Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 13 avril 2016

Indemnisation des victimes d'accidents médicaux


606 du 8 avril 2016
Indemnisation des victimes d'accidents médicaux
Un décret publié mercredi au Journal officiel, signé par Marisol Touraine, impose de nouvelles règles "strictes" pour les propositions d'indemnisation des victimes du Mediator, présentées par les laboratoires Servier. Ces offres devront indiquer le montant accordé pour chaque type de préjudice, et préciser les écarts éventuels avec le baromètre de l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam). Si la proposition est trop faible, les victimes pourront donc demander à l'établissement public de se substituer aux laboratoires. A charge pour l'Oniam de se retourner contre eux.
Gérad Bapt, président de la mission parlementaire sur le Mediator, a salué la publication de ce texte dans un communiqué. Le député socialiste souhaite la mise en place d'un fonds d'indemnisation spécifique pour les victimes du Valporate "en raison des retards reconnus par l'enquête Igas en matière de règles de prescription et d'informations des parturientes". Il rappelle qu'un nombre important de familles supportent "le poids des dégâts notamment neurocomportementaux subis par leurs enfants". Et de conclure: "Il serait inacceptable d'attendre l'issue de procédures judiciaires lointaines et aléatoires, à l'image de l'affaire Médiator, avant que ne se manifeste la solidarité nationale".
 
Projet de loi Egalité et Citoyenneté: avis défavorable du CA de la Cnaf
Le projet de loi sur l'Egalité et la Citoyenneté était soumis mardi au Conseil d'administration de la Cnaf.
L'instance (qui avait elle-même demandé à être saisie) a émis un avis défavorable. "Sur le fond les administrateurs trouvaient que la philosophie et l'esprit de la loi étaient plutôt bons", souligne Jean-Louis Deroussen, président de la Cnaf. Mais malgré ces "bonnes intentions" l'aspect " fourre-tout du texte et le manque de moyens" ont été soulevés.
Le champ de ce projet de loi, examiné en Conseil des ministres mercredi prochain, est en effet très large. Son premier titre, "Citoyenneté et émancipation des jeunes", attribue aux régions un rôle moteur en matière de politique de la jeunesse. Egalement prévus : la constitution d'une réserve citoyenne, la diversification du service civique, une meilleure information des 16-23 ans en matière de santé et prévention (couverture, examens et bilan de santé gratuits, ...).
Le deuxième axe porte sur "La mixité sociale et l'égalité des chances dans l'habitat". Avec la possibilité pour le gouvernement d'harmoniser et de simplifier par ordonnance les règles applicables aux aides personnelles au logement en les regroupant dans le code de la construction et de l'habitation. Enfin, le dernier pilier du texte porte sur "l'égalité réelle" (mise en œuvre des politiques publiques dans les quartiers prioritaires, ...).
 
AG de la Fehap: nominations des 7 nouveaux délégués dans les grandes régions
L'assemblée générale 2016 de la Fédération des établissements hospitaliers et d'aide à la personne privés non lucratifs (Fehap), se tenait mercredi dernier. Le conseil d'administration a nommé les délégués des 7 nouvelles grandes régions (Didier Chesnais en Normandie, Gérard de Bataille en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, Daniel Caillaud en Aquitaine-Limousin-Poitou Charentes, Chistophe Matrat en Alsace-Lorraine-Champagne-Ardenne, Loïc Grall en Bourgogne-France-Comté, Dominique Montégu en Auvergne-Rhône Alpes, et Corinne Darre en Nord-Pas Calais Picarie). Pour Antoine Dubout, son président "la Fehap est désormais en ordre de marche pour aller au-delà des échéances électorales à venir".
Elle prépare un texte qui servira de base pour interpeller les candidats à l'élection présidentielle. Ces propositions seront présentées aux représentants de la Fehap dans les régions, puis à ceux des principaux candidats au CESE, le 12 décembre, veille du Congrès de la fédération. 
 
PUMa: complications pour l'accès à l'assurance maladie des ressortissants étrangers
La Fnars, l'Observatoire du Droit à la Santé des Etrangers (ODSE), et le Secours Catholique ont tiré la sonnette d'alarme à propos de la PUMa (Protection universelle maladie) dénonçant "une régression catastrophique pour la sécurité sociale des personnes étrangères". Les décrets en préparation empêcheraient l'accès et le renouvellement à l'assurance maladie des 700 000 ressortissants étrangers séjournant légalement en France. Selon ces organisations, "la complexité juridique et bureaucratique annoncée va pénaliser les personnes et augmenter inutilement les charges de travail des caisses d'assurance maladie". Concrètement, les projets de textes restreignent la liste des documents de séjour acceptés pour une première affiliation. Les droits seraient désormais calqués sur la durée du titre de séjour, contre un an auparavant.
Pourtant les pouvoirs publics et l'assurance maladie se veulent rassurants. "L'idée générale est de ne pas couper les vannes brutalement. Notre démarche est graduelle et nous allons régler progressivement toutes les situations ", a ainsi indiqué Jean-Claude Barbot, président de l'Adcam (Association des directeurs des caisses de l‘assurance maladie) à Protection sociale Informations
 
315 295 722 € à l'Arrco et 37 715 704 à l'Agirc, montant des sommes dues par le Fonds de solidarité vieillesse (FVS) pour 2016 selon un arrêté paru hier au JO.
Le conditionnement du RSA à 7 heures de bénévolat, décidé récemment par le conseil départemental du Haut-Rhin va être contesté devant la justice administrative par l'Etat.

422 millions de personnes diabétiques dans le monde en 2014 selon un rapport de l'OMS.
Pfizer a annoncé mercredi qu'il renonçait à sa fusion avec Allergan, "d'un commun accord" après l'annonce par le Trésor américain de mesures pour limiter l'exil fiscal des multinationales américaines.
65% des Français n'ont jamais parlé avec leur famille du risque de dépendance, mais 64% craignent une perte d'autonomie de leurs parents ou grands parents. Seuls 22% ont commencé à préparer leur propre perte d'autonomie et 13% celles de leurs ascendants. (étude menée par la Carac en partenariat avec TNS Sofres).
Lettre éditée par Espace social européen - Prix 3 € - Sarl au capital de 120 000 € - RCS PARIS B 480 706 159 (2005B02166)
Principal associé : Pascal Beau / 22 rue Léon Jouhaux, 75010 Paris - Tél. : 01 53 24 13 00 - FAX. : 01 53 24 13 06
Rédaction : Pascal Beau et Émilie Guédé (01 53 24 13 12) - Service Abonnements (tél: 01 53 24 13 18 / mail: abonnements@espace-social.com) - Iconographie : Cocktail Santé (01 53 24 13 02) - Administration : 01 53 24 13 00
- Commission paritaire : N° 0316 T 87714 -
ISSN : N° 0999-7822. Tous droits de reproduction réservés.
L'autorisation d'effectuer des reproductions par reprographie doit être obligatoirement obtenue auprès du Centre français d'exploitationdu droit de copie (CFC) 20, rue des Grands-Augustins - 75006 Paris - Tél.: 01 44 07 47 70
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lundi 21 septembre 2015

Loi d’adaptation de la société au vieillissement

Loi d’adaptation de la société au vieillissement : la réforme n’est pas à la hauteur de l’enjeu
Communiqué de presse commun de la Mutualité Française, Générations Mutualistes, FEHAP, UNIOPSS, FNADEPA, AD-PA, FHF. Les représentants des usagers et des gestionnaires d’établissements ne peuvent se contenter des mesures proposées par le gouvernement. Elles demandent à ce qu’une nouvelle concertation soit engagée mettant à plat les modalités actuelles de financement desMutualité Française, Générations Mutualistes, FEHAP, UNIOPSS, FNADEPA, AD-PA, FHF (établissements pour personnes âgée dépendantes) avec les deux principaux financeurs que sont l’assurance maladie et les départements, et les personnes âgées elles-mêmes afin d’aboutir enfin à une vraie réforme.
L’Assemblée nationale examine cette semaine en seconde lecture le projet de loi d’adaptation de la société au vieillissement. L’objectif initial était de mieux anticiper les conséquences du vieillissement et accompagner celles et ceux qui sont touchés par une perte d’autonomie. Le projet de loi devait ainsi comporter deux étapes : la première consacrée à la préservation de l’autonomie et au soutien à domicile des personnes âgées, la seconde aux personnes âgées hébergées en établissement.
Plus d’un million de personnes âgées en perte d’autonomie et leurs familles attendaient de cette loi une amélioration nette de leur situation. Or si le projet de loi comporte des avancées importantes concernant le maintien à domicile, le volet qui devait être consacré aux personnes hébergées en établissement a été quasiment abandonné, alors même qu’à ce jour près de 700 000 personnes y sont quotidiennement accompagnées.
Le gouvernement s’apprête à introduire par amendement quelques dispositions relatives aux EHPAD, avec quelques avancées comme un cadre budgétaire rénové et modernisé qui donnera plus de place à la contractualisation entre le gestionnaire d’établissement et ses financeurs ainsi qu’une volonté d’attribuer progressivement aux établissements un "budget soins" plus en adéquation avec leurs besoins.
Mais cette convergence du "budget soins" s’étalerait sur 7 ans !
Comment faire face à des besoins d’aide en soins de plus en plus importants dans les établissements, en acceptant une progression si limitée des ressources et donc du nombre de personnes auprès des malades pour au moins les 7 années à venir ? De plus, certaines dépenses relevant du soin ne seront pas couvertes par ce « budget soins ». Comment justifier que ces dépenses, prises en charge en cas d’hospitalisation, ne le soient pas pour les résidents en Ehpad ? Enfin, comment expliquer que la compensation du Crédit d’Impôt pour la Croissance et l’Emploi (CICE) n’a pas eu lieu dans le secteur médico-social alors même qu’il impacte directement le tarif acquitté par les résidents ?
Plus globalement, cette réforme ne touche qu’au tarif « soins » (financé par l’assurance maladie) et pas aux deux autres tarifs des EHPAD, que sont le tarif « dépendance » (financé par les départements et les résidents) et le tarif « hébergement » (à la charge uniquement du résident).
Elle n’est donc pas à la hauteur des enjeux du vieillissement de la population et d’un besoin d’aide à l’autonomie de plus en plus élevé des personnes en établissement.
Elle ne résoudra pas le problème de la hausse du reste à charge laissé aux résidents et à leurs familles. Rappelons que le tarif d’hébergement mensuel à la charge du résident et de sa famille est de près de 2500 euros par mois en région Ile de France et 1900 euros en région, alors que la retraite mensuelle moyenne est de 1300 euros.
Elle ne permettra pas non plus une amélioration rapide et significative du nombre de professionnels auprès des résidents.
Des choix doivent être faits, des priorités données pour que notre société accompagne les personnes âgées en établissement dignement.

Contacts presse

Mutualité Française : Constance BAUDRY, responsable des relations médias
constance.baudry@mutualite.fr ,
Générations Mutualistes : Michelle DANGE, présidente
michelle.dange@mutualite.fr ;
FEHAP : Jean-Baptiste BOUDIN-LESTIENNE, responsable de la communication, des relations institutionnelles et du développement
jean-baptiste.boudin-lestienne@fehap.fr ;
UNIOPSS : Thierry COUVERT LEROY, directeur de l’animation et du plaidoyer
tcouvert-leroy@uniopss.asso.fr ;
FNADEPA : Annabelle MALNOU, directrice
direction@fnadepa.com ;
AD-PA : Romain GIZOLME, directeur, Pascal CHAMPVERT, président
rg.ad-pa@orange.fr ;
FHF : Camille TROCHERIE, chargée de communication éditoriale
c.trocherie@fhf.fr ;
Contacts presse
FNMF
Constance Baudry
T: 01.40.43 30 21
P: 06 85 29 82 22
constance.baudry@mutualite.fr

Accéder au site www.mutualite.fr

jeudi 16 avril 2015

Projet de loi de modernisation du système de santé


Projet de loi de modernisation du système de santé :
La planification médico-sociale régionale, encore en attente d'améliorations après les travaux de l'Assemblée Nationale !


Le projet de loi de modernisation du système de santé comporte un sujet de déception pour la FEHAP, l'APF, la FEGAPEI et l'Unapei à cette étape : la planification médico-sociale régionale, à l'article 38.

C'est avec satisfaction que les organisations signataires constatent que leur proposition tendant introduire le principe d'une élaboration du projet régional de santé sur la base d'une évaluation préalable des besoins de santé, sociaux et médico-sociaux a été adoptée grâce un amendement 2250 porté par le groupe RRDP, avec l'avis favorable du Gouvernement. 

Mais la situation faite aux autorisations médico-sociales qui pourraient devenir incompatibles avec le projet régional de santé, objet de l'amendement 2251, n'a pu avancer à l'Assemblée Nationale. Lors des débats sur cet amendement, Marisol TOURAINE s'est engagée à poursuivre la concertation concernant les modalités de révision des autorisations des établissements médico-sociaux, du fait d'une évolution issue du projet régional de santé. Comme l'a indiqué la Ministre lors des débats « c'est un sujet sérieux », car peuvent dépendre de ces décisions l'existence de près de 30.000 établissements et services médico-sociaux. 

Les organisations signataires souhaitent que des garanties de fond et de procédure soient mises en place, dans les cas où des autorisations deviendraient incompatibles avec le projet régional de santé. Elles appellent donc à l'engagement d'une réelle concertation avant l'examen par le Sénat du projet de loi, avec le Ministère et les administrations centrales concernées (Direction des Affaires Juridiques et Direction Générale de la Cohésion Sociale).

Cliquez ici pour visualiser la pièce jointe : CPFEHAP_APF_FEGAPEI_UNAPEIplanificationmedicosociale_16avril15.pdf

Si le lien ne fonctionne pas, cliquez ici pour recevoir un nouvel e-mail avec le(s) document(s) en pièce(s) attachée(s)

lundi 27 octobre 2014

Florilège d'infos proposées par Gérad Bieth

Sources :
Newsletter réalisée par Gérard Bieth
© www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale


TIC santé - e-administration - services publics

6 grandes organisations dont trois fédérations hospitalières s'accordent sur une seconde version de charte de bonnes pratiques pour les SI de santé

25/10/14 - L'objectif de la charte dénommée BP6 est clair : rapprocher les meilleurs usages médicaux et les technologies d'information innovantes au service du patient dans un environnement économique contraint. Pour y parvenir, la Charte BP6, qui avait été présentée en juin 2012 par la Fédération hospitalière de France (FHF), l'Asinhpa, Lesiss et le Syntec numérique (voir lettre 505), vient d'évoluer dans une version 2 dont l'aboutissement a nécessité des efforts constants pendant de nombreux mois. Ces efforts permettent de recevoir désormais le soutien des trois principales Fédérations hospitalières, FHF, FEHAP, FHP, et des trois grandes organisations d'industriels, L'Association des Structures d'Informatique Hospitalière Publiques Autonomes(ASINHPA), Les Entreprises des Systèmes d'Information Sanitaires et Sociaux (LESISS) et le Syntec Numérique. Un accord a été scellé "pour améliorer la sécurité du patient", annoncent les six organisations dans un communiqué commun le 22 octobre. Les auteurs de cette annonce relèvent néanmoins qu'est à ce jour attendu le soutien des représentants de la médecine de ville.



Reléguée au 26e rang mondial dans le secteur du numérique, la France n'occupe que la 19e place dans le domaine de l'efficience du système de santé. Ce qui est paradoxal, c'est que dans notre pays, pourtant cinquième puissance mondiale, qui dispose d'une réputation d'excellence médicale et d'un savoir-faire reconnu dans les TIC, le secteur du numérique en santé ne parvienne pas à décoller. La Charte BP6 a pour objectif de "mobiliser l'ensemble des acteurs de terrain autour d'une priorité claire : décloisonner un écosystème qui fonctionne encore trop souvent en silos, en fluidifiant la communication entre les différents professionnels de la santé et du médico-social". Celle-ci a été établie sur les référentiels existants, à savoir le cadre de l'interopérabilité fixé par l'ASIP Santé et le guide d'interopérabilité déterminé par Interopsanté. "Dans le domaine du numérique, cette alliance des acteurs de terrain spécialisés, qui devrait s'élargir, constitue un puissant levier pour accompagner les services de l'Etat. En donnant enfin au numérique de santé la place stratégique qu'il mérite", estime Yannick Motel, le délégué général de Lesiss.
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Télécharger la charte BP6 - l'annexe de la charte
> Communiqué de presse - 22 octobre 2014
> Yannick Motel : "Télémédecine, on a plein d'idées mais pas d'argent" - Décision santé 23 octobre 2014

 

La mise en œuvre du " silence vaut accord " présentée en conseil des ministres
23/10/14- Le secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification, Thierry Mandon, a présenté en conseil des ministres du 22 octobre, les projets de décrets mettant en œuvre le "silence vaut accord" au sein des administrations, principe selon lequel le silence de l'administration pendant deux mois vaut accord, inscrit dans la loi du 12 novembre 2013.

 Cette "véritable révolution administrative au profit des particuliers et des entreprises qui ne verront plus leurs droits limités par l'inertie administrative" concernera près de 1 200 procédures sur les 3600 passées au crible. Ainsi délimité, le nouveau principe " silence valant accord " entrera en vigueur le 12 novembre pour l'État et ses établissements publics. C'est un an plus tard, le 12 novembre 2015, que la réforme sera applicable pour les collectivités territoriales, les organismes de sécurité sociale et les autres organismes chargés d'une mission de service public. Rappelons que ce principe se substituera à la règle " silence valant rejet ", vieille de 150 ans.
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Le compte rendu du conseil des ministres du 22 octobre 2014

 

Vidéo de la semaine

Et si on parlait de l'utilité sociale des mutuelles ?

Découvrez l'épisode 1 de la nouvelle websérie #RDVsolidaire de la FNMF.

Retrouvez Sophie et ses problèmes de vue dans cet épisode au ton décalé qui valorise le rôle des mutuelles dans l'accès aux soins. Déjà plus de 459 000 vues sur YouTube pour le film manifeste. L'épisode 1 mis en ligne le 20 octobre 201

 

Communiqués, points de vue, analyses politiques, faits divers, enquêtes

Dr Google expérimente des consultations médicales gratuites en ligne
 - Le Quotidien du médecin 20/10/2014
Le géant Google propose des consultations médicales gratuites par webcam interposée. Cette nouvelle fonctionnalité est en cours de test depuis quelques semaines dans deux États américains, la Californie et le Massachusetts. L'expérience, si elle est concluante, pourrait être étendue après la période d'essai. Le principe consiste à orienter vers un spécialiste l'internaute à la recherche d'un conseil médical. Le phénomène des consultations en ligne n'est pas nouveau. Mais quand Google s'en empare, cela pourrait bouleverser le secteur.

 

Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 623 du 19 octobre 2014

2 - Sécu : les assureurs étrangers, pas toujours un bon plan... - Le Parisien 16 octobre 2014
3 - RPN Classification 14 octobre - compte rendu CGT
4 - La CFE-CGC compte rendu de la RPN du 14 octobre 2014 sur la rénovation de la classification dans le régime général,
5 - Vite une réforme systémique pour la Sécu qui ne ferait pas trop de mal aux assurés sociaux : Pourquoi pas ne pas envisager la suppression des Conseils d'administration des caisses ? - Blog de Frédéric Buffin 16 octobre 2014

6 - La saga " Je quitte la sécu " continue, avec les dernières aventures de Laurent C pour quitter le monopole de la Sécurité sociale et s'assurer librement. Episode 32 du 14 octobre 2014

 

569 236 personnes décédées en France en 2013. Le nombre de décès à son plus haut niveau depuis trente ans


24/10/14 - Les nombres de décès survenus en 2012 et 2013 dans notre pays sont les plus importants depuis le début des années 1980, révèle l'Insee dans une étude publiée le 24 octobre 2014. Le taux de mortalité à chaque âge baisse régulièrement au fil des ans et l'espérance de vie ne cesse d'augmenter.

Les hommes et les femmes meurent à un âge de plus en plus avancé. L'origine du niveau élevé de décès s'explique dans le fait que les générations venues au monde pendant l'entre-deux-guerres, et qui arrivent aujourd'hui aux âges de forte mortalité, sont plus nombreuses que celles nées dans la période précédente. Un Français sur quatre meurt chez lui (40 % en Outre-mer), plus d'un sur deux dans un établissement de santé et 12 % en maison de retraite.
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Insee Focus N° 13 - octobre 2014

 

mercredi 13 novembre 2013

Annuaire Sécu : Le saviez-vous ?


La Fehap, Lesiss et l'Asinhpa créent un observatoire des systèmes d'information sanitaires et médico-sociaux

Lors de son 38e congrès à Toulouse, la Fédération des établissements hospitaliers et d'aide à la personne privés à but non lucratif (Fehap) a scellé le 7 novembre 2013 un "partenariat stratégique" avec Les entreprises des systèmes d'information sanitaires et sociaux (Lesiss) et l'Association des structures d'informatique hospitalière publiques autonomes (Asinhpa) pour la création d'un observatoire de la gouvernance des projets concernant les systèmes d'information sanitaires et médico-sociaux qui doit être opérationnel en janvier 2014.

La fédération fait savoir dans un communiqué que "les diverses évolutions réglementaires et technologiques instituées tant par les donneurs d'ordres que par les industriels génèrent entropie, suspicion, et parfois perte de chance, nuisant aux établissements comme aux usagers". Un autre axe du partenariat vise à faire évoluer la Charte BP6 (bonnes pratiques en systèmes d'information de santé) "en direction d'une intégration plus poussée des petits établissements". Cette charte avait été conclue en 2012 par la Fédération hospitalière de France (FHF), l'Asinhpa, Lesiss et le Syntec numérique. La Fehap espère qu'une nouvelle version de la charte sera finalisée au premier trimestre 2014.
 Dépêche TIC Santé du 8 novembre 2013

 

Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 576 du 3 novembre 2013
 
Le blog personnel du directeur de la CNAF
Le communiqué de presse de la Direction de la Sécurité sociale du 29 octobre 2013 sur la fin du monopole de la Sécu
La qualité des comptes des administrations publiques - Le rapport de 95 pages - Cour des comptes
L'hygiène au secours des finances sociales ?  Le blog de Frédéric Buffin
Campagne d'abonnement : les 171 entreprises abonnées à la lettre annuaire-secu au 3 novembre 2013
Les documents support de l'INC Retraite du 14 novembre 2013 consacrée à la future COG de la branche - site de l'Ucanss
 

Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale
Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le

 

lundi 25 février 2013

PRIX JARDINS THÉRAPEUTIQUES 2013 - 2ème Édition


A l’initiative d’Agevillage, de la Fédération Hospitalière de France et des Salons de la Santé et de l’Autonomie (Géront’Expo), cette deuxième édition du Prix « Jardins Thérapeutiques » rassemble désormais : l’association Jardins et Santé, la Fehap (Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés non lucratifs), le SYNERPA (Syndicat national des établissements et résidences privés pour personnes âgées) et l’Unccas (Union Nationale des Centres Communaux d’Action Sociale).
Ce Prix est soutenu par les entreprises Pétrarque, Verdurable qui équipent les jardins thérapeutiques.

Stimulant pour les sens (plaisirs liés aux parfums, à la vue d'un beau paysage...) comme pour l'esprit (activité renouant avec une pratique d'autrefois, objets associés à certaines mémoires), le jardin est reconnu aujourd’hui comme un outil favorisant le bien-être des personnes âgées. Il est ainsi utilisé par nombre d’établissements ou de services à la personne pour maintenir une qualité de vie, favoriser les échanges, redonner le goût de communiquer et de vivre ensemble.

Partout en France, des initiatives se multiplient, portées par des équipes de salariés ou de bénévoles engagés, disponibles et à l’écoute des besoins des personnes. Le Prix « Jardins thérapeutiques » vise à promouvoir ces projets et reconnaître le travail des personnes qui les mettent en œuvre.

Les modalités du Prix :

Ce prix est ouvert aux équipes de structures sanitaires, sociales et médico-sociales (EHPAD, USLD, accueils de jour, CCAS, SAD, SSIAD, HAD, …), et aux collectivités territoriales, qui accompagnent au quotidien, à domicile ou en établissement des personnes âgées en perte d’autonomie physique et/ou psychique.
La date limite de dépôt des dossiers est fixée au 12 avril 2013.


Un jury composé d’experts déterminera le lauréat du prix selon quatre critères :

Le processus de recueil des désirs des personnes, des professionnels et des bénévoles

La formalisation du projet de jardin thérapeutique

La qualité du projet, de sa préparation et de son adaptation

L’évaluation et le suivi du projet mis en œuvre du point de vue des personnes, des professionnels et des bénévoles

Cinq Prix valoriseront les lauréats :

Un Grand Prix remis sur les Salons de la Santé et de l’Autonomie du 28 au 30 mai 2013
à Paris – Porte de Versailles

Un Prix par fédération : FHF, FEHAP, SYNERPA, UNCCAS, sera remis à cette même occasion.

Ces Prix comportent :

un abonnement au site www.agevillagepro.com,

un reportage diffusé sur agevillage.com/agevillagepro.com

un article dans les revues des fédérations, pour le lauréat de leur réseau

Le lauréat du Grand Prix se verra également remettre :

un don de 300 euros de l’association Jardins et Santé,

un don d’agrès adapté aux personnes à mobilité réduite de la société Pétrarque

un don de deux jardinières avec système élévateur de la gamme Garden Age de la société Verdurable

En savoir plus : cliquez-ici

PARTENAIRES / SPONSORS

Pétrarque développe des produits innovants et multi-sensoriels (approche Snoezelen, Wizzbox, …). Pour les jardins, les équipes de Pétrarque ont travaillé à l’élaboration d’une vingtaine d’agrées adaptés aux personnes à mobilité réduite.

Verdurable propose la gamme « Garden Age » comprenant une jardinière surélevée et des accessoires ergonomiques (sécateur, griffe, transplantoir et arrosoir). Soutenus et testés par les services de rééducation de l’hôpital Bretonneau de Paris, les produits sont fabriqués en France.