris

    Dr Pascal Gache, médecin alcoologue, Genève, ancien médecin des Hôpitaux Universitaires de Genève

    Mme Marion Gaud, vice-présidente et coordinatrice de l’association Aubes

    M. Jean-François Gomez, éducateur spécialisé et docteur en sciences de l'éducation

    Pr Bernard Granger, psychiatre, université Paris Descartes, AP-HP

    Mme Sylvie Imbert, présidente de l’association Baclofène

    Dr Bernard Joussaume, Président et co-fondateur de l’association Aubes

    Dr Paul Kiritzé-Topor, médecin généraliste et alcoologue

    Dr Patrick de La Selle, président du Réseau Addictions Baclofène

    M. Pierre Leclerc, coordinateur du Collectif « 7 ans, 100 000 morts »

    Pr Jean-Roger Le Gall, membre de l’Académie de médecine, ancien chef de service de réanimation médicale à l’hôpital Saint Louis

    P. Joël de Leiris, université de Grenoble

    Dr Denis Mechali, médecin, centre hospitalier de Saint Denis

    Pr A. Pélissolo, psychiatre, université Pierre et Maris Curie

    Pr T. Poynard, chef du service d’hépatologie de l’hôpital Pitié-Salpêtrière, université Pierre et Marie Curie

    Dr Annie Rapp, secrétaire générale du Réseau Addiction Baclofène, psychothérapeute, Paris

    M. Jean Marc Savoye, éditeur

    Pr Didier Sicard, président d’honneur du Comité consultatif national d’éthique

    Dr Philippe Viau, médecin généraliste libéral impliqué dans la prise en charge des dépendances

     

    Pour recevoir le programme de la journée Baclofène merci de prendre directement contact auprès de : bernard.granger@cch.aphp.fr

     

     
    Pour information, la dépêche AFP concernant l’appel ci-dessous, la liste provisoire des signataires et ci-joint le programme de la journée organisée à Cochin le 3 juin prochain, avec une conférence de presse prévue de 12 heures à 13 heures. Les intervenants de cette journée répondront aux questions des journalistes.
    Pr B. Granger.
     

     

    lundi 8 avril 2013

    Sidaction 2013 : Vous avez jusqu 'au 18 avril pour faire un don


    Après les trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

     

    Le soutien des médias partenaires

    Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

    L’appel à don

    Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

    Ne crions pas victoire trop vite

    Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

    Pour faire un don :

    Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

    Par Internet :


    Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

    Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS

     

     

    dimanche 7 avril 2013

    Sidaction 2013 : appel aux dons


    Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

    La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

     

    Le soutien des médias partenaires

    Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

    L’appel à don

    Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

    Ne crions pas victoire trop vite

    Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

    Pour faire un don :

    Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

    Par Internet :


    Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

    Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS

    samedi 6 avril 2013

    Sidaction 2013: tous les dons comptent...


    Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

    La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

     

    Le soutien des médias partenaires

    Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

    L’appel à don

    Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

    Ne crions pas victoire trop vite

    Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

    Pour faire un don :

    Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

    Par Internet :


    Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

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    vendredi 5 avril 2013

    Sidaction 2013 : c'est parti


    Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

    La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

     

    Le soutien des médias partenaires

    Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

    L’appel à don

    Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

    Ne crions pas victoire trop vite

    Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

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    jeudi 4 avril 2013

    Sidaction 2013 : J- 1


    Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

    La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

     

    Le soutien des médias partenaires

    Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

    L’appel à don

    Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

    Ne crions pas victoire trop vite

    Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

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    samedi 30 mars 2013

    Sidaction : 2013


     

     

     

     

    Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013

    La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5, 6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.

     

    Le soutien des médias partenaires

    Le Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite. Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision comme 6ter, D8 et D17.

    L’appel à don

    Le compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros. Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.

    Ne crions pas victoire trop vite

    Malgré les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les donateurs pour qu’ensemble et tous ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.

    Pour faire un don :

    Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)

    Par Internet :


    Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)

    Par courrier : Sidaction 228, rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS