Nora ANSELL-SALLES

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lundi 21 septembre 2015

Sac à sapin...

 NOËL  2015
  
Décorer son sapin idées déco signées Maisons du Monde collection 2015
Adieu épines de Nordmann ou d’Épicéa dans tout le salon, place au Sac à Sapin de  ! Cette année, pour la première fois de son histoire, Mickey, un ambassadeur de choix, promeut ce produit solidaire dans le cadre d’un partenariat entre Handicap International et Disney France. Depuis plus de 20 ans, cet incontournable des fêtes de fin d’année prend place aux pieds des sapins et continue de faire rimer praticité et générosité. Avec 10 millions d’exemplaires vendus, soit plus de 15 millions d’euros récoltés, le Sac à Sapin géré de A à Z par l’ONG, lui permet de financer ses actions sur le terrain.

En savoir plus en cliquant ici  sur le Sac à Sapin.


 
Les sacs à sapin une belle initiative pour éviter les épines et faire une belle action. Ndlr: autres idées déco pour les vrais et faux sapins signées Maisons du Monde collection 2015

jeudi 18 décembre 2014

Libres propos cosignés par AIDES – Coalition PLUS – Act Up Paris – ONE France – Oxfam France – Solidarité Sida – Sidaction – Solthis

 
 
25 millions d’euros en moins pour UNITAID : les associations dénoncent une baisse historique de la contribution de la France à la lutte mondiale contre le sida et les grandes pandémies
 
 

Nous, associations de lutte contre le sida et pour la santé globale, sommes en colère.

 

Dans un courrier en date du 8 décembre 2014, le Ministère des Affaires étrangères a officialisé une baisse de 25% de la contribution annuelle de la France à UNITAID, leader mondial de la baisse des prix des médicaments et de la prise en charge des enfants séropositifs.

 

Cette décision n’a pas fait l’objet d’une annonce en fanfare, et pour cause : elle signe un revers historique dans la bataille mondiale contre le sida, et le sacrifice de centaines de milliers de vies sous prétexte d’austérité budgétaire.

 

C’est en effet la première fois depuis l’apparition du virus du sida qu’un gouvernement décide de baisser la contribution de la France à la lutte mondiale contre l’une des pandémies les plus mortelles de l’histoire de l’humanité. 40 millions de morts en 30 ans selon l’ONU.

 

Et ce en avançant un faux prétexte : celui de la rigueur budgétaire. Depuis plusieurs années, les ONG se mobilisent pour augmenter les marges de manœuvre budgétaires de la France contre le sida, via les financements innovants comme la taxe sur les billets d’avion et la taxe sur les transactions financières.

 

Deux dispositifs qui lèvent aujourd’hui plus d’un milliard d’euros de recettes fiscales supplémentaires par an pour la France. Sur les recettes de la taxe avion, spécialement créée pour financer UNITAID, seuls 110 millions d’euros devaient revenir cette année à la lutte contre les pandémies. Une portion congrue qui sera encore réduite de 25 millions d'euros dès 2014. 25 millions d’euros par an : une goutte d’eau dans le budget annuel, le prix des traitements de 200.000 enfants séropositifs.

 

Cette décision est d’autant plus incompréhensible que la communauté internationale est à un tournant dans la lutte contre l’épidémie : si des efforts massifs sont consentis dans les 5 prochaines années, la fin du sida est possible en 2030 – sinon, l’épidémie rebondira encore plus fort – et coûtera encore plus cher. 

 

 
Alors que la crise Ebola montre l’indispensable mobilisation de l’ensemble des acteurs de la communauté internationale pour renforcer la santé dans les pays pauvres, et que les marges de manœuvre budgétaires existent pour augmenter les efforts, il est inconcevable que le gouvernement rogne dans des financements à l’impact sanitaire majeur.
 
 

Les gouvernements précédents l’avaient compris, ils avaient tous contribué à augmenter les efforts de la France dans le combat contre une épidémie globale. Dernier exemple en date, Nicolas Sarkozy qui avait augmenté de 20% la contribution de la France au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.

 

Le Président François Hollande s’est pour le moment contenté d’envoyer le 1er décembre (journée mondiale de lutte contre le sida) un message d’espoir et de soutien aux malades du sida du monde entier, avant, 8 jours plus tard, de laisser le Ministère des Affaires étrangères priver 200.000 d’entre eux de traitements vitaux.

 

Les ONG rappellent aujourd'hui à François Hollande qu’il est encore temps de revenir sur cette décision extrêmement grave.




 
Contacts presse :

Sophie Baillon, AIDES et Coalition PLUSsbaillon@coalitionplus.org

Annabel Hervieu, ONE Franceannabel.hervieu@one.org

Magali Rubino, Oxfam Francemrubino@oxfamfrance.org

Francis Gionti, Sidactionf.gionti@sidaction.org

Olivia Chouquet, Solidarité Sidaochouquet@solidarite-sida.org

Rachel Demol-Domenach, Solthisrachel.demol-domenach@solthis.org



jeudi 14 août 2014

Paris apporte une aide de 90.000 euros pour l’action de Médecins du Monde à Gaza

 
La Ville de Paris a décidé de répondre favorablement à l’appel aux dons de l’ONG Médecins du Monde en lui apportant une aide d’urgence de 90.000 euros pour financer ses opérations humanitaires à Gaza.
Le récent conflit à Gaza présente un bilan humain et humanitaire particulièrement lourd : 2.000 tués, 9.500 blessés et près d’un quart de la population déplacée. L’ensemble des services publics (électricité, accès à l’eau, transports, santé, écoles) sont aujourd’hui gravement perturbés. Un grand nombre d’hôpitaux et de centres de santé, détruits ou endommagés par les combats, ne fonctionnent que partiellement, dégradant considérablement la couverture sanitaire de la population.



Les élus du Conseil de Paris ont adopté à l’unanimité, au mois de juillet, un vœu condamnant l’escalade de la violence et appelant à la relance du processus politique de négociations entre le gouvernement israélien et l’autorité palestinienne.




Face à une situation humanitaire critique, sur la sollicitation de Médecins du Monde, la Ville de Paris a décidé d’apporter à l’ONG une aide d’urgence d’un montant de 90.000 euros, pour financer ses opérations à Gaza.




Ce soutien de la Ville de Paris permettra la mise en place de cliniques mobiles à destination des populations déplacées leur offrant soins et soutien psychologique. Une dizaine de centres de santé seront également réapprovisionnés en matériel médical de base et bénéficieront d’une réhabilitation pour être de nouveau fonctionnels.
 




mercredi 28 novembre 2012

Responsabilité sociétale :


L’évaluation AFAQ 26000 pour distinguer les bonnes pratiques

L’ISO 26000, 1ère norme internationale sur la responsabilité sociétale, vient d’être publiée. Comment l’organisme peut-il démontrer qu’il mène des actions concrètes en faveur du développement durable et assume pleinement sa responsabilité sociétale ? AFNOR Certification propose l’évaluation AFAQ 26000 qui permet à tout organisme, quelles que soient sa taille et ses activités, de faire reconnaître les efforts qu’il a engagés et de susciter une dynamique de progrès.

 

La responsabilité sociétale est la contribution des organismes - entreprises, collectivités, ONG, syndicats… - au développement durable.

Elle se traduit par la volonté de l’organisation d’assumer la responsabilité des impacts de ses décisions et activités sur la société et l’environnement, et d’en rendre compte. Le développement durable est une finalité jamais atteinte qui nécessite des adaptations et des efforts constants. L’évaluation AFAQ 26000 passe au crible l’ensemble des pratiques d’une organisation ainsi que ses résultats sur les 3 piliers du développement durable (économique, social et environnemental).

 

L’organisme évalué obtient une note sur 1000 qui correspond à l’un des quatre niveaux de maturité du modèle d’évaluation (Engagement, Progression, Maturité et Exemplarité).

Il bénéficie ainsi d’un véritable état des lieux avec une feuille de route qui lui permettent  d’estimer la pertinence de sa politique de responsabilité sociétale selon la norme ISO 26000, et d’identifier les points forts et les points faibles de ses pratiques.

Stratégie de responsabilité sociétale, intégration de la responsabilité sociétale dans le management, ressources humaines et conditions de travail, ancrage territorial, production, consommation, protection du consommateur…tous ces points sont analysés par une équipe d’évaluateurs extérieurs experts, spécialement qualifiés.

 

AFNOR Certification dispose de plus de 3 ans de retours d’expérience avec l’évaluation développement durable AFAQ 1000NR. Une centaine d’organisations ont déjà fait évaluer leurs pratiques. Aujourd’hui, AFAQ 1000NR laisse la place à AFAQ 26000.

 

De la norme ISO 26000 à l’évaluation AFAQ 26000

Les réponses de chaque organisation en terme de responsabilité sociétale sont différentes et leur pertinence dépend du contexte de chacune.

Le développement durable est une finalité jamais atteinte qui nécessite des progrès, des efforts et des adaptations constants.

La responsabilité sociétale ne fait donc pas appel à un jugement binaire « Je suis développement durable » ou «  Je ne le suis pas ». L’évaluation de la maturité pour faire reconnaître les efforts des organisations tout en suscitant une dynamique de progrès est la solution la plus pertinente en termes éthiques et techniques.

Pour en savoir plus : www.afnor.org

 

AFNOR Certification est, en France, le premier organisme de certification et d’évaluation de systèmes, services, produits, compétences. L’un des premiers au niveau mondial, cette société du Groupe AFNOR propose les deux marques les plus connues du marché : AFAQ et NF. Elle délivre plus de 500 prestations différentes. Accréditée en France et à l’étranger, elle offre un véritable service de proximité grâce à ses 27 implantations sur les 5 continents et à ses 13 délégations régionales françaises. Elle mobilise 1500 auditeurs qualifiés pour répondre aux besoins de ses clients répartis sur plus de 60000 sites de par le monde.