Nora ANSELL-SALLES

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lundi 28 octobre 2013

L'article 12bis du PLFSS condamne la possibilité pour les pharmaciens d'enclencher une spirale vertueuse de décélération des prix et précarise grandement les 8000 emplois des dépositaires


En introduisant un article additionnel par amendement (n°809) qui crée une nouvelle taxe de 20% sur les ventes directes de produits de santé (sauf ceux listés à l’article L. 138-9 du code de la sécurité sociale), le gouvernement prend le risque de les condamner et de mettre en péril le métier des dépositaires de produits de santé. Cet amendement, qui modifie l’article L. 138-2, introduit donc une troisième taxe qui  va aboutir à l’inverse du but recherché, qui est de favoriser les économies sur les dépenses de médicaments :

 

-        il limite la régulation des dépenses de santé en interdisant la concurrence sur les coûts des traitements par les pharmaciens

-        il est mortifère pour un pan entier de la distribution des produits de santé en concentrant alors cette distribution entre les mains des grossistes-répartiteurs

-        ne pouvant plus mettre en concurrence les distributeurs, il contraint les pharmaciens à payer des frais de livraisons injustifiés aux grossistes


Les dépositaires, acteurs de la distribution des produits de santé ne représentent aucun coût pour l’assurance maladie. Travaillant par ordre et pour le compte des entreprises productrices de produits de santé, ils sont rémunérés par elles et ne pèsent donc pas sur les comptes de la Sécurité Sociale (définition ici). En taxant les ventes directes de produits de santé, le gouvernement prend le risque de mettre en situation extrêmement difficile un acteur de santé (puisque les dépositaires sont des établissements pharmaceutiques), assurant plus de 95% de la distribution des produits de santé à l’hôpital et acteur majeur des approvisionnements d’urgence sanitaire. En assurant une mutualisation des achats, il permet des coûts favorables au pharmacien d’officine ce qui assure une dynamique déflationnistes des prix des produits de santé (et tout particulièrement sur les produits non remboursés) par le jeu de la concurrence qu’il stimule.
 
Les dépositaires demandent donc le retrait de cet amendement et se tiennent à la disposition des parlementaires pour répondre aux questions qui se posent.

Jean-François Fusco
Président de LOGSanté

mercredi 10 juillet 2013

Chasse aux Jobs d’été et aux emplois de rentrée !


Booking d’emplois gratuit pour tous sur www.jobsbooker.com

Jobs Booker invite tous les chercheurs d’emploi et toutes les entreprises à tisser des liens durables sur sa plateforme innovante de recrutement. Les emplois se réservent dès maintenant !

Lassés des sites d’emploi austères et statiques proposant de répondre à des boîtes noires, pour des annonces où, parfois même, le nom du recruteur est caché?  Jobs Booker initie une nouvelle génération dans l’e-recrutement, où l’on peut désormais s’amuser à réussir !

Offrant une transparence totale du marché et créant un lien unique et permanent depuis la candidature jusqu’au terme du contrat de travail, Jobs Booker séduit déjà les entreprises, de plusieurs secteurs d’activité confrontées: au turn-over, à la pénurie, à la nécessité impérieuse de flexibilité,  comme à celle de rendre, sans délai, ses offres d’emploi visibles auprès du public recherché et réceptif.

Candidats : Posez vite vos options !  : Inscrivez-vous !

Lancée depuis 3 semaines, Jobs Booker apporte une solution concrète et immédiate aux deux problèmes essentiels reconnus de tous : le besoin de flexibilité et d'adéquation entre l’offre et la demande.

 Toutes les entreprises de France peuvent d’ores et déjà effectuer une demande d’inscription sur le site : https://www.jobsbooker.com/home/entreprise pour profiter de l’offre de gratuité réservée à leur secteur d’activité.

La candidature … le démarrage de l'aventure JobsBooker !

 « Alors que  tout se termine par la candidature (souvent un simple cv) sur un site d'annonce d'emploi, tout commence sur Jobs Booker » indique Stéphane Baurberg

Et ce, grâce à la possibilité après avoir candidaté :

Ø  De suivre le statut de sa candidature ;

Ø  de relancer le recruteur par message instantané ;

Ø  d’ajouter / de modifier / de retirer une pièce de son dossier ;

Ø  d'actualiser ses disponibilités (y compris sur toutes ses candidatures, de manière groupée) ;

Ø  d’organiser ses RDV et même de les effectuer en visioconférence, depuis sa candidature ;

Ø  de prendre des notes avant, pendant et après l’entretien pour conserver la mémoire de ses échanges au bon endroit, de façon sécurisée ;

Ø  de mettre à profit les conseils de son coach virtuel pour ne pas rester sur le bord de la route ;

Ø  de conclure ses contrats de travail ;

Ø  de rester en lien avec sa DRH, une fois recruté.

 

Jobs Booker permet de construire dans la durée un lien solide avec les recruteurs qu’il a choisi, à l’instar d’un réseau social privé, structuré, sécurisé, interactif et opérationnel d'un nouveau genre.

Unique - La transparence du marché :

 Sur Jobs Booker, au-delà des éléments classiques tels que la fonction, le type de contrat ou les dates du job, sont en effet dévoilés aussi bien le nom du recruteur final, la base fixe de salaire mensuel pour un temps plein, le volume horaire proposé, l’emploi du temps du job (et la compatibilité avec l’emploi du temps du candidat), les niveaux d’étude et de compétence attendus,  l’adresse exacte de l'établissement de travail ainsi que la distance qui sépare le candidat du lieu indiqué… Mais la finesse des critères de recherche ne s’arrête pas là…

 

Inédit - Un tri par consensus :

« Vous connaissez le mono tri des sites d’emploi qui vous permettent de classer des annonces, par exemple, par  leurs dates de parution. Mais ce n’est pas la vraie vie. La vraie vie c’est un consensus : je suis prêt(e) à gagner moins si je suis plus près de mon domicile car je pourrai alors aller chercher mes enfants à l’école. » relève Stéphane BAURBERG.

Le moteur de recherche innovant et inédit de Jobs Booker garantit un tri par consensus suivant les priorités choisies par le candidat : entre la proximité, le salaire, la période de disponibilité, le volume horaire, l’emploi du temps…favorisant ainsi un gain de temps et d’efficacité très importants pour tous.

 

Et si l’on augmentait notre pouvoir d’achat ?!

 

« Il existe de très nombreux petits contrats, de 10h à 20h / semaine… Trouver un job est déjà compliqué, mais en trouver un second, complémentaire, à 2km du premier, qui offre un volume horaire de 15h réparti entre le lundi matin de 9h à 11h, les mercredi et jeudi de 15h à 20h et le samedi de 10h à 17h… cela tenait du miracle.

Le drame, c’est qu’on ne vit pas avec un contrat de 15h/semaine.» poursuit Stéphane BAURBERG.

 

Jobs Booker permet aujourd’hui de créer des jobs là où cela paraissait impossible d’en créer.

 

Le candidat peut pour cela, simplement définir une recherche autour de l’adresse de son premier job, dans un volume horaire et un emploi du temps compatible avec ce premier emploi.

 

Une nouvelle plateforme de recrutement… avec une approche militante et citoyenne

 

Jobs booker permet de gérer le processus de recrutement dans son intégralité, de la recherche à la conclusion du contrat, en passant l’organisation de RDV, qui peuvent s’effectuer à distance, en visioconférence, sur le site… La plateforme sert également de lien post recrutement entre le salarié (job booké) et sa DRH.

 

Grâce aux outils innovants développés, Jobs Booker ambitionne de mettre ainsi l’offre toujours exactement en face de la demande.

 

Avec Jobs Booker l’innovation technique est au service de l’évolution sociale : « Chercher, trouver, conclure un contrat de travail est dorénavant possible en quelques clics, pour tous.  Défendre ses chances, et notamment démontrer sa motivation lorsque l’on est novice, est possible pour tous. Trouver des solutions lorsque l’on est, sans emploi,  isolé, perclus de dettes est possible pour tous…

 

Notre premier engagement est d’offrir 3 mois de gratuité (accès à sa plateforme de recrutement en tout illimité : annonces, visio…) dans tous les secteurs d’activités, pour permettre à toutes les entreprises de France d’avoir accès à notre outil.

 

Ensemble, nous pouvons concrètement et immédiatement faire bouger les lignes ! » conclut Stéphane BAURBERG.

 

mardi 29 janvier 2013

L'APAJH signe une convention-cadre pour créer jusqu'à 300 emplois d'avenir


Le 29 janvier 2012, à l’Hôtel des Ministres de Bercy, lors d’une table ronde sur les métiers et emplois d’avenir dans l’économie sociale et solidaire, Jean-Louis Garcia, président de la Fédération des APAJH, a signé une convention-cadre avec l’Etat. En présence de Benoit Hamon, il a ainsi engagé l’APAJH à s’investir dans les dispositifs en créant, au sein de son réseau, jusqu’à 300 emplois. Pour Jean-Louis Garcia, qui a salué ce dispositif gagnant-gagnant, « cette signature, qui est la première à engager une association du champ du handicap, s’inscrit dans la mobilisation historique de l’APAJH pour la jeunesse et la construction d’une société inclusive ».

jeudi 17 janvier 2013

Optique : des PME dynamiques en danger


Un tissu économique vecteur d’emplois et d’innovations, mais une filière aujourd’hui menacée

  

Paris, le 16 janvier 2013,

Alors que s’organise mercredi 23 janvier un débat parlementaire sur « la place des PME dans l’économie », le Groupe ALL, représentant près de 2 000 opticiens indépendants français, s’inquiète quant à l’avenir de la profession et dresse un bilan contrasté du secteur de l’optique. Malgré sa bonne résistance dans une conjoncture économique pourtant difficile, le secteur est aujourd’hui clairement menacé par le projet de loi sur les réseaux de soins. Ce projet législatif, actuellement en cours d’examen au Parlement, pourrait profondément mettre à mal la profession et l’ensemble du tissu économique qui en dépend.

 

Le Groupe ALL est la plus importante centrale d’opticiens indépendants en France. Il fédère 1 971 adhérents, soit  plus de 15% de l’ensemble des opticiens français. En France, près de 6 000 opticiens sont des indépendants, représentant 55 % du marché en nombre de points de vente et plus de 35 % de part de marché en valeur. A ce titre, le Groupe ALL bénéficie d’une position privilégiée pour analyser et décrypter la situation du secteur de l’optique qui fédère plus de 11 000 PME (1) et 30 000 emplois en France (2).

 

Un secteur qui résiste bien, vecteur d’emploi et d’innovations…

 

Malgré un contexte économique général difficile, la filière de l’optique continue à afficher une bonne résistance tant en termes d’activité que d’emplois. Preuve en est la réalisation de 5,695 milliards de chiffre d’affaires en 2012 (+ 9,4 % sur 5 ans) (1) et la création de 1 550 nouveaux points de vente en 5 ans (1) pour répondre à la demande grandissante de la population.

 

Les opticiens indépendants regroupés autour du Groupe ALL confirment ces tendances. En 2012, le chiffre d’affaires réalisé par ce réseau s’est établi à 650 M€ environ représentant plus de 5 000 salariés. Alors que la situation de l’économie s’est dégradée dans la plupart des secteurs d’activité, ces évolutions constituent une illustration de la mobilisation des PME du secteur sur l’ensemble du territoire.

 

Au-delà de leur contribution à l’activité et à l’emploi, les opticiens sont également devenus des acteurs à part entière de la santé. Leur métier a profondément évolué pour pallier au réel manque d’ophtalmologistes. Ils peuvent ainsi désormais assurer des examens de vue et délivrer les équipements - lunettes ou lentilles - avec une correction adaptée. Cette évolution du métier est une réponse forte aux évolutions démographiques et à la demande croissante d’accompagnement et de proximité. L’opticien a donc aujourd’hui un rôle social indiscutable et inscrit son engagement dans la durée et la responsabilité auprès des français.

 

Enfin, le secteur de l’optique participe au développement et à la croissance de la filière du verre français, reconnu depuis de nombreuses années pour son excellence. Anti-reflet, anti-rayures, anti-buée, affiné, progressif, en polycarbonate…, les consommateurs bénéficient aujourd’hui des dernières innovations technologiques en matière d’équipement optique et de contactologie, grâce à l’expertise reconnue d’entreprises implantées en France. Or l’avenir de ces PME innovantes est étroitement lié à la préservation du dynamisme des opticiens.

 

 

… Mais un secteur menacé par le projet de loi sur les réseaux de soins

 

Cet équilibre de la filière et des PME qui l’animent pourrait être prochainement menacé si le projet de loi sur les réseaux de soins, en cours d’examen au Parlement, venait à être adopté.

 

En réformant le code de la mutualité pour autoriser les mutuelles à pratiquer des remboursements différenciés, ce projet législatif autoriserait ces plateformes de santé à imposer aux opticiens des critères tarifaires stricts et à promettre aux assurés des baisses de tarifs en optique de l’ordre de 30 à 40 %.

 

Or, pour respecter ces nouveaux tarifs forcés, sachant que les opticiens réalisent en moyenne un E.B.E. de 23,4%, ils seraient contraints de descendre en gamme ce qui les conduirait inévitablement à importer leurs produits depuis des filières low cost étrangères, au détriment de la filière française. De plus, ils ne disposeraient plus de la capacité de réaliser un équipement sur mesure, ni de la liberté d’assurer un conseil spécifique et indépendant en réponse aux besoins de ses clients : sous couvert de la promesse d’une baisse des prix de l’optique, ce serait finalement la qualité de la prestation globale qui viendrait à se dégrader, avec à des suppressions de postes inévitables. Et au-delà des suppressions de postes chez les opticiens, les entreprises innovantes françaises de fabrication de produits d'optique seraient aussi mises à mal.

 

Enfin, l’adoption de ce projet pourrait se traduire par un manque à gagner important pour l’Etat lorsqu’on sait que les recettes fiscales et de cotisations sociales prélevées auprès des opticiens peuvent être estimées à 1,3 milliards d’euros.

 

La liberté tarifaire est indispensable à l'innovation et à une optique de qualité.

 

Ainsi, c’est un projet de loi qui, s’il était adopté, coûterait cher à une filière et des PME françaises jusqu’ici relativement préservées par la crise…

 

Sources :

1   Etude GfK, juin 2012

2  Etude Drees, janvier 2012

Contact presse :

Actifin

Magalie Quet - 01 56 88 11 29


 

 A propos du Groupe ALL

 Né du rapprochement des centrales d'achat Alliance Optique et Rev en février 2010, le Groupe ALL - premier groupe national d'opticiens indépendants - est présidé depuis 1997 par Stéphanie Dangre. Le projet du Groupe est de défendre la santé visuelle et l’entreprise libérale nécessaire à la défense d’une optique de qualité.

 

En 2012, avec 1 971 adhérents et un chiffre d’affaires de 154 millions d’euros d’achat transités, le Groupe ALL est leader sur son marché. Plus qu’une simple centrale d’achat, le Groupe ALL s’engage dans un véritable accompagnement au quotidien des opticiens indépendants : conseils, services, formation, communication, marketing.

lundi 12 novembre 2012

Emplois d'avenir : un site Internet pour tout savoir du dispositif


05/11/12 - Alors que les décrets et arrêté concernant les emplois d'avenir ont été publiés au Journal officiel du 1er novembre 2012, permettant à ces emplois de devenir opérationnels, le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Formation professionnelle vient d'ouvrir un site Internet spécialisé destiné aux candidats et aux employeurs.
> http://travail-emploi.gouv.fr/emplois-d-avenir,2189/

 

Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contact