Nora ANSELL-SALLES

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mardi 12 décembre 2023

La Griffe Santé de Jacques DRAUSSIN

Infolettre n° 540
mardi 12 decembre 2023
Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

Assurances santé : complémentaires mais essentielles

La réunion prévue vendredi entre Aurélien Rousseau et les représentants des complémentaires santé risque d’être chaude de chez chaude. Compagnies d’assurance privées et mutuelles ont en effet décidé de faire front commun pour appliquer une hausse de 8 à 12,5% sur la plupart des contrats individuels et collectifs.

Pour le ministre de la Santé, 4 à 5% constituerait un saut acceptable. De la roupie de sansonnet rétorquent les complémentaires face à l’accroissement des dépenses de santé mais aussi face aux importants transferts de charge de l’Assurance Maladie.

Les mutuelles rappellent volontiers que le remboursement du 100% santé de l’optique, du dentaire et de l’audition leur revient annuellement à 2,5 milliards d’euros et que l’Etat vient en cadeau surprise de leur transférer 500 millions de dépenses supplémentaires en diminuant de 10% le remboursement des frais dentaires par l’Assurance maladie obligatoire.

Au total, c’est 1,5 milliard d’euros de dépenses supplémentaires [sur une enveloppe globale d’une trentaine de milliards] que les complémentaires vont devoir supporter en 2024.

Certes, avec en moyenne 17% de frais de gestion contre 4% pour la CNAM, le différentiel peut paraître énorme et justifier un peu de modération dans l’inflation. Ce à quoi les mutuelles répondent qu’il ne leur est pas possible de présenter un budget déficitaire... contrairement à la Sécu dont le trou est abyssal.

Comme son nom l’indique, l’assurance maladie obligatoire n’a pas à s’imposer dans un univers concurrentiel. Pas de marketing, pas de prospection, pas de relance, pas d’appel à cotisations, etc. Argument recevable, comme l’est celui des Pouvoirs publics qui rappellent qu’avec 400 000 patients supplémentaires en ALD chaque année, donc pris en charge à 100% par la Sécu, la source d’économie n’est pas négligeable pour les complémentaires. Pas tant que cela répond le camp d’en face car presque 30% des dépenses de santé des patients en ALD sont sans lien avec leur affection chronique et participent pour 80% de leur reste à charge, plus important que la moyenne.

Si la réunion de vendredi débouche sur une impasse, peut-être verra-t-on resurgir la fumeuse idée d’Olivier Véran, l’instauration d’une « Grande Sécu ». Pour mémoire, il s’agissait de mettre en place une gestion de l’ensemble des remboursements santé par la Sécurité sociale. Les complémentaires n’interviendraient plus alors que pour les soins ou les actes non remboursés comme les dépassements d’honoraires, les médecines douces ou certains médicaments. Du moins pour celles qu’i n’auraient pas mis la clé sous la porte avec un coût social que le gouvernement n'a sans doute aucune envie d’assumer.





mardi 27 juin 2023

C’est à lire : le coup de griffe de Jacques Draussin

Infolettre n° 522
mardi 27 juin 2023
Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

Ces malades qui nous gouvernent...

Et ceux qui rêvent de le faire

Volonté de pouvoir et folie ont de toute éternité formé un couple uni. L’histoire du monde regorge de paranos, de mégalos, de schizos, de mythos et autres dingos qui ont placé leurs peuples - voire toute l’humanité dès qu’ils en ont eu les moyens techniques - au bord de l’extermination.

« Le pouvoir est une drogue qui rend fou quiconque y goûte » disait François Mitterrand, parlant d’expérience.  L’œuvre génocidaire que n’ont pas réussi à mener à son terme des timbrés hors catégories comme Hitler, Staline ou Mao, des autocrates aux petits pieds de la maladie mentale ont fait leur possible, ces dernières années, pour y parvenir.

Qui, de Mussolini, Ceausescu, Milosevic, Saddam Hussein, Khomeini ou Kadhafi était le plus secoué ? Peut-on vraiment trancher entre Kim Jong Un, Xi Jinping ou Bachar El-Assad ? Quelle position Trump, Bolsonaro, Erdogan, Berlusconi ou Orban occupent-ils dans la hiérarchie des psychotiques ?

Une chose est certaine. Un homme a cherché le 24 février 2022 à leur ravir la première place en plongeant le monde dans un chaos indescriptible, reléguant le débarquement de la baie des Cochons en 1961 au rang de détail de l’histoire et la guerre froide à celui de simple mauvais souvenir.

Et voilà que cet illuminé de Vladimir Vladimirovitch Poutine, qui se pose comme l’inspirateur du contre-pouvoir au monde occidental s’est trouvé contesté dans son rôle de belliciste en chef par son principal obligé, l’oligarque couleur kaki Evgueni Viktorovitch Prigojine, passé du statut d’ancien bagnard et ex-vendeur de hot-dogs à celui d’éphémère putschiste d’opérette.

Ce week-end, on en est venu à se demander quel syndrome notre planète devait craindre le plus, de l’hubris poutinien ou de la mégalomanie Prigojinienne. L’interrogation elle-même pose question...

Jacques Draussin

mardi 11 avril 2023

La Griffe Santé de Jacques DRAUSSIN


Infolettre n° 512
mardi 11 avril 2023

« L’alcool non, l’eau ferrugineuse... non plus »*

La question se pose avec gravité dans les media et les bistrots à l’heure du pastis : l’eau potable est-elle potable ? Depuis que l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a révélé la semaine dernière que près d’un tiers de l’aqua simplex municipale est contaminée par les métabolites du chlorothalonil, on regarde son verre de travers.

Nous ne vous ferons pas l’injure de vous expliquer ce que sont les métabolites du chlorothalonil, sans doute parce que les subtilités chimiques du produit de dégradation de ce pesticide [interdit depuis 2019] nous échappent quelque peu. Ce qui est clair en revanche, c’est qu’aucune filière de traitement n’est en mesure de s’en débarrasser et que coule au robinet d’une bonne partie des foyers français une eau non conforme aux critères réglementaires de qualité, loin s’en faut.

Les esprits simples s’interrogent alors : pourquoi diable ne s’est-on donc pas aperçu plus tôt de la présence de ce R 471811 sournois dans les eaux de surface et souterraines de notre beau pays menacé par ailleurs d’aridité? Tout simplement parce que si on ne le détectait pas, c’est qu’on ne le recherchait pas, répondent avec à-propos et logique les autorités sanitaires.

Les mêmes esprits simples [décidément !] renchérissent : qu’attend-on, maintenant que l’on sait de quoi il retourne, pour dépolluer l’eau dont on se désaltérait jusqu’ici en pleine confiance ? Réponse tout aussi spontanée des régies délégataires du service public : le coût de l’opération pourrait se chiffrer en milliards d’euros et la probabilité que l’usager soit in fine mis à contribution serait alors très forte. Pas vraiment le moment de mettre en place un nouveau bouclier tarifaire, version aquatique...

Le président de la République avait-il été mis au courant de la situation lorsqu’il a dévoilé son « Plan eau » le 30 mars ? Que les esprits simples cessent donc de poser les questions qui fâchent ! Elles sont d’autant plus mal venues que, le jour de l’annonce du plan présidentiel, le ministre de l’agriculture annonçait le maintien en usage du S-métolachlore dont les métabolites, c’est ballot, sont également responsables d’une pollution à grande échelle des nappes phréatiques...

Contact 
Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

* www.facebook.com/watch/?v=1650848824961530





mercredi 16 février 2022

La griffe de Jacques Draussin : décès de Luc Montagnier

Luc Montagnier ou la maladie du Nobel

Le Professeur Luc Montagnier, qui fut récompensé par un nombre impressionnant de prix scientifiques est mort la semaine dernière à l’âge de 89 ans.

Celui qui restera dans l’histoire comme le colauréat du prix Nobel de Médecine en 2008, découvreur avec son équipe de l’Institut Pasteur du virus du Sida en 1983, développait depuis le début des années 2010 des théories pour le moins controversées. Malgré son glorieux passé, cela lui avait valu d’être renié par l’Institut où il avait passé 30 ans de sa vie, évincé de l’Académie de Médecine, condamné par l’Ordre des médecins.

Il est vrai qu’il était devenu difficile pour les partisans de la rigueur scientifique de défendre celui qui prétendait, entre autres et avec la même incongruité, traiter l’autisme à l’aide d’antibiotiques, conseiller au Pape de traiter son Parkinson avec du jus de papaye fermenté ou attribuer à la vaccination des risques d’effets secondaires en pagaille.

Si la vieillesse est un naufrage, alors, celle du Professeur Luc Montagnier aura été une catastrophe maritime.

Peut-on l’expliquer seulement par l’addition des années ? Ses positions totalement irrationnelles, compte tenu de ses succès passés dans la recherche, relèveraient en fait du syndrome que l’oncologue américain David Gorski a nommé « la maladie du Nobel ».

Cet étrange syndrome frapperait, comme son nom l’indique, certains anciens lauréats du prix, de préférence dans les domaines de la médecine, de la chimie ou de la physique. Ainsi,

Linus Pauling, prix Nobel de chimie en 1954 et de la paix en 1962 qui, en 1970, affirmait avoir démontré l’efficacité de la vitamine C dans le traitement de certains cancers.

Et le phénomène de la maladie du Nobel ne date pas d’hier puisqu’elle semble avoir également frappé une autre de nos gloires nationales, Pierre Curie, nobélisé en 1903 pour ses travaux sur la radioactivité et curieusement devenu un chantre de la parapsychologie. Un travers dans lequel ne tombera pas sa colauréate de femme,

Marie, qui obtiendra, comme par ironie, un nouveau Nobel en 1911 [et qui répondait à la question : « Qu’est-ce que ça fait d’avoir épousé un génie ? » par un lapidaire : « Je ne sais pas, demandez à mon mari »].

Luc Montagnier est mort à Neuilly [pas à l’Ehpad Orpea, à l’Hôpital américain] et il nous avait tant habitués à ses calembredaines que l’annonce de son décès par le site complotiste France Soir n’a pendant deux jours pas été prise au sérieux…

Une occasion rêvée pour ses aficionados antivax de s’émouvoir du « silence des media » et de rendre ainsi un vibrant hommage à la vérité

alternative.

Jacques DRAUSSIN

Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

vendredi 11 février 2022

Le coup de griffe de Jacques Draussin...

Lucy in the Sky with Diamonds

Alors que l’ambiance depuis le début de l’année n’est pas particulièrement planante et que l’épreuve du Dry january vient de s’achever, on apprend que des chercheurs canadiens pensent pouvoir utiliser le LSD comme médicament contre l’addiction à l’alcool.

L’étude, dont les résultats viennent d’être publiés dans le média universitaire The Conversation ayant été réalisée sur des poissons zèbres, on pourrait évidemment être tenté de croire que les scientifiques étaient eux-mêmes placés sous l’emprise de drogues psychédéliques.

Or, il n’en est rien. Il se trouve que le LSD, banni depuis les années soixante-dix du monde de la recherche y fait un retour en force. Le

Lysergsäurediethylamid chanté en 1967 par les Beatles au cœur de leur période Sergent Pepper’s lonely hearts club band, confirme des vertus thérapeutiques soigneusement masquées jusqu’ici.

Le bon docteur Hofmann qui, en 1938, avait découvert la substance dans son laboratoire de Bâle en cherchant un traitement contre la migraine, était loin de se douter de la place que prendrait plus tard le LSD dans la contre-culture américaine, la beat generation et les palais de justice.

Son potentiel en psychothérapie et en addictologie, en regard des effets hallucinatoires que ses célèbres usagers ont largement

expérimentés, pourrait cependant rester confiné dans les laboratoires. Du moins en France, où le bad trip que suffit encore à provoquer le cannabis thérapeutique chez nos ministres de l’intérieur ne laisse pas augurer d’un avenir médical radieux au LSD.

Jacques DRAUSSIN


Contact  et abonnement à l'info lettre: Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

vendredi 16 octobre 2015

Best-of du 16 octobre 2015

525 890 visites

L'Image de la semaine
Jamel Debbouze se mobilise pour le mal logement : http://pressentinelle2.blogspot.fr/2015/10/jamel-debbouze-disiz-se-mobilisent-pour.html

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Présidée par Serge Brichet*, la MGEFI regroupe la quasi-totalité des agents actifs et retraités relevant des Ministères Économique et Financier. Parce que la Sécurité sociale ne prend en charge qu'une partie des frais médicaux et d'hospitalisation, la MGEFI intervient en complément des remboursements versés par le régime obligatoire. Le statut des agents des Ministères Économique et Financier nécessite une réponse adaptée. C'est pourquoi la MGEFI intègre dans son offre des garanties de prévoyance destinées à protéger ses adhérents face aux événements de la vie les plus graves et aux risques les plus lourds.
* Serge Brichet est par ailleurs Président de la MFP - Mutualité Fonction Publique

La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 276 000 adhérents et 336 000 personnes protégées.
■ 220 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR 
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TRÈS BON WEEK-END

mercredi 14 octobre 2015

Piqûre de rappel

Une page se tourne, une autre s'écrit déjà... Bon vent à Jacques Draussin et Michel Cymes dans cette nouvelle aventure... Et beaucoup de lecteurs Amicalement à tous Nora
EDITO
Piqûre de rappel
Vaccinera ? Vaccinera pas ? Cette année, la campagne antigrippe joue gros.
L'hiver dernier, on aurait enregistré 18 300 décès de plus qu'en 2013 et on ne parvient pas à savoir vraiment si ce terrible bilan est d'abord de la responsabilité du méchant virus mutant H3N2 qui aurait rendu le sérum moins efficace qu'un placebo, ou de celle du niveau ridicule de couverture des populations à risques (moins de 47%).
Comme on ne sait pas non plus quel pourcentage des 18 300 victimes avait été ou non vacciné, « aucune hypothèse ne peut être privilégiée » [c'est ainsi que les autorités judiciaires commentent généralement une affaire criminelle dont elles n'ont pas le moindre commencement de début d'explication].
Parmi les hypothèses qu'on aurait en revanche tort d'écarter se trouvent les stigmates encore bien présents de la calamiteuse « campagne H1N1 » de 2009, du temps où Roselyne Bachelot faisait moins rire en animant le grand barnum de la santé publique que le Grand 8 de Vincent Bolloré.
A ne pas écarter non plus - et peut-être surtout - les chiffons rouges anti-vaccinaux agités par des professeurs de médecine sur le retour sous prétexte de refus du politiquement correct, de la bien-pensance scientifique, des tabous, des totems et autres termes magiques pour justifier l'injustifiable.
Bien au-delà de la querelle sur les souches dominantes A, B, H3N2 ou H1N1, cette campagne de vaccination antigrippale qui démarre cette semaine constitue un test grandeur nature pour l'avenir de la couverture vaccinale en général et mériterait d'être accompagnée d'une communication à hauteur de l'enjeu. Franchement, on est loin du compte.
Jacques DRAUSSIN
« Bien sûr Santé » laisse place à « Club Prévention Santé »
Bien Sûr Santé, seul magazine de prévention diffusé tous les deux mois depuis 2007 par les médecins dans leur salle d'attente, change de peau et de nom.
Michel CYMES, dont on connaît l'engagement en faveur d'une prévention citoyenne, accessible à tous, a accepté de se lancer dans le grand bain de la presse d'information gratuite « papier » et de créer avec moi un nouveau magazine, Club Prévention Santé.
Impertinent, amusant, surprenant et [donc] pédagogique, Club Prévention Santé sera diffusé, dès la fin du mois, partout en France dans plus de 2 000 lieux de santé avec une distribution initiale de 200.000 exemplaires.
La « disparition » de Bien Sûr Santé entraîne de facto celle de cette Infolettre que vous retrouverez très prochainement sous une nouvelle forme, mais toujours inspirée par la « Griffe ». A très bientôt et merci de votre fidélité !
JD

ACTUEXPRESS
L'été: la meilleure saison pour venir au monde
Mieux pour l'accouchement et mieux plus tard
Selon une étude britannique, la meilleure des saisons pour venir au monde et pour vieillir en bonne santé, c'est l >>
Les médecins appelés à se prononcer sur le système de santé
Consultés par l'Ordre des médecins, pas par le ministère...
L'Ordre des médecins a lancé cette semaine une grande enquête en ligne auprès de l'ensemble des médecins >>
Une campagne de pub pour aimer son médecin
La pub au service des praticiens?
L'Ordre des médecins a lancé une campagne de pub pour valoriser le rôle des médecins. Dans quel but? >>
DMP, l'Arlésienne va devenir réalité
Déploiement prévu au 4ème trimestre 2016
Le DMP, qu'on attend vainement depuis 10 ans, va être mis en service en 2016 >>
Soins palliatifs: 40 millions de plus en 2016
La journée mondiale des soins palliatifs n'a pas été inutile
A l'occasion de la Journée mondiale des soins palliatifs, un enveloppe de 40 millions d'euros supplémentaires a é >>
Un robot pour aider les autistes
Une utilisation inattendue pour le petit robot Nao
L'expérimentation du robot Nao auprès d'adolescents autistes semble positive >>
Canicule: plus de dégâts que prévu
3 300 décès supplémentaires l'été dernier
Avec 3 épisodes distincts de canicule l'été dernier, le nombre de décès "excédentaires" est évalué à 3 300 >>
La santé numérique au rapport
Benoît Thieulin fait ses propositions à Marisol Touraine
Le Président du Conseil national du numérique remet ce mardi son rapport "La santé, bien commun de la société numé >>
Entreprise & Prévention change de nom
"Avec modération":: moins corporate, plus marketing
L'association qui regroupe 15 entreprises du secteur résume son action par un conseil de modération >>
Le Yoga fait son festival à Paris
La zénitude du 23 au 26 octobre
La 3ème édition du Yoga festival de Paris est organisé conjointement avec le salon Bio vivez Nature >>


Rédaction: Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com
Publicité : Laurence LANSAC laurence@biensur-sante.com




mardi 29 septembre 2015

Octobre, la vie en rose


Infolettre n° 225
mardi 29 septembre 2015
Bien Sûr Santé Le magazine gratuit de la prévention. Tous les deux mois sur papier
dans les salles d'attente des cabinets médicaux et tous les jours sur le Net.

Rédaction: Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com
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EDITO
Octobre, la vie en rose
N'en doutons pas : pour la douzième année consécutive, la mobilisation autour du dépistage du cancer du sein sera forte. Les Pouvoirs publics, les associations, tout un aréopage du showbiz et des media vont une nouvelle fois tout faire pour que le « dépistage organisé » du cancer du sein accède enfin au statut de « dépistage généralisé ».
Car, après avoir connu une progression spectaculaire, le pourcentage de femmes âgées de 50 à 74 ans convaincues par cette campagne nationale reste irrémédiablement figé depuis 2008. A peine plus de la moitié d'entre elles acceptent de bénéficier d'un dépistage pourtant reconnu de grande qualité et parfaitement rôdé.
Alors que les événements mis en place autour de cette action de prévention majeure connaissent un succès grandissant, que l'information autour du cancer du sein et de son incidence (48.000 nouveaux cas annuels, 12.000 décès…) prend chaque année davantage d'ampleur, rien ne semble y faire.
Même la promesse d'une guérison constatée dans 90% des cas détectés précocement ne suffit pas à desserrer les freins empêchant le passage à l'acte de dépistage.
Comme il n'est évidemment pas question de baisser les armes devant le cancer le plus fréquent [et le plus meurtrier] chez la femme, Marisol Touraine et Agnès Buzin, présidente de l'INCa, ont décidé de bouleverser l'ordre bien établi des stratégies de communication convenues et de lancer une vaste concertation citoyenne et scientifique destinée à recueillir à la base les propositions et points de vue de chacun : grand public, professionnels de santé, associations, etc.
On pourrait se gausser de cette initiative décidant si tardivement de ne plus se contenter de sondages et de groupes de travail formels pour aller chercher à leur source les leviers de l'efficacité. C'est sans aucun doute l'attitude inverse qu'il faut adopter et se féliciter que le pouvoir politique reconnaisse – une fois n'est pas coutume – qu'il ne suffit pas d'annoncer pour réussir ni d'affirmer pour transformer les comportements.
Après tout, cette expérience de démocratie participative à la Ségolène, pourrait peut-être aussi s'appliquer à quelques aspects du texte de la loi Santé qui, paraît-il, souffrent de blocages chroniques…
Jacques DRAUSSIN

ACTUEXPRESS
Coeur : les femmes de plus en plus touchées
Le nombre d'infarctus continue à progresser
Le Fédération Française de Cardiologie tire le signal d'alarme à l'occasion de la Journée mondiale du coeur >>
Antibiotiques: toujours aussi automatiques?
Leur utilisation repart à la hausse
Le plan d'alerte sur les antibiotiques tablait sur une baisse de consommation de 25%. On en est loin >>
La démocratie participative au secours d'octobre rose?
La campagne de dépistage sous un jour nouveau
52%: c'est le pourcentage de femmes acceptant de bénéficier du dépistage organisé du cancer du sein. C'est trop p >>
Les audioprothésistes dans l'oeil du cyclone
Que Chosiir taille en pièces les profesionnels
L'association parle de scandale sanitaire et se livre à une attaque en règle du marché des aides auditives >>
IVG: 40 ans après, l'information manque encore
Mise en place d'un numéro d'appel gratuit
Alors que l'on célébrait lundi le 40e anniversaire de la loi Veil, 4 Français sur 10 estiment ne pas être suffisam >>
PLFSS: plus que 3,4 milliards à trouver
La branche maladie est encore fragile...
Alors que le déficit de l'Assurance Maladie devrait accuser un déficit de 7,4 milliards en 2015, Marisol Touraine >>
Alaitement maternel: ça progresse mais pas assez
On est encore loin des recommandations internationales
Aujourd'hui, en moyenne, les nouveau-nés sont nourris au sein durant 17 semaines. C'est mieux... mais pas assez? >>


Rédaction: Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com
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mardi 22 septembre 2015

Et si - enfin - on supprimait le Sénat ?

 
Infolettre n° 224
mardi 22 septembre 2015
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EDITO
Et si - enfin - on supprimait le Sénat ?
La question de l'utilité du Sénat se posant depuis sa création en 1875, personne – hormis les 348 locataires du Palais du Luxembourg – ne s'offusquera que nous l'évoquions au moment où la haute chambre achève de tailler en pièces la loi Santé de Marisol Touraine.
Parmi les quelque 50 articles supprimés en commission, ce sont les points majeurs du texte déjà voté en 1ère lecture par l'Assemblée Nationale qui ont purement et simplement été passés à la trappe. Un exemple du genre.
Bye-bye le tiers payant généralisé : les médecins ont su convaincre les élus que la volonté déclarée d'assurer un meilleur accès aux soins des patients était en fait une remise en cause de la pratique libérale de la médecine.
Bye-bye aussi le paquet de tabac « neutre » : les buralistes ont sans doute trouvé les mots justes pour exposer leur originale vision de la prévention et stigmatiser l'encouragement à la contrebande et la contrefaçon.
 Les Sénateurs vont donc voter une loi Santé, mais une loi qui n'aura plus grand chose à voir avec celle qui avait été soumise aux députés. La suite des événements est déjà écrite dans l'histoire parlementaire : une ou deux navettes entre les chambres pour donner l'illusion de la négociation, puis une commission mixte paritaire pour acter les divergences et enfin un vote de l’Assemblée Nationale pour adopter définitivement le texte sur lequel elle s'était prononcée initialement…
Au-delà même de l'opinion qu'on peut avoir du texte gouvernemental, ces simagrées ne servent guère les partisans du bicamérisme. Aux amoureux de la démocratie chambre à part, on voudrait rappeler de temps en temps que les 335 millions d'euros qui constituent le budget annuel de leurs accès de mauvaise humeur commencent à peser sur la nôtre.
Pour redonner un peu de hauteur à ce point de vue incontestablement emprunt d'une certaine beaufitude, il suffit de rappeler respectueusement que Charles de Gaulle  avait tenté de l'imposer par referendum en avril 1969. Il est vrai que ses responsabilités publiques en avaient été un peu affectées par la suite.
Jacques DRAUSSIN

ACTUEXPRESS
Alaitement maternel: ça progresse mais pas assez
On est encore loin des recommandations internationales
Aujourd'hui, en moyenne, les nouveau-nés sont nourris au sein durant 17 semaines. C'est mieux... mais pas assez? >>
VADS: ces cancers qu'on ignore
Quid des cancers des voies aéro-digestives supérieures?
Seuls 29% des Français ont déjà entendu parler des cancers des voies aéro-digestives (VADS) >>
Alzheimer: le 1er PET-IRM de France inauguré
La Pitié-Salp&trière à la pointe de la recherche
Financé par l'Association pour la Recherche sur la Mémoire, le 1er PET-IRM en France est 100% dédié aux neuroscien >>
Cour des Comptes: haro sur les kinés et les infirmiers
Les 2 professions pèseraient lourd sur le budget de la Sécu
La Cour des Comptes présente ce mardi matin son rapport annuel sur l'application des lois de financement >>
Tabac, alcool, drogues: l'addition salée des addictions
250 millirads d'euros
Le coût annuel des addictions pour la société s'élèverait à près de 240 milliards >>
Le bilan de François Hollande est positif...
... mais il s'agit de son bilan de santé
Le service médical de l'Élysée vient de faire connaître le bilan de santé du chef de l'Etat >>
Hypnose: ça marche et l'Inserm le prouve
Un intérêt thérapeutique et des risques limités
Des chercheurs de l'Inserm ont évalué l'efficacité de l'hypnose dans le traitement de plusieurs pathologies >>
Ondes électromagnétiques: l'Académie insensible
"Une indemnisation n'est pas une preuve scientifique"
L'Académie de Médecine a été passablement énervée par l'interprétation du jugement du TCI de Toulouse >>




mardi 15 septembre 2015

Les parangons de vertu scientifique

 
Bien Sûr Santé Le magazine gratuit de la prévention. Tous les deux mois sur papier
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Rédaction: Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com
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EDITO
Les parangons de vertu scientifique
Le professeur Philippe Even souffre, à 83 ans, d'un trouble obsessionnel profond, absolument pas lié à son âge car cela fait au moins 30 ans qu'il tente de s'en libérer par une sorte de catharsis blockbusterisée par les Editions du Cherche-Midi.
La haine irrépressible qu'il exprime à l'encontre de l'industrie pharmaceutique constitue désormais le moteur exclusif de son importante production littéraire dont le dernier témoignage [« Corruption et crédulité en médecine »] vient de paraître sous les hourras habituels de la foule grandissante des adeptes de la théorie du complot.
Pourquoi le professeur Philippe Even a-t-il développé ce syndrome ? Difficile à dire car bon nombre de ses confrères en sont également atteints. Even le pneumologue s'est un peu spécialisé… dans la cardiologie et la lutte contre les statines, et Henri Joyeux, autre professeur de médecine, semble avoir consacré une bonne partie de ses forces à combattre la vaccination contre le cancer du col de l'utérus.
Que l'industrie pharmaceutique ne soit pas blanc-bleu dans ses « stratégies de conquête » est une évidence : même avec une finalité de santé, c'est une industrie. Mais que les médecins prescripteurs appartiennent tous, soit à la caste des bisounours, soit à celle des vendus relève au minimum d'un défaut d'analyse…
Philippe Even vient d'ailleurs d'apporter la preuve éclatante de ses propres turpitudes. La veille de la sortie de son livre, il a dû démissionner de la présidence de l'Institut Necker. Le parangon de vertu scientifique ne déclarait aucun lien avec l'industrie pharmaceutique alors que l'Institut qu'il dirigeait jusqu'à la semaine dernière bénéficiait de plusieurs dizaines de contrats signés avec de grands laboratoires.
Des contrats qui, aux dernières nouvelles, ne semblent heureusement pas avoir affecté l'extraordinaire travail de recherche produit par l'Institut Necker. Entre « corruption et crédulité en médecine », Philippe Even pourrait peut-être maintenant envisager qu'existe une troisième voie. Et donner l'exemple plutôt que des leçons.
Jacques DRAUSSIN

ACTUEXPRESS
Cour des Comptes: haro sur les kinés et les infirmiers
Les 2 professions pèseraient lourd sur le budget de la Sécu
La Cour des Comptes présente ce mardi matin son rapport annuel sur l'application des lois de financement >>
Loi Santé: c'est parti au Sénat
L'examen du texte détricoté a débuté
Les sénateurs vont examiner un texte qui n'a pus rien à voir avec celui voté par l'Assemblée Nationale >>
VIH: les autotests de dépistage en pharmacie
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Rédaction: Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com
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vendredi 4 septembre 2015

Le coup de griffe hebdommadaire de Jacques Draussin est de retour

EDITO
Retourner à ses chères études
Dans le langage courant, « retourner à ses chères études » signifie qu'on revient à ses activités habituelles après s'être égaré sur des chemins improbables.
Dans le domaine scientifique, il s'agit plutôt d'un signe de constance, chaque discipline se nourrissant de ces études dont les résultats font l'objet – pour les plus sérieuses – de publications dans des revues prestigieuses faisant autorité.
Allez savoir pourquoi, des chercheurs américains ont trouvé pertinent de revenir sur une centaine de travaux de psychologie pour vérifier qu'ils arriveraient aux mêmes conclusions. Protocoles rigoureusement identiques, échantillons strictement conformes… mais boum, surprise, résultats différents dans près de la moitié des cas.
Evidemment, bien au-delà du milieu des lecteurs de Science où cette révélation a été faite, on se perd en conjectures. The New-York Times lui-même se risque à supputer que la course aux publications et la pression qui pèse ainsi sur les scientifiques pourraient être la cause de ces nombreuses conclusions erronées.
Que The Journal of Experimental Psychology et autres Psychological Science puissent être autant otages de la course au scoop et exposés aux mêmes travers que n'importe quelle chaîne d'info venue ne manque quand même pas d'inquiéter.
Si leurs résultats sont faussés, quel crédit accorder désormais aux enquêtes dont on nous rebat les méninges à longueur de journée pour faire appel à notre raison et motiver des comportements de prévention plus favorables à notre santé ?
Ingurgiter 5 fruits et légumes par jour ne multiplie-t-il pas en réalité nos risques de cancer colorectal ? Pratiquer 30' d'activité physique 5 fois par semaine ne nous mène-t-il pas tout droit à l'infarctus du myocarde ? La vaccination n'est-elle pas plus dangereuse que les maladies dont elle protège ?
Certes, ces questions valent peut-être d'être posées. Encore faudrait-il d'abord répondre à celle-ci : en quoi une étude scientifique mettant en cause les résultats d'une autre étude scientifique serait-elle davantage fiable… ?
Révérence gardée envers les chercheurs américains, la valeur de la conclusion que l'on peut tirer de leurs travaux est assez comparable à celle-ci qui, pour être absurde, n'en mérite pas moins d'être méditée : 62% des Français ne croient pas aux sondages.
Jacques DRAUSSIN

ACTUEXPRESS
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Rédaction: Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com
Publicité : Laurence LANSAC laurence@biensur-sante.com