Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 11 septembre 2013

Quelle contraception pour les femmes à risque cardio-vasculaire ?


 

Le choix d'une contraception chez une femme à risque cardiovasculaire n'est pas toujours aisé. Pour aider les professionnels de santé à proposer la contraception la plus adaptée en fonction de la maladie ou du facteur de risque existant, la Haute Autorité de Santé (HAS) publie ce jour une nouvelle fiche mémo. Cette fiche est fondée sur les critères établis par l'Organisation mondiale de la santé adaptés au contexte français.

 

Cette nouvelle fiche mémo destinée aux professionnels de santé est à visée pédagogique et se veut claire et synthétique. Elle leur permettra de trouver avec chaque femme selon ses antécédents médicaux et ses préférences, la méthode de contraception qui lui convient le mieux et ce, à une période donnée de sa vie.

Cette fiche présente plusieurs parties : la liste des principaux facteurs de risque et maladies cardiovasculaires, les moyens d'identifier une femme à risque vasculaire (incluant l'interrogatoire, l'examen clinique, le bilan biologique, l'information à délivrer sur le risque de thrombose et le suivi médical), les critères d'éligibilité selon les situations et les différents facteurs de risque cardiovasculaire.

 

Une présentation en couleur des méthodes contraceptives utilisables ou non selon la maladie ou le facteur de risque

 

Selon les situations, la fiche propose des niveaux d'éligibilité présentés selon un code couleur (vert à rouge) pour une meilleure lisibilité afin de faciliter son utilisation par les professionnels de santé :

·        en vert : méthode utilisable sans aucune restriction d'utilisation ;

·        en jaune : méthode utilisable de manière générale avec un suivi plus attentif ;

·        en orange : méthode non recommandée de manière générale à moins qu'aucune autre méthode ne soit disponible ou acceptable, suivi rigoureux à mettre en place ;

·        en rouge : méthode à ne pas utiliser car elle est susceptible d'exposer à un risque majeur pour la santé.

Par ailleurs, la HAS propose 3 types de présentations différentes (liste, tableau et diagramme circulaire) afin que le professionnel de santé choisisse celle qui lui convient le mieux, ainsi qu'un document en annexe pour complément d'information.

 

Quelques exemples concrets

 

Si une femme a déjà eu une thrombose veineuse ou une embolie pulmonaire : les dispositifs utérins implantables (DIU) sont classés en catégorie verte, les méthodes progestatives (DIU au lévonorgestrel, pilule, implant) sont classées en catégorie jaune et les progestatifs injectables en catégorie orange. Les méthodes estroprogestatives ne doivent pas être utilisées (en rouge).

Il en est de même si une femme souhaite instaurer une contraception alors qu'elle a un antécédent d'accident vasculaire cérébral.

 

Quelles sont les principales pathologies ou facteurs de risque cardiovasculaires ?

 

·      Thrombose veineuse profonde (TVP) / embolie pulmonaire (EP) ;

·     Thrombose veineuse superficielle ;

·     Facteurs héréditaires de risque de thrombose ;

·     Accident vasculaire cérébral ;

·     Cardiopathie ischémique ;

·    Valvulopathies cardiaques et cardiopathies congénitales;

·     Céphalées, migraines ;

·     Lupus érythémateux disséminé et autres maladies inflammatoires de systèmes, syndrome des anticorps antiphospholipides ;

·      Facteurs de risque : âge, hypertension artérielle (HTA), tabac, hyperlipidémies sévères, obésité, diabète, association de plusieurs facteurs...

 

 

Consultez les documents en cliquant ici

mardi 15 janvier 2013

La MGEFI dans la presse


Audistya, le nouveau réseau de l'audition du groupe Istya

Depuis le 1er janvier 2013, les adhérents de plusieurs mutuelles du groupe Istya ont la possibilité de bénéficier des avantages proposés par le nouveau réseau de l’audition « Audistya », créé à l’initiative de la MGEN (Mutuelle générale de l’Éducation nationale).

…/…

Le nouveau réseau est actuellement ouvert aux adhérents du groupe MGEN, de la MGET, de la MCDEF et de la MAEE. « Sous réserve d’approbation par leurs assemblées générales respectives, les adhérents de la MGEFI et de la MCF2 devraient en bénéficier courant 2013 », peut-on lire dans un communiqué émis par le nouveau réseau.

 

Lire l’article : www.audio-infos.eu (10 janvier 2013)

 

 

Réseaux mutualistes : le groupe Istya investit dans l'audioprothèse et l'optique

Composé de six mutuelles (dont le mastodonte MGEN), le groupe Istya, qui couvre 5,5 millions de Français, a fait le choix depuis le 1er janvier 2013 de développer deux réseaux mutualistes, l'un portant sur l'audioprothèse, l'autre sur l'optique.

…/…

(1) En plus du groupe MGEN, Istya est composé de la mutuelle nationale des territoriaux (MNT), la mutuelle générale environnement et territoires (MGET), la mutuelle générale de l' économie , des finances et de l' industrie ( MGEFI ), la mutuelle civile de la défense (MCDef) et la mutuelle des affaires étrangères et européennes (MAEE).

 

Lire l’article : www.lequotidiendumedecin.fr (11 janvier 2013)

 

 

Le réseau optique MGEN devient Optistya et s'adresse à 700 000 bénéficiaires de plus

Au 1er janvier 2013, le réseau d'opticiens partenaires MGEN s'est ouvert aux adhérents d'autres mutuelles du groupe Istya, créé en mai 2011 et poids lourd de la complémentaire santé. Il se nomme aujourd'hui Optistya et couvre désormais, outre les bénéficiaires de la MGEN, ceux de la MGET, de la MCDef, de la MAEE, de la MGEFI et de la MCF

 

Lire l’article : www.acuite.fr (11 janvier 2013)

 

 

Le régime de Sécu étudiant sur la sellette

 

La phase expérimentale du programme mutualiste de prévention du risque cardio-vasculaire s’est achevée fin décembre

 

.…/…

Si les suites à donner à l’expérimentation ne sont pas arrêtées (l’analyse médicale complète n’interviendra qu’au second semestre 2013), « tout plaide pour une généralisation », juge Serge Brichet, président de la Mgefi. Il liste les vertus du dispositif : 1/Une « approche globale » avec une prise en charge préventive « en amont et en aval du risque » ; 2/l’espoir d’une « amélioration de l’état de santé » de l’assuré ; 3/« la capacité à terme de maîtriser le reste à charge et de baisser les dépenses de la mutuelle.»

 

Lire l’article : PROTECTION SOCIALE INFORMATIONS (09 JAN 13)