Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 5 octobre 2023

C'est à lire 📚 Patient partenaire, patient expert de l'accompagnement à l'autonomie de Thérèse Psiuk



"Patient partenaire, patient expert" 📖

De l'accompagnement 
Accompagner le patient et ses proches vers une plus grande autonomie.

Accompagner le patient et ses proches vers une plus grande autonomie
Le patient expert est souvent évoqué pour qualifier les patients atteints de maladies chroniques qui, très souvent, suivent une formation en éducation thérapeutique. Les auteurs souhaitent démontrer que ce concept peut être étendu à tous les patients, pour en faire des patients partenaires de leur guérison, au cœur de leur processus de soin. Expert inné de sa santé, le patient invite autour de son parcours de prise en charge de multiples acteurs, soignants mais également accompagnateurs et aidants.

Ce livre a pour vocation d’élargir le champ de vision des professionnels de santé, en considérant le patient expert comme une entité active, à densifier par son rapport au soin, au soignant et à tout argument qui lui permettra une meilleure compréhension de son mal et des décisions qui seront prises.

A travers de nombreux témoignages et une enquête fournie, les auteurs démontrent que des patients et des proches aidants bien accompagnés par les équipes de professionnels de santé peuvent devenir autonomes dans leur expertise. 

🔎Zoom sur l'auteure
Thérèse Psiuk est experte à l’ANAP (agence nationale pour l’aide à la performance) dans le groupe hôpital numérique depuis le 29 juin 2015, membre du comité de pilotage d’un master 1 et 2 à l’université de Lille « Coordination des trajectoires de soins ». Elle est également membre du comité de pilotage du DU « Soins en gérontologie » (Lille) et intervenante sur le raisonnement clinique et les outils « Parcours de soins, plans de soins types, chemins cliniques » et la pédagogie des adultes.

jeudi 13 septembre 2018

Cancer : l'accompagnent



UNE PSYCHOLOGUE SUR LE DIVAN OU PRESQUE !
« Cancer : l'accompagnement » par Valérie Sugg

Valérie Sugg, psychologue dans un service de cancérologie pendant vingt ans, nous propose son troisième livre « Cancer : l'accompagnement ». Elle ose y bousculer l'habituelle discrétion de sa profession pour expliquer les ressentis : les doutes, les peurs, les joies aussi et la tristesse parfois dans les rencontres qu'elle a pu faire dans le cadre de son métier. C'est surprenant, rare, instructif, et sans aucun doute déculpabilisant pour ceux qui se posent, sans aucun doute, les mêmes questions.
Ce n'est pas tout de posséder le diplôme, ce Master 2 en psychologie et les stages effectués tout au long du cursus sont souvent très enrichissants mais c'est la pratique, comme souvent, qui permet de se forger ses « outils ». Valérie Sugg le souligne : « chaque psychologue ingère concepts et cas cliniques mais ensuite sa pratique est forcément modelée selon son caractère, ses vécus, sa sensibilité, son type d'approche, avec un cadre plus ou moins strict ». Comme Donald W.Winnicott écrivait à propos des mères : « ne cherchez pas à être une bonne mère, soyez une mère suffisamment bonne », Valérie Sugg suggère à sa façon d'être « une psychologue suffisamment bonne » et c'est ce qu'elle tente de faire, au fil de ses expériences, rencontres, écoute de la souffrance de ceux qui vivent une maladie grave potentiellement mortelle : le cancer.
Au travers d'une trentaine de portraits de personnes qu'elle a accompagnées au fil de leurs traitements, plus particulièrement dans un service de Radiothérapie (l'un des traitements du cancer), Valérie Sugg s'interroge puis tente de faire confiance à ses intuitions, à sa façon d'entrer en relation avec l'autre pour essayer d'aider ceux qui le souhaitent à trouver des clefs face aux questions que la maladie fait émerger. Mais c'est aussi au travers des silences, des échanges de regards, des mains tendues qu'elle nous fait découvrir un aspect rarement évoqué de l'accompagnement. De cette nécessité qu'elle ressent parfois de toucher les corps, de soutenir un être par le bras, de prendre une main dans les siennes, d'effleurer ainsi les âmes blessées, les corps parfois meurtris humblement mais avec beaucoup d'humanité.
Ce livre pourrait s'adresser aux étudiants en psychologie certes, aux psychologues, aux soignants, aux soignés mais en fait, il s'adresse à tous parce qu'avec des mots simples, il vient nous cueillir au cœur de l'essentiel, de cette urgence à vivre parfois, de la façon dont l'instant peut être unique et merveilleux aussi, tragique parfois mais où l'amour est toujours présent, sans fard, sans masque et c'est poignant.
Ce n'est pas un livre triste même s'il met dans la lumière ces êtres que Valérie Sugg admire avec une sincérité totale. Bien sûr, elle nous raconte avec beaucoup d'émotions l'histoire de Marc l'homme aux lunettes rouges, Martine la mamie tricoteuse, de Suzy l'étrange fée et de tant d'autres mais il y a aussi des rires, des sourires, des larmes, des cris, beaucoup d'espoir aussi. Finalement, c'est surtout un hymne à la vie !
 
Valérie Sugg,
Psycho-oncologue, Valérie Sugg a publié en 2016 : « Cancer : sans tabou ni trompette » qui aborde avec humour et de nombreux témoignages les différentes étapes du vécu du cancer. En 2017, elle a écrit : « L'hôpital : sans tabou ni trompettesoignés et soignants en souffrance » qui évoque les dysfonctionnements du système de soins français et ses répercussions tant sur les soignants que les soignés.
Cancer l'accompagenement  à paraître le 1er octobre. Tous ses livres sont publiés par les éditions Kawa.

Contact Presse
Suzana Taunais-Biseul
GSM: + 33 (0)6 61 95 34 89
e-mail :staunais@noos.fr
site : http: //www.suzanarp.fr/

jeudi 18 février 2016

Prothèses auditives : AUDIO 2000 lance tout bientôt une nouveauté

AUDIO 2000 lance en exclusivité le boitier A2000 pour améliorer le confort des prothèses auditives

En mars 2016, AUDIO 2000 lance l’offre « Accompagnement sur mesure ». Grace à un boitier, l’A2000, le client bénéficiera d’un accompagnement et de conseils personnalisés pendant la période d’adaptation de ses prothèses auditives. Le professionnel s’appuie ainsi sur des données objectives pour régler au mieux les aides auditives.

Un réglage ajusté aux besoins et au style de vie
Grâce au boitier A2000, le porteur pourra tester et noter ses appareils auditifs dans différents environnements d’utilisation : au cinéma, au téléphone, au restaurant, en groupe…

Deux critères sont jugés : la qualité d’écoute et le confort d’écoute.

La notation pourra se faire plusieurs fois dans la journée, et sur plusieurs jours. 

Lors des visites de réglages, l’audioprothésiste pourra récupérer sur son ordinateur les données enregistrées par le boitier. En fonction des notes du client, l’audioprothésiste affinera les réglages des appareils auditifs en vue d’améliorer son audition.

lundi 8 décembre 2014

C'est à lire : guide de la fin de vie aux éditions "Petit Futé"

Le deuil est une réalité à laquelle personne ne peut échapper. Tous les ans des millions de personnes sont touchées par les 530 000 décès qui surviennent dans notre pays. Les experts prévoient 682 000 décès par an en France à l’horizon 2030. C’est un vrai business de la mort qui s’est mis en place depuis de nombreuses années et ce n’est pas fini.

 

 





jeudi 24 juillet 2014

Accompagnement et éducation aux risques liés à l'injection


Accompagnement à l'injection :

Les résultats sont là, l'urgence sanitaire aussi. Pourquoi attendre ?

 

L'étude AERLI (Accompagnement et éducation aux risques liés à l'injection), menée conjointement dans 14 villes de France par l'ANRS, AIDES, Médecins du Monde et l'INSERM Marseille, délivre aujourd'hui 24 juillet ses premiers résultats. Présentés à la Conférence Internationale sur le sida de Melbourne, ces résultats plaident clairement en faveur d'une généralisation du dispositif.

 

Première mondiale, cette étude visait à évaluer la plus-value de sessions d'accompagnement délivrées par les pairs auprès d'usagers de drogue par injection. L'objectif d'un tel accompagnement était de réduire les pratiques à risque de transmission du VIH et de l'hépatite C, ainsi que les dommages et complications sur le site d'injection (abcès, infections…).

 

Des résultats sans appel. Les sessions d'accompagnement ont été réalisées sur une période de 12 mois auprès de 113 usagers de drogue par voie intraveineuse, répartis sur 8 centres en France. 127 autres usagers répartis dans 9 autres centres ont constitué le groupe témoin de l'étude.

 

On observe parmi les usagers qui ont bénéficié d'AERLI :

- une diminution de plus de 40% en 6 mois des pratiques à risque de contamination et de transmission infectieuse (VIH et VHC)[1][1]

- une diminution de plus de 40% en 12 mois des complications observées sur les points d'injection (abcès, infection…)[2][2]

 

L'étude AERLI (Accompagnement et éducation aux risques liés à l'injection), menée conjointement dans 14 villes de France par l'ANRS, AIDES, Médecins du Monde et l'INSERM Marseille, délivre aujourd'hui 24 juillet ses premiers résultats. Présentés à la Conférence Internationale sur le sida de Melbourne, ces résultats plaident clairement en faveur d'une généralisation du dispositif.

 

Première mondiale, cette étude visait à évaluer la plus-value de sessions d'accompagnement délivrées par les pairs auprès d'usagers de drogue par injection. L'objectif d'un tel accompagnement était de réduire les pratiques à risque de transmission du VIH et de l'hépatite C, ainsi que les dommages et complications sur le site d'injection (abcès, infections…).

 

Des résultats sans appel. Les sessions d'accompagnement ont été réalisées sur une période de 12 mois auprès de 113 usagers de drogue par voie intraveineuse, répartis sur 8 centres en France. 127 autres usagers répartis dans 9 autres centres ont constitué le groupe témoin de l'étude.

 

On observe parmi les usagers qui ont bénéficié d'AERLI :

- une diminution de plus de 40% en 6 mois des pratiques à risque de contamination et de transmission infectieuse (VIH et VHC)[3][1]

- une diminution de plus de 40% en 12 mois des complications observées sur les points d'injection (abcès, infection…)[4][2]

 

 

En une année, le dispositif d'accompagnement a su faire évoluer les pratiques des usagers vers une réduction remarquable des risques infectieux et des dommages.

 

Des publics particulièrement exposés. Autre constat positif observé par nos équipes sur le terrain, cet accompagnement a permis d'atteindre des publics très précarisés, donc particulièrement exposés aux risques infectieux et aux dommages liés à l'injection. Des publics difficiles à atteindre et pour lesquels l'urgence d'intervention est la plus forte. Un argument de plus en faveur de la pertinence de ce dispositif.

 

Forts de ces résultats, AIDES plaide pour sa généralisation sans délais sur l'ensemble du territoire. "Nous ne pouvons nous permettre d'attendre encore 5 ans pour rendre accessible ce dispositif aux usagers qui en ont le plus besoin. On estime aujourd'hui que plus des deux tiers des usagers de drogues par injection sont porteurs de l'hépatite C, dont une grande partie l'ignore. Le temps n'est pas à la tergiversation ou aux considérations idéologiques. Nous sommes dans un contexte d'urgence sanitaire, il faut agir, et agir vite" explique Bruno Spire, président de AIDES.

 

AIDES appelle à la mise en place rapide d'un cadre réglementaire autorisant le déploiement de l'éducation aux risques liés à l'injection. Si un tel cadre n'était pas rapidement fixé, AIDES prendra ses responsabilités et fera en sorte que ce nouvel outil de réduction des risques puisse bénéficier à ceux qui en ont le plus urgemment besoin. "Lorsqu'à la fin des années 80 l'épidémie de sida décimait les usagers de drogues par dizaines de milliers, AIDES et d'autres associations n'ont pas attendu l'approbation des pouvoirs publics pour mettre du matériel stérile à disposition des usagers" rappelle Bruno Spire. Avec les résultats spectaculaires que l'on sait[5][3].

 

 



 
 
 
 
 

mardi 8 avril 2014

Amélioration de l'accompagnement des patients en fin de vie...


POUR AMELIORER L’ACCOMPAGNEMENT DES RESIDENTS
EN FIN DE VIE
"KORIAN" et la   Maison médicale "JEANNE GARNIER"
signent un partenariat
 
Ces décisions feront préalablement l’objet d’un accord entre les équipes
médicales et paramédicales des deux structures et également du patient luimême et / ou de son entourage familial.
 
« Ce partenariat correspond à une volonté commune de Korian et de La
Maison Médicale Jeanne Garnier de développer les complémentarités
nécessaires à l’amélioration de l’accompagnement des patients et résidents en fin de vie. Apaiser la souffrance des personnes malades et sauvegarder leur dignité tout en soutenant leur entourage constituent des enjeux majeurs de l’accompagnement des personnes âgées dépendantes. Ce partenariat favorisera la mise en place de projets communs et la mutualisation des expertises, pour offrir le meilleur accompagnement possible aux patients / résidents » souligne Olivier Derycke, Directeur Général France de Korian.
 

Mutualiser les domaines d’expertises

Korian et La Maison Médicale Jeanne Garnier cherchent à développer des
liens privilégiés entre leurs équipes médicales et paramédicales pour faciliter
les échanges de bonnes pratiques autour de l’accompagnement des patients /
résidents en situation de fin de vie.
Dans cette perspective, des protocoles communs de prise en charge de la
douleur et d’accompagnement seront mis en place.
Par ailleurs, les équipes de La Maison Médicale Jeanne Garnier contribueront
à la formation pratique et théorique du personnel soignant des établissements
Korian dans l’accompagnement des patients, notamment via la diffusion des
bonnes pratiques en matière de prise en charge des personnes âgées en fin
de vie.
« Cette convention bilatérale entre nos structures participera à réduire les
ruptures de prises en charge dans les parcours des personnes âgées,
permettra une fluidité de l’accompagnement de la personne malade et de son
entourage grâce au projet de soins partagé entre nos équipes. Mais elle a
aussi pour ambition de réunir tous les acteurs de la fin de vie pour construire
des parcours cohérents de prises en charge sur les territoires. Cela rendra la
mutualisation innovante et conforme aux ambitions originelles des Agences
Régionales de Santé », explique Cédric Boutonnet, Directeur des
Établissements Jeanne Garnier.

 
 

A PROPOS DE KORIAN

Korian, 1ère entreprise européenne spécialiste du bien vieillir, créée en

2001, dispose d’une capacité d’accueil de plus de 57 000 résidents/patients en

Europe (France, Allemagne, Belgique et Italie) et emploie près de 40 000

collaborateurs. Le groupe gère 506 maisons de retraite (EHPAD) et 87

cliniques spécialisées, dispose d’une capacité d’accueil de plus de

2 400 personnes en résidences services et assure des soins à domicile auprès

de 9 000 clients. www.groupe-korian.com

 

A PROPOS DE LA MAISON MEDICALE JEANNE GARNIER

La Maison Médicale Jeanne Garnier est installée dans le 15ème

arrondissement de Paris. C’est un ESPIC, établissement de santé privé

d’intérêt collectif. Elle accueille 1 200 patients par an. Dotée d’un organisme de

formation continue Carte Soins Palliatifs et d’un Pôle recherche et

enseignement universitaire, labellisé Centre de Recherche Clinique depuis

décembre 2011, elle participe à l’accompagnement des professionnels de

santé dans le développement de leurs expertises et participe, par ses thèmes

de recherche, à l’évaluation et à l’amélioration des pratiques professionnelles.

Elle gère également pour le compte du Groupe Hospitalier Paris St-Joseph,

une équipe mobile qui intervient sur plusieurs sites hospitaliers.

L’association des Dames du Calvaire est l’organisme gestionnaire de la Maison

Médicale Jeanne Garnier et développe également des activités

gérontologiques (EHPA, Accueil de Jour, Plateforme d’accompagnement et de

répit).

En 2013, ce seront 2 600 personnes qui ont bénéficié de ces activités, 233

salariés qui les auront accompagnés et 130 bénévoles qui s’y seront investis.

www.jeanne-garnier.org

 

jeudi 21 novembre 2013

C'est à lire : Un guide très utile à tous....


« Guide de la fin de vie 2014 »
Accompagnement, maladies, décès, obsèques...
Edition n°3 Novembre 2013
 
 
 
Disponible sur : www.petitfute.fr
 
Retrouvez maintenant vos guides Petit Futé sur votre Smartphone et sur votre tablette

 

Le deuil est une réalité à laquelle personne ne peut échapper. Tous les ans des millions de personnes sont touchées par les 530 000 décès qui surviennent dans notre pays. La fi n de vie aujourd’hui revêt des caractères différents par rapport au passé. Les Français vivent de plus en plus vieux mais ils se retrouvent souvent de plus en plus seuls pour affronter la maladie, le handicap, les problèmes liés à l’âge. Les familles sont éclatées, les enfants pris dans la vie quotidienne, l’éloignement de plus en plus fréquent.

 

Depuis quelques années cette période ultime avant le décès commence à être prise en compte : des médecins, des psychologues, des sociologues, des hommes et femmes de loi, des associations, des sociétés de service travaillent au quotidien, soit dans des structures adaptées soit à domicile, pour l’améliorer. Ainsi, le premier Salon de la Mort s’est tenu à Paris en avril dernier, etc. L’idée :

 

Faire tomber les tabous autour de la mort, en parler pour mieux vivre.

 

Un Observatoire national de la fi n de vie vient également de voir le jour. Son rôle : dresser un état des lieux des situations et des besoins à l’approche de la mort.

 

Mais la mort ne frappe pas que les personnes âgées : des enfants, des adolescents, des jeunes adultes sont confrontés pour eux-mêmes ou pour leur entourage à ce qui est parfois inéluctable. Comment y faire face ? Comment accepter, accompagner, comprendre la fi n de vie et la mort ?

 

L’angoisse, la souffrance morale, la douleur physique sont le plus souvent difficiles à surmonter.

 

Ce guide, respectueux de la déontologie, est conçu de façon pratique pour aider celles et ceux qui un jour ou l1autre devront gérer ce « temps du départ » pour eux-mêmes ou pour des proches. Il tente d’aborder et de répondre aux questions juridique, sociale, financière ou psychologique que l’on se pose avant le décès, au moment des obsèques et après le décès. Il informe sur l’évolution des funérailles et du funéraire sans oublier l’arrivée d’internet qui a révolutionné les habitudes de communication y compris sur le deuil. L’étape de la fi n de vie est une étape à vivre en toute conscience et en toute humilité. Pour Saint-Exupéry, «ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort ».

 

 

PLAN DU GUIDE :

 

Avant le décès :

 

rester à domicile ou en établissement spécialisé. L’accompagnement de la fi n de vie (la dépendance, les maladies du grand âge, les soins palliatifs, législation...). Les aides financières et la protection juridique. Transmission du patrimoine (testaments, legs, dons, assurances vie, etc.). Prévoir ses obsèques. Immortaliser. S’informer.

 

Le décès :

 Les formalités, avant les obsèques, organisation des funérailles, choix du funéraire, les obsèques.

 

Après les obsèques :

succession, l’étape du deuil, informations pratiques et complémentaires...



NDLR: MGEFI et DECES
 
Offre facultative : Plurio Obsèques                     
  • Offre facultative : Plurio Education                     
  • Offre facultative : Prémuo capital avantages                      
  • Offre statutaire renforcée - Prémuo M022                     
  • Offre statutaire de référence - Prémuo M022                     
  • SMODOM, une solution au problème de l'éloignement en cas de décès    
  • Plurio obsèques                     
  • Plurio éducation                     
  • Plurio conjoint – rente décès                     
  • Plurio capital décès