Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 17 janvier 2014

A propos d'Etienne Caniard

Pour Etienne Caniard, président de la Mutualité Française, "l'organisation de cette conférence illustre la volonté de promouvoir le mode ...
 
Etienne Caniard. Ce statut doit permettre aux mutuelles d'agir à l'échelle de l'Union pour mener des activités transfrontalières et de constituer des ...

mardi 17 décembre 2013

Libres propos signés José Bové


L'élevage pris en otage par les margoulins

 

Après la viande de cheval dans les lasagnes de l'affaire Spanghero du début de l'année, la viande mise en cause aujourd'hui dans le Sud de la France à Narbonne, son origine et sa traçabilité pourraient être plus préoccupantes car les prolongements pourraient être d'ordre sanitaire.

En effet, cette viande serait susceptible de provenir de chevaux ayant été utilisés dans le cadre de programmes scientifiques ou issus d'animaux traités aux antibiotiques.

 

  

Pour José Bové - Député européen - Vice-Président de la Commission de l'agriculture et du développement rural

 

"Le nombre de vétérinaires en charge du contrôle des abattoirs est en chute libre. En 2004, on en comptait 1650, il n'y en a plus que 1400 aujourd'hui. Les conséquences sont immédiates. Les possibilités de fraudes se multiplient. Le manque de scrupules d'une poignée d'escrocs jettent le discrédit sur l'ensemble de la filière animale. La dernière crise a entrainé la fermeture d'abattoirs, et de nombreux licenciements. Combien de personnes vont se retrouver sans emploi cette fois-ci ? Les répercussions vont bien au-delà du secteur chevalin. Les consommateurs n'ont plus confiance dans la viande. Ils attendent toujours de l'UE une traçabilité sans faille aussi bien pour la viande que pour les plats cuisinés.. Les producteurs  sont également frappés. Ils éprouvent de plus en plus de difficulté à écouler leurs animaux à un prix couvrant leurs coûts de production.

 

Au cours de ces quinze dernières années, la restructuration de la filière d'abattage a entraîné la disparition de très nombreux petits abattoirs de proximité dont la plupart arrivaient pourtant à répondre aux normes sanitaires européennes. La course au gigantisme des abattoirs notamment liés aux plus grandes entreprises de l'agro-industrie, doit être stoppée. Ces usines où les conditions de travail sont extrêmement éprouvantes doivent être démantelées progressivement pour ré-installer des abattoirs de proximité, plus faciles à contrôler, plus proches des paysans et des consommateurs.

 

Le nombre de vétérinaires doit être augmenté pour qu'ils soient en mesure d'effectuer correctement leur mission et assurer la sécurité alimentaire de millions de consommateurs. Sans une amélioration des conditions de contrôle sanitaire, c'est l'ensemble de l'élevage français qui courent le risque d'être mis à l'index dans les autres pays de l'Union européenne."

 

mardi 3 décembre 2013

Observatoire Français des Retraites – 12ème édition


Union Mutualiste Retraite / Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI

 

Nouveaux records d’inquiétude des Français sur le sujet de la retraite, Le projet de réforme jugé insuffisant ne permet pas de sauver le système

 

- Nouveaux records d’inquiétude chez les actifs

- Mal connu, le projet de réforme des retraites suscite colère et résignation,

- La réforme en discussion jugée insuffisante ne permet pas de sauver le système

- La proportion de Français qui a épargné en vue de sa retraite décline.

 

Alors qu’un nouveau projet de réforme des retraites fait l’objet des dernières navettes parlementaires entre l’Assemblée Nationale et le Sénat, la douzième édition de l’Observatoire des Retraites UMR-Corem / Liaisons Sociales Magazine / Ipsos (1) fait le point sur le jugement des Français sur le sujet :

Ce projet de réforme parvient-il à apaiser leurs inquiétudes sur leurs conditions de vie au moment de leur retraite ? Le contenu du projet est-il connu ? Les incite t-il à épargner davantage en vue de leur retraite ?

 

(Publié dans Liaisons Sociales Magazine du lundi 2 décembre 2013)

 

Nouveaux records d’inquiétude des Français sur le sujet de la retraite

 

Six mois après la dernière vague d’analyse, le haut niveau d’appréhension à l’égard du montant de leur retraite (80% en avril dernier) ne faiblit pas. Des records d’inquiétude sont même battus en ce qui concerne leur niveau de vie au moment de leur retraite (73% ; +2 points par rapport à avril 2013), leur capacité à vivre de façon indépendante (61% ; +3) et leur santé et accès aux soins à ce moment de leur vie (61% ; +4). Globalement, les Français n’ont jamais été aussi inquiets au sujet de leur future retraite depuis 2009 et la mise en place de cet Observatoire.

Les craintes progressent en particulier chez les actifs occupés : 87% (+1 point par rapport à avril dernier) s’inquiètent du montant de leur retraite ; 79% (+2) de leur niveau de vie à ce moment de leur vie, 67% (+5) de leur capacité à vivre de manière indépendante et 67% (+7) de leur santé et accès aux soins.

 

Si les femmes demeurent plus inquiètes que les hommes par la perspective de leur retraite (ce qui s’explique par leurs carrières plus souvent interrompues et des niveaux de salaires moindres), les écarts ont tendance à se réduire par rapport à avril dernier : l’inquiétude progresse surtout chez les hommes.

 

Mal connu, le projet de réforme des retraites suscite colère et résignation, et les mesures sont diversement appréciées

 

Si 82% des Français déclarent avoir entendu parler de la réforme des retraites actuellement en discussion au Parlement, seuls 22% parmi eux savent précisément quelles en sont les principales dispositions.

 

 

(1) Enquête réalisée par téléphone les 8 et 9 novembre 2013 auprès d’un échantillon national représentatif de 1025 personnes âgées de 15 ans et plus.

 

Mal connue, la réforme est mal jugée et suscite colère (57% contre 53% en 2010 et même 69% des 45-59 ans ou encore 73% des personnes dont le revenu mensuel net du foyer est inférieur à 1200 €) et résignation (56% la citent parmi les deux principaux sentiments qui leur viennent spontanément à l’esprit, en particulier dans les catégories les plus favorisées).

Les mesures sont très diversement appréciées :

Ø Sont approuvés :

 

- la création du compte pénibilité est saluée par 91% des Français dont 56% « tout à fait » (et même 67% des ouvriers).

- Le maintien de l’âge légal de départ en retraite à 62 ans est maintenant acquis, approuvé par 56% des Français, actifs comme inactifs.

Ø Sont désapprouvés :

 

- L’allongement progressif de la durée de cotisation de 41,5 à 43 ans est désapprouvé par 55% des français et même 63% des actifs,

- Le report de la revalorisation des retraites du 1er avril au 1er octobre est désapprouvé par 54% des Français et 65% des retraités

- La hausse des cotisations sociales payées par les employeurs et les salariés est rejetée par 66% des Français et 71% des actifs.

 

La réforme en discussion jugée insuffisante ne permet pas de sauver le système

Pour une large majorité de Français, la réforme actuellement en discussion n’est donc ni suffisante (78% dont 41% qui considèrent même qu’elle ne l’est « pas du tout »), ni même ambitieuse (70% dont 41% « pas du tout ») ou juste (69% dont 40% « pas du tout »). Elle ne permet pas non plus d’assurer la sauvegarde du système des retraites (69% dont 38% « pas du tout »).

Ils n’ont pas changé d’opinion par rapport à avril dernier, où une large majorité (63 %) des interviewés plébiscitait la mise en oeuvre d’une réforme « en profondeur » du système de retraite en France, qui traiterait de l’ensemble des sujets, y compris les plus délicats (mode de calcul des pensions, harmonisation entre secteur public et secteur privé, nouveaux prélèvements sur les retraités).

 

La proportion de Français qui a épargné en vue de sa retraite a décliné

Pour une majorité de Français, cette réforme n’a pas d’impact sur les intentions d’épargne en préparation de la retraite.

Probablement d’autres facteurs, notamment les difficultés économiques croissantes de nombre de ménages, contribuent à expliquer le lent déclin de la part de Français ayant épargné d’une manière ou d’une autre en vue de leur retraite : 53% en 2009, 49% jusqu’en avril dernier et désormais 47%.

 

Les Français qui ont le plus tendance aujourd’hui à abandonner l’idée d’épargner en vue de leur retraite sont les Français les plus modestes : aujourd’hui, 22% des ouvriers ou encore 20% des Français dont le revenu mensuel net du foyer est inférieur à 1200 € ont abandonné l’idée de pouvoir compléter leur retraite par leur épargne.

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L’Observatoire Français des retraites UMR /Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI, créé en 2006, interroge deux fois par an, depuis 2009, les Français sur toutes les questions touchant à la retraite, avec des focus par thèmes : épargne, santé et dépendance, réformes…

 

NDLR : MGEFI ET COREM
 
Corem                               
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    mardi 26 novembre 2013

    Les métiers de la Mutualité


    L'Union des Groupements Employeurs Mutualistes et la Mutualité Française signent un accord de partenariat avec l'Académie de Paris

    Près de 1 000 lycéens étaient réunis vendredi 22 novembre 2013 à la Maison de la Mutualité à Paris pour une matinée de présentation des métiers de la Mutualité. A cette occasion, Alain Hernandez, Président de l’Union des Groupements Employeurs Mutualistes (UGEM), Roland Berthilier, Secrétaire Général de la Mutualité Française, et François Weil, Recteur de l’Académie de Paris, chancelier des universités, ont signé un accord de partenariat.

     

    Cet accord vise notamment à informer les collégiens et lycéens, leurs familles, les chefs d’établissement et les personnels enseignants sur les quatre familles de métiers proposés par la Mutualité : 

     

    -  la prévention et la promotion de la santé : animateur de prévention,

     

    - la protection sociale, santé-prévoyance : téléconseiller(ère), conseiller(ère) mutualiste, spécialiste prestations santé ou chargé(e) d’études techniques,

     

    -  les soins et l'accompagnement : dentiste, opticien ou audioprothésiste,

     

    -  les métiers supports : contrôleur(euse) interne, juriste.

     

    La Mutualité qui emploie en France 85 000 personnes, dont 15 000 professionnels de santé, prévoit en effet d’embaucher environs 10 000 collaborateurs d’ici 2018*.

     

    L’accord de partenariat signé ce jour décline au niveau académique l’accord-cadre national signé le 25 juillet 2008 entre le Ministre de l’Education nationale et le Président de l’UGEM qui prévoyait notamment :

     

    Ø L’orientation des élèves tout au long de leur cursus secondaire,

     

    Ø un accompagnement à la formation professionnelle initiale en accueillant les élèves de 5ème et de 3ème lors de leurs parcours découverte de l’entreprise,

     

    Ø une participation à la formation des personnels de l’éducation nationale par le biais de stages dans les entreprises mutualistes,

     

    Ø une réflexion portant sur l’articulation entre les diplômes de l’enseignement technologique et professionnel et les besoins en qualification de la branche Mutualité.

     

    Dans le cadre de ce partenariat, un livret ONISEP et un site internet dédié www.metiers-mutualite.com présentent les différents métiers de la Mutualité.

     

    * Sources DADS 2010 et bilan social de branche sur les données 2011 réalisée par l’Observatoire de l’emploi et des métiers en mutualité.

     

    lundi 25 novembre 2013

    Les métiers de la Mutualité L'Union des Groupements Employeurs Mutualistes et la Mutualité Française signent un accord de partenariat avec l'Académie de Paris

    Près de 1 000 lycéens étaient réunis ce matin à la Maison de la Mutualité à Paris pour une présentation des métiers de la Mutualité. A cette occasion, Alain Hernandez, Président de l'Union des Groupements Employeurs Mutualistes (UGEM), Roland Berthilier, Secrétaire Général de la Mutualité Française, et François Weil, Recteur de l'Académie de Paris, chancelier des universités, ont signé un accord de partenariat.

     
    Cet accord vise notamment à informer les collégiens et lycéens, leurs familles, les chefs d'établissement et les personnels enseignants sur les quatre familles de métiers proposés par la Mutualité :

    - la prévention et la promotion de la santé : animateur de prévention,

    - la protection sociale, santé-prévoyance : téléconseiller(ère), conseiller(ère) mutualiste, spécialiste prestations santé ou chargé(e) d'études techniques,
    - les soins et l'accompagnement : dentiste, opticien ou audioprothésiste,

    - les métiers supports : contrôleur(euse) interne, juriste.

     
    La Mutualité qui emploie en France 85 000 personnes, dont 15 000 professionnels de santé, prévoit en effet d'embaucher environs 10 000 collaborateurs d'ici 2018*.

     
    L'accord de partenariat signé ce jour décline au niveau académique l'accord-cadre national signé le 25 juillet 2008 entre le Ministre de l'Education nationale et le Président de l'UGEM qui prévoyait notamment :

    - l'orientation des élèves tout au long de leur cursus secondaire,

    - un accompagnement à la formation professionnelle initiale en accueillant les élèves de 5ème et de 3ème lors de leurs parcours découverte de l'entreprise,

    - une participation à la formation des personnels de l'éducation nationale par le biais de stages dans les entreprises mutualistes,

    - une réflexion portant sur l'articulation entre les diplômes de l'enseignement technologique et professionnel et les besoins en qualification de la branche Mutualité.
     

    Dans le cadre de ce partenariat, un livret ONISEP et un site internet dédié www.metiers-mutualite.com présentent les différents métiers de la Mutualité.

     
    * Sources DADS 2010 et bilan social de branche sur les données 2011 réalisée par l'Observatoire de l'emploi et des métiers en mutualité.

    mardi 12 mars 2013

    LIBRES PROPOS : signés Jacques Draussin











    vendredi 15 février 2013

    Journée Internationale du cancer de l’enfant



      La Fondation Sanofi Espoir et l’Union Internationale Contre le Cancer renforcent leur partenariat
    My Child Matters pour trois ans

    - 38 700 enfants pris en charge et 9 700 professionnels de santé formés depuis 2006 -



    Paris, France et Genève, Suisse - le 14 février 2013

    - A l’occasion de la Journée Internationale du cancer de l’enfant, l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) et la Fondation Sanofi Espoir annoncent le renouvellement pour trois ans de leur partenariat My Child Matters, visant à lutter contre les cancers de l’enfant dans les pays à ressources limitées.

    Le nouveau plan d’action est construit autour de trois priorités : l’accompagnement renforcé et l’évaluation des projets en cours dans 15 pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine, l’appui aux réseaux de soins internationaux et le déploiement d’actions de sensibilisation au plus haut niveau pour que les cancers de l’enfant deviennent une priorité de santé publique mondiale.

    «

    Un programme est un succès quand il a démontré de réels bénéfices pour améliorer l’accès à la santé des plus démunis et qu’il a permis, tout à la fois, de renforcer la filière de soins et d’influencer les politiques de santé », explique Caty Forget, Déléguée Générale de la Fondation Sanofi Espoir. « Aujourd’hui, nous sommes heureux de renforcer notre partenariat My Child Matters qui a démontré sa capacité à faire bouger les lignes. C’est le cas, notamment, au Philippines Children’s Medical Center, où le taux de survie à 2 ans, pour les leucémies, a progressé de 16% à 68% et où les traitements pour les plus démunis sont désormais pris en charge par l’Etat. »

    Depuis 2006, plus de 40 projets ont été soutenus dans 26 pays. Au total, 38 700 enfants ont été pris en charge et 9 700 professionnels de santé ont été formés.

    «

    Le partenariat avec la Fondation Sanofi Espoir, initié en 2005, est l’un des plus forts et des plus emblématiques pour l’UICC, en raison de son impact significatif sur la lutte contre les cancers de l’enfant dans le monde », résume Cary Adams, Chief Executive Office, Union Internationale Contre le Cancer. « Aujourd’hui, le fossé entre les taux de survie dans les pays développés et dans les pays à bas revenus se réduit. Les capacités de diagnostic précoce et de traitement ont été développées dans les pays concernés. Enfin, la cause des cancers de l’enfant est désormais défendue dans les pays et au plus haut niveau international, à l’OMS ou au Comité des Nations Unies sur les maladies non-transmissibles. »

    Plus de 175 000
    * enfants sont confrontés chaque année au cancer et au moins 90 000* en meurent. Près de 80 % des enfants atteints d’un cancer dans les pays développés guérissent grâce à une prise en charge précoce et efficace. Ce taux tombe malheureusement à 20 % des enfants, voire 10 %, dans les pays à faibles ressources où l’information, le diagnostic précoce, l’accès aux soins et aux traitements sont souvent difficiles.

    Le programme
    My Child Matters, conçu par l’équipe de la Fondation Sanofi Espoir et déployé avec l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC), le St Jude Children’s Research Hospital (Etats-Unis) 2/2

    et d’autres organisations partenaires, associe soutien financier, appui d’experts internationaux et mise en réseau pour améliorer tous les aspects de la chaîne de santé : l’information et la sensibilisation du grand public et des autorités, la formation de personnels qualifiés, le diagnostic plus précoce, l’accès aux soins, y compris la lutte contre la douleur et les soins palliatifs encore très peu développés, ainsi que le soutien psychologique aux enfants, aux familles et à leurs soignants.

    Chaque année, un bilan est dressé avec chacun des partenaires locaux pour mesurer les impacts du programme sur les bénéficiaires directs, notamment les enfants et leurs familles, ainsi que les professionnels de santé, et pour juger de l’effet de levier sur les politiques de santé des pays.

    * Source : UICC / SIOP (Février 2013) http://www.siop-online.org/


    A propos de l’UICC


    L’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) est une organisation non-gouvernementale créée en vue d’aider la communauté mondiale de la santé à intensifier sa lutte pour l’éradication du cancer. Fondée en 1933 et établie à Genève, l’UICC regroupe plus de 770 organisations dans 156 pays, dont les principales associations mondiales de lutte contre le cancer, les ministères de la santé, les instituts de recherche et les groupes de patients. Pour plus d’informations : www.uicc.org.


    A propos de la Fondation Sanofi Espoir


    La Fondation d’Entreprise Sanofi Espoir a été créée en octobre 2010 par le groupe Sanofi pour capitaliser plus de 15 années d’engagement de solidarité internationale. Sa vocation est de contribuer à réduire les inégalités en santé, en particulier auprès des populations qui en ont le plus besoin, dans une démarche de responsabilité sociale. Son action s’articule autour de trois axes majeurs : la lutte contre les cancers de l’enfant, la lutte contre la mortalité maternelle et infantile et l’accès aux soins pour les populations les plus démunies. Pour plus d’informations : www.fondation-sanofi-espoir.com


    Liste des membres du Comité de pilotage de My Child Matters

    Le Président, Pr Raul Ribeiro (Directeur de la division leucémies et lymphomes, St Jude Children’s Research Hospital, USA) et les autres membres : Pr Andrea Biondi (Clinica Pediatrica Ospedale S. Gerardo, Italie), Pr Franco Cavalli (Directeur, Istituto Oncologico della Svizzera Italiana), Prof. Mariana Kruger, présidente SIOP Afrique, représentant la Société internationale d’Onco Pédiatrie-SIOP, Pays Bas), Mr Kenneth Dollman (International Confederation Of Childhood Cancer Parent Organisations- ICCCPO), Dr Joe Harford (Directeur des Relations Internationales, National Cancer Institute, USA), Pr Mhamed Harif (Président, Groupe Franco-Africain d’Oncologie Pédiatrique, France), Mme Ruth Hoffman (Directrice, Childhood Cancer Foundation, USA), Pr Tezer Kutluk (Turkish Association for Cancer Research & Control, Turquie), Dr Ian Magrath (Président, International Network for Cancer Treatment and Research, Belgique), Dr Twalib Ngoma (Directeur, Ocean Road Cancer Institute, Tanzanie), Dr Eva Steliarova-Foucher (Direction de la recherche, Centre International de Recherche sur le Cancer, France).

    jeudi 14 février 2013

    Enquête Famille et Logements 2011 : L'Ined et l'Insee présentent trois premières études

    Enquête Famille et Logements 2011 :
    L'Ined et l'Insee présentent trois premières études
     

    Les situations familiales sont de plus en plus diverses et en perpétuelle évolution : familles recomposées, couples pacsés, conjoints de même sexe, mode de garde des enfants, lieux de vie au sein d'une même famille, etc.
    L'enquête Famille et Logements (EFL), permet de connaître plus précisément les familles d'aujourd'hui et leurs lieux de vie. De premiers résultats sont présentés aujourd'hui au travers de trois études sur les couples et les modes de cohabitation :

    - Les pacsés en couple hétérosexuel sont-ils différents des mariés ? (Ined)
    - Le couple dans tous ses états (Insee)
    - Mariage, union libre ou Pacs : à chaque âge sa forme de couple (Insee Île-de-France)

    Réalisée par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) en collaboration avec l'Institut national d'études démographiques (Ined), cette enquête a bénéficié de l'appui scientifique ou financier de nombreux partenaires1 .


    Les pacsés en couple hétérosexuel sont-ils différents des mariés ?

    Les couples hétérosexuels souhaitant une reconnaissance civile de leur union ont le choix entre le pacs et le mariage en France depuis 1999. En quoi ceux ayant choisi le pacs se distinguent-ils des mariés ? Les pionniers qui se sont pacsés peu de temps après l'instauration de la loi sont-ils différents des pacsés plus récents ? Analysant l'enquête Famille et logements, Estelle Bailly et Wilfried Rault, de l'Institut national d'études démographiques, montrent que les pacsés sont plus fréquemment sans enfant que les mariés, mais moins souvent que les personnes en union libre. Ils sont plus diplômés que les mariés, plus souvent cadres ou membres de professions intermédiaires, et exercent plus souvent une activité dans le secteur public. Les écarts entre pacsés et mariés se sont amoindris ces dernières années. Ayant connu un grand succès et s'étant diffusé dans des milieux sociaux qui s'en étaient peu emparés à ces débuts, le pacs s'est « démocratisé ».

    Ined : Population & Sociétés n° 497  -
    service-presse@ined.fr


    Le couple dans tous ses états

    Début 2011, en France métropolitaine, 32 millions de personnes majeures déclarent être en couple, 72 % d'entre elles sont mariées et partagent la même résidence que leur conjoint, de sexe différent. 7 millions sont en union libre et 1,4 million sont pacsées.
    Parmi les adultes qui se déclarent en couple, 4 % indiquent par ailleurs que leur conjoint ne vit pas dans le logement. Plus de la moitié d'entre eux a moins de 30 ans. Entre 30 et 59 ans, une personne en couple sur dix ne réside pas avec son conjoint en l'absence d'enfant commun. La non-cohabitation concerne surtout des personnes en union libre.
    200 000 personnes sont en couple avec une personne du même sexe, dont 16 % avec une personne ne vivant pas sous le même toit. Six sur dix sont des hommes. 43 % sont pacsées, cette proportion atteignant 55 % après 35 ans. Environ 10 % déclarent vivre au moins une partie du temps avec un enfant, généralement né avant l'union actuelle ; il s'agit avant tout de femmes.

    Insee : Insee Première n° 1435 - Contact : 
    bureau-de-presse@insee.fr

    ______________
    1 Agence nationale de la recherche (ANR), Atelier parisien d'urbanisme (Apur), Caisses d'allocations familiales d'Île de France, Caisse nationale d'allocations familiales (Cnaf), Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp), Direction générale de l'administration et de la fonction publique (DGAFP), Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Île-de-France (IAU-ÎDF) , Mairie de Paris, Observatoire national des zones urbaines sensibles (Onzus), Plan urbanisme construction architecture (Puca).




    Mariage, union libre ou Pacs : à chaque âge sa forme de couple

    En 2011, le mariage reste le statut majoritaire des personnes adultes vivant en couple en Ile-de-France (71 %). Avant 25 ans, les personnes en couple vivent essentiellement en union libre, tandis qu'après 35 ans, le mariage prédomine. Le pacs, dans un cas sur deux, est choisi par une personne de 25 à 34 ans. A Paris, les personnes en couple sont davantage en union libre.

    Insee IDF : Faits et chiffres n° 302 - Contact : eric.bonnefoi@insee.fr



              
          L'enquête Famille et Logements 2011
          
          L'information démographique en France provient de deux sources principales. Le recensement fournit des données sur l'état de la population à une date donnée, l'état civil renseigne sur les naissances, mariages et décès. Mais ces deux sources ne sont pas suffisantes pour éclairer les histoires et situations familiales des personnes vivant en France (nombre d'enfants, calendrier des naissances, types d'union, etc.).
         
    Régulièrement associée aux enquêtes de recensement depuis 1954, l'enquête Famille permet de décrire plus en détail la diversité des situations familiales. Avec un échantillon de 360 000 adultes répondants en 2011, répartis dans 1400 communes, l'enquête Famille et Logements permet en particulier de quantifier des situations très minoritaires, ce qui n'est pas possible dans les enquêtes habituelles de taille plus réduite.
          
          Douze ans après la dernière édition, l'enquête Famille et Logements 2011 intègre de nouveaux thèmes : le pacs, la vie en couple non cohabitant ou avec une personne de même sexe, les familles recomposées, les modes de garde d'enfants. Elle aborde également les thèmes de la multirésidence et du déploiement géographique des familles, et, comme les précédentes enquêtes, permet d'étudier la fécondité ou les familles sur trois générations.
          
          Trois premières études portant sur les couples et les modes de cohabitation sont publiées aujourd'hui. Elles seront complétées par la suite par des publications sur les autres thématiques abordées par l'enquête.
          

    mardi 29 janvier 2013

    La MGEFI dans la presse


    PROTECTION SOCIALE INFORMATIONS (23 JAN 13)

    Titre : MFP : vers une union politique pour le RO ?

     

    EN JEU (FEV 13)

    Titre : Jean-Pierre Davant, le sport-santé est-il une idée neuve en France ?

    lundi 3 décembre 2012

    A propos d'Istya...


    L'Union Harmonie Mutuelles et le groupe MGEN/Istya publient une ...
    Guy Herry, Président de l'Union Harmonie mutuelles et Thierry Beaudet, Président des Groupes Mgen/Istya publient dans le journal Le Monde daté du 29.
    wellcom.fr/.../lunion-harmonie-mutuelles-et-le-groupe-mgenis...

     

    NDLR : la MGEFI rejoint le Groupe Istya le 1er janvier 2013

    jeudi 29 novembre 2012

    L’Union Harmonie Mutuelles et le groupe MGEN/Istya publient une « Lettre aux médecins » dans Le Monde


    Guy Herry, Président de l’Union Harmonie mutuelles et Thierry Beaudet, Président des Groupes Mgen/Istya publient dans le journal Le Monde daté du 29 novembre une lettre ouverte aux médecins intitulée : « Nos adhérents sont aussi vos patients ».

     

    « Harmonie mutuelles et Mgen/Istya assurent la protection complémentaire santé de plus de 10 millions d’assurés sociaux répartis sur l’ensemble du territoire. C’est dire que nos adhérents sont aussi vos patients, de la même manière que nombre de vos patients sont sans doute aussi nos adhérents.

     

    Aujourd’hui, nous pensons que nos adhérents comme vos patients méritent mieux que des procès d’intention réciproques. Nous pensons que l’irrationalité et l’affectivité des discours témoignent aussi de la mauvaise compréhension que nous avons de nos réalités respectives.

     

    Vous attendez que nous soyons attentifs à vos préoccupations, résultant, par exemple, d’une revalorisation insuffisante des tarifs opposables. Nous attendons que vous soyez attentifs à l’inquiétude de nos adhérents confrontés, par exemple, à des difficultés financières grandissantes pour faire face à la maladie. Vous demandez que vos libertés soient respectées et votre travail correctement rétribué. Nous demandons que nos adhérents aient une liberté de choix la moins possible limitée par des obstacles financiers ou géographiques.

     

    Aujourd’hui, nous savons tous que les capacités financières de nos adhérents et de vos patients sont de plus en plus restreintes par la crise. Nos cotisations comme vos honoraires atteignent leurs limites pour bon nombre de nos concitoyens.

     

    Nous avons la conviction qu’agir ensemble serait plus efficace qu’agir séparément pour mieux répondre aux besoins de nos adhérents et de vos patients en redressant le niveau de solidarité dans la prise en charge des dépenses de soins des médecins. Ce niveau a très nettement régressé depuis la fin des années 1990. A l’époque, après remboursements de l’assurance maladie et des organismes complémentaires, vos patients, nos adhérents, assumaient directement environ 5 % des dépenses de soins de médecins. En 2011, ils en ont assumé 11 %, soit plus du double. Et cela malgré l’augmentation des prises en charge à 100 % ! Aucun autre grand poste des dépenses de soins n’a connu un recul aussi fort des financements solidaires.

     

    Ce n’est acceptable ni pour nos adhérents, ni pour vos patients, ni par vous-même. Nous pensons que ce recul des financements solidaires témoigne d’une moindre considération pour l’utilité de votre contribution à l’amélioration de la santé de l’ensemble des assurés sociaux.

     

    Il faut mettre un terme à cette dérive. Chacun doit assumer sa part dans cet effort. D’abord les pouvoirs publics en mettant fin aux franchises non remboursables sur vos consultations. Contrairement aux principes de 1945, il s’agit d’une contribution en fonction de l’état de santé, qui plus est ne tenant pas compte des possibilités financières de chacun au-delà d’un revenu très minimal.  La défense de la solidarité passe par une assurance maladie obligatoire remboursant au plus haut niveau possible sur la base de tarifs opposables justement revalorisés.

     

    L’avenant conventionnel n° 8 a instauré un premier cadre de régulation des suppléments d’honoraires. Il ne nous satisfait qu’en partie. Mais si une proportion suffisante d’entre vous accepte de s’inscrire dans cette logique de régulation et si cela peut permettre de débloquer la situation, nous sommes prêts à prendre en charge les suppléments d’honoraires dans le cadre du contrat d’accès aux soins selon les modalités prévues par l’avenant.

     

    Notre engagement collectif et organisé sera primordial pour la réussite de ce dispositif et afin de compléter et de conforter de manière cohérente l’amélioration des remboursements décidée par l’assurance maladie obligatoire. A moins que la future loi sur les réseaux ne nous l’interdise de façon tout à fait paradoxale. Il faudrait aller encore plus loin dans cette logique de régulation pour alléger davantage la part de financement non solidaire à la charge des ménages. La question des suppléments d’honoraires hors contrat d’accès aux soins reste en effet entière. Si nous voulons un partage équitable de l’effort à fournir, il n’est pas possible aujourd’hui, comme cela a sans doute pu exister, d’envisager des remboursements de ces suppléments sans aucune régulation ni perspective de convergence tarifaire à terme.

     

    Au moment où nous écrivons cette tribune, les futures dispositions de la loi sur les réseaux en discussion au Parlement nous interdiraient d’envisager avec vous toute forme de contractualisation visant un allègement du reste à charge de nos adhérents et de vos patients en contrepartie d’un effort de régulation et dans la perspective d’une convergence tarifaire.

     

    Avec le Président de la Mutualité Française, nous regrettons cette situation. La double absence d’un cadre collectif conventionnel, au-delà du contrat d’accès aux soins et de fondement à toute perspective de négociations avec les mutuelles, va nous conduire inévitablement à figer ou limiter notre intervention hors du contrat d’accès aux soins, faute de visibilité tarifaire. Or, cette visibilité sur la régulation est d’autant plus nécessaire que nous devons également contribuer, aux côtés de l’assurance maladie, au soutien de l’activité des médecins de secteur 1, notamment les médecins spécialistes en médecine générale, non seulement sur le plan financier mais aussi en matière d’organisation et de coordination.

     

    Si vous pensez, comme nous, que la santé ne peut pas et ne doit pas être un marché, que c’est d’abord l’accès de nos concitoyens à des soins de qualité qui doit guider notre action et vos pratiques, alors notre responsabilité commune est de placer le débat à une autre hauteur et dans une autre perspective que ces derniers jours.

     

    On ne construit pas l’avenir dans la défiance mais dans la confiance. S’il y a une volonté commune pour établir cette confiance, il y aura un chemin pour y parvenir. Ne le ratons pas dans l’intérêt à la fois de nos adhérents et de vos patients. »

     

    A propos du groupe MGEN/Istya

    Mutuelle santé, prévoyance, autonomie, retraite, le groupe MGEN gère le régime obligatoire d’assurance-maladie des professionnels de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Culture et de la Communication, de la Jeunesse et des Sports et leur offre une couverture complémentaire. Via la mutuelle MGEN Filia, il propose une complémentaire santé ouverte à tous, indépendamment du statut professionnel.

     

    Il gère également 33 établissements sanitaires et médico-sociaux : médecine de ville, soins de suite et de réadaptation, hébergement de personnes âgées et handicapées…

     

    En 2011, le groupe MGEN a protégé plus de 3,5 millions de personnes et réalisé un chiffre d’affaires de plus de 2 milliards d’euros. Le groupe compte 9 400 salariés en France.

     

    Il fait partie du groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire en santé, prévoyance, autonomie et retraite.

     

    Union mutualiste de groupe (UMG), le groupe Istya rassemble le groupe MGEN, le groupe MNH, la Mutuelle Nationale Territoriale (MNT), la Mutuelle Générale Environnement et Territoires (MGET), la Mutuelle Civile de la Défense (MCDef) et la Mutuelle des Affaires Etrangères et Européennes (MAEE). Au 1er janvier 2013, il sera rejoint par la MGEFI. En 2011, le groupe Istya a protégé 6,7 millions de personnes. Il a réalisé un chiffre d’affaires de 3,7 milliards d’euros.

     

    A propos de l’Union Harmonie Mutuelles

    L’Union Harmonie Mutuelles regroupe les mutuelles Harmonie Mutualité, Mare Gaillard, Mutuelle Nationale Aviation Marine (MNAM), Mutuelle Existence, Prévadiès, Santévie, SMAR, SPHERIA Val de France et Cesare Pozzo. Cette union représente :

     

    - Près de 4,8 millions de personnes protégées

    - 123 630 bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire (CMUc)

     

    - 583 400 personnes assurées au titre du régime social des indépendants (RSI)

     

    - 35 200 entreprises adhérentes

     

    - Près de 4 620 collaborateurs

     

    - Plus de 360 agences

     

    - 2,25 milliards d’euros de chiffre d’affaires

     

    Dans le cadre de cette union :

     

    _ Prévadiès, Harmonie Mutualité, Mutuelle Existence, Santévie et SPHERIA Val de France fusionneront à fin 2012 pour construire ensemble la 1ère mutuelle santé de France : Harmonie Mutuelle*.

     

    Objectifs :

     

    - Faciliter l’accès à une couverture globale de santé

     

    - Faciliter l’accès à l’offre de soins et de services

     

    - Promouvoir un fonctionnement démocratique

     

    - Développer son implantation, en maintenant une proximité locale avec ses adhérents

     

    - Défendre les valeurs mutualistes

     

    _ La MNAM Harmonie Mutuelles et la SMAR Harmonie Mutuelles ont le projet de fusionner à fin 2013 pour créer Harmonie Fonction Publique.

     

    _ La Mutuelle Mare Gaillard et Cesare Pozzo, mutuelles actuellement membres de l’Union Harmonie Mutuelles conservent toute leur place au sein de l’Union.

     

    *Harmonie Mutuelle, mutuelle en cours d’agrément régie par le Code de la mutualité, est issue de la fusion d’Harmonie Mutualité, de Mutuelle Existence, de Prévadiès, de SPHERIA Val de France et des mutuelles Santévie. Cette fusion est soumise à l’approbation de l’Autorité de contrôle prudentiel et à l’avis de l’Autorité de la concurrence.