Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 14 avril 2021

Projet de loi RE 2020 : quels impacts pour les constructeurs, assureurs, experts et citoyens ?


Reporté plusieurs fois depuis un an et issu des Accords de Paris, le projet de loi sur la Réglementation Environnementale 2020 soumis à consultation publique est paru il y a quelques jours. Après les changements amenés par les RT 2005 et 2012, la RE 2020 vise une mutation d’un autre type, en introduisant avec force une valorisation carbone, la prise en compte du réchauffement en termes de confort estival et des limites de consommations plus fortes.

 

Future réglementation environnementale pour la construction des bâtiments neufs, elle affiche 3 objectifs principaux :

  • Donner la priorité à la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie ;
  • Diminuer l’impact carbone de la construction des bâtiments ;
  • En garantir le confort en cas de forte chaleur.

 

En fixant notamment 5 exigences de résultats en matière de conception énergétique du bâti, de consommation d’énergie primaire, d’impact sur le changement climatique associé à ces consommations, d’impact des composants du bâtiment sur le changement climatique ou encore sur l’inconfort dans le bâtiment en période estivale.

 

  • Une évolution certes à saluer mais qui contraint l’écosystème des constructeurs à changer en profondeur, et soulève des doutes quant à la faisabilité de la mise en conformité à ces nouveaux modes constructifs d’ici le début 2022.
  • Quels bâtiments sont concernés ?
  • En découle aussi une question fondamentale : comment les contrats d’assurance construction / habitation vont-ils évoluer face à des seuils d’exigences devenus contraignants ?
  • Comment le métier d’expert en assurance spécialisé en construction, va-t-il évoluer pour faire face aux nouveaux sinistres générés par l’utilisation de nouveaux matériaux, de nouvelles méthodes de construction ?... (Exemple des panneaux solaires)
  • Quelles seront les réactions des citoyens dans le temps face à l’obligation de mesurer et contrôler leur consommation d’énergie ?
  • Surchauffe estivale : comment sa conformité sera-t-elle évaluée sur le volet assurantiel ? Le motif d’impropriété à destination pourra-t-il être déclenché ?
  • … ?

 

Autour de ces questions, Sébastien Faure, expert construction au sein du groupe Stelliant, est disponible pour apporter son décryptage aux journalistes.  

Mise en relation :  0626608501

 


                                                                      


mardi 7 octobre 2014

#Alerte #lancement du #site #Arthrocoach.com

Le lancement du site Arthrocoach.com,




Un service en ligne gratuit pour apprivoiser l’arthrose. Un nouveau site validé par des Experts, interactif, résolument conçu pour répondre à l’ensemble des attentes du patient arthrosique.


En France, l’arthrose affecte près de 10 millions de personnes, soit 17% de la population, dont 75 % de femmes. L’arthrose est une maladie chronique qui nécessite une prise en charge au long cours, médicamenteuse et non médicamenteuse. 80% des patients ont recours à Internet pour chercher des informations sur leur pathologie.



 Pourquoi un nouveau site sur l’arthrose ?

- Parce que les patients arthrosiques ont aussi besoin au long cours d’un accompagnement non médicamenteux qui les soutienne dans leur lutte au quotidien contre l’arthrose. En effet 50 % d’entre eux sont inobservants.

- Parce que l’hygiène de vie () fait partie intégrante d’une bonne gestion de l’arthrose, et qu’acquérir de bons réflexes au quotidien demande motivation et persévérance.

- Parce que les professionnels de santé manquent de temps pour délivrer et ajuster les conseils concrets de vie pratique bons réflexes .


jeudi 9 janvier 2014

A la une ce mois-ci : en 2014, la santé rime avec activité physique ! Découvrez le programme Sport-santé "Mon Oxygène"


ACTUALITÉS

Les équipes de la MGEFI vous présentent leurs meilleurs vœux pour cette nouvelle année !

IMPORTANT : pour tout changement de choix de garantie santé (Prémi Santé, Multi Santé ou Vita Santé), vous avez exceptionnellement jusqu’au 28 février 2014 pour formuler votre demande par écrit (le cachet de la poste faisant foi) via ce formulaire

Vos prélèvements : passage au format européen en 2014

A partir du 1er février 2014, la MGEFI passera au prélèvement SEPA (espace unique de paiement en euros).

Lire  la suite  sur www.mgefi.fr

Zoom sur l’aide à la complémentaire santé (ACS)

L’Aide à la Complémentaire Santé (ACS) est une aide pour financer votre complémentaire santé individuelle. Etes-vous concerné ? Quel est le montant de l’aide ? Que devez-vous faire ?

Lire  la suite  sur www.mgefi.fr

Scope santé : qualité des hôpitaux et cliniques, je m’informe !

Le nouveau site de la Haute Autorité de Santé vous informe sur la qualité de plus de 5000 établissements de santé (hôpitaux et cliniques).

Lire  la suite  sur www.mgefi.fr

Prévention /Santé et activité physique : « mon Oxygène », votre programme Sport Santé

Tout au long de l'année 2014, la MGEFI souhaite valoriser le thème de prévention " santé et activité physique ". En partenariat avec Imaps, votre mutuelle vous présente « mon Oxygène », votre programme Sport Santé !

Lire  la suite  sur www.mgefi.fr

Chats experts

Ce mois-ci, nous vous proposons de discuter en direct avec nos experts santé sur les thèmes suivants :

Lire  la suite  sur www.mgefi.fr

-  « Bonnes résolutions : la nutrition », le mardi 14 janvier
      de 11h à 12h

-  « Désir de maternité », le jeudi 23 janvier
      de 11 h à 12 h

-  « Passer une bonne année avec les médecines douces », le mercredi 29 janvier de 11h à 12h





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Recevoir plus d’informations sur la MGEFI , cliquez ici

 
 

jeudi 12 septembre 2013

Des taxes sans stratégie…


C’est l’automne : il pleut des taxes

 

·         Une nouvelle franchise qui ne dit pas son nom ? 5 euros chez le médecin traitant. L’obligation de déclarer son médecin traitant a été motivée par la santé publique : la mesure consistait à être pénalisée dans le remboursement du spécialiste si on ne passait pas d’abord chez le médecin traitant. Cela allait dans un sens vertueux, mais voilà maintenant que ceux qui ont déclaré leur médecin traitant seraient pénalisés : on leur retiendrait 5 euros d’emblée.

 

·         Des taxes comportementales… qui pèseront sur les budgets de ceux qui sont les moins favorisés et qui paient déjà un lourd tribut aux inégalités sociales de santé. Quel progrès !

 

 

Au motif de sauver la sécurité sociale

 

A voir. Car, c’est une nouvelle qui instruira de nombreux esprits : elle n’est pas en danger ! Dans sa branche maladie, elle pourrait se porter aisément mieux d’ailleurs. En effet, des enquêtes déclaratives et des études d’experts montrent qu’en France, comme dans de nombreux pays développés, nous gaspillons beaucoup d’argent. Ainsi, selon ces travaux, il n’y aurait pas moins de 30 % d’actes inutiles. Rien que sur la branche maladie cela fait près de 40 milliards d’euros, sans parler du coût de la iatrogénie. A ce prix-là, nous pouvons largement éviter l’avalanche de taxes qui vient d’être annoncée. Evidemment, cela serait moins commode que de tondre l’assuré social, car il faudrait déranger les comportements et les positions acquises de ceux qui depuis tant d’années ont pris l’habitude de n’approcher les enjeux d’assurance maladie que sous l’angle comptable : taxer ou rationner sans jamais réorganiser.

 

 

Taxer pour quoi faire ?

 

A part rentrer de l’argent frais, nul n’en sait rien malgré l’engagement du Premier ministre à ce que soit définie une stratégie nationale de santé, digne d’un pays qui y consacre tout de même 12 % de son produit intérieur brut. Le parlement n’en a pas été saisi. Autrement dit, on continue comme au bon vieux temps. On fait une loi de financement sans savoir pour quelle stratégie ni dans quel objectif.

 

·         Est-il utile de créer une nouvelle franchise de 5 euros, remboursée par les complémentaires (qui ne manqueront pas d’augmenter leurs tarifs) alors que la complémentaire est loin d’être généralisée comme l’a souhaité le président de la République ?

 

·         Si des taxes comportementales peuvent se justifier, pour quelle stratégie de promotion de la santé ?

 

A ces deux questions, il n’y a pas de réponse.

 

 

Et si nous mettions d’abord la stratégie, et derrière les objectifs, et ensuite les outils, parmi lesquels figurent les taxes. Dans le bon ordre… Sources : communiqué de presse LeCiss

 
 

 

ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR

APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer

France Parkinson - FSF - Générations Mouvement - La CSF - Le LIEN - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde

SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH

C'est à lire : nouvelle "étude" et "vrai faux" sur l'acné


24 millions de résultats sur Google /24(mai 2013)

sont associés à la recherche sur les mots clés

« Acné sévère »

 

Les experts membres

du « Conseil Scientifique de l’acné sévère »,

Pr Wolkenstein, Pr Misery, Dr Maghia, Dr Amici

abordent ce sujet et commentent les principaux résultats

d’un grand sondage CSA Santé réalisé

sur plus de 10 000 Français.

Les données statistiques et résultats présentés ont été obtenus par analyse SAS,

software version 9.3 (SAS Institute Inc., Cary, USA).

Ces données sont consultables sur demande auprès de la Direction de Santé Publique Pierre Fabre.

 

En effet, l’acné est une maladie chronique, certes bénigne sur le plan clinique dans la majorité des cas, mais dont les conséquences sont réelles :

 

L’acné a un impact psycho-social important

 (qualité de vie, bien-être, vie sociale, vie amoureuse, résultats scolaires…).

 

Il est d’autant plus important de considérer l’acné avec sérieux qu’elle concerne beaucoup d’adolescents, population particulièrement fragile psychologiquement. L’apparence est primordiale pour un jeune, elle conditionne aussi sa vie sociale. L’ado dont le visage est couvert de boutons pourra vite se retrouver isolé et suspecté d’avoir une hygiène douteuse.

 

Le retentissement psychologique de l’acné est d’ailleurs comparable à celui décrit par les jeunes atteints de maladies chroniques plus graves telles que diabète, cancer ou épilepsie**1.

 

A un âge où s’acquiert la confiance en soi, l’acné peut donc vraiment gêner au développement psycho-social de l’adulte en devenir.

 

Il a aussi été montré que le taux de symptômes dépressifs est statistiquement plus élevé chez les patients acnéiques garçons et filles que chez les non-acnéiques (20 à 51 % versus 14 à 20 %)*** et ce, de manière significative.

 

L’acné sévère non traitée est mal vécue et provoque des cicatrices irréversibles.

L’acné est une pathologie affichante et inesthétique avec des lésions qui prédominent sur le visage.

 

A court terme, les lésions inflammatoires (rouges) ont un retentissement sur la vie quotidienne : l’acnéique se replie sur lui-même, il a honte, il perçoit l’acné comme une tare… Il met en place des stratégies d’évitement. Il se cache, ou tente de camoufler les lésions par des mèches de cheveux (filles et garçons) ou par un maquillage parfois inadapté (filles). La manipulation intempestive des lésions, qui peuvent ensuite s’infecter, empirer, est une pratique courante.

 

A long terme, les lésions d’acné étant parfois profondes (nodules, kystes) elles déforment le derme (la partie la plus profonde de la peau) et génèrent des cicatrices définitives disgracieuses.

 

Ces cicatrices donnent à l’âge adulte un aspect « grêlé » au visage, difficile à atténuer même par les techniques de dermatologie esthétique actuelles ou la micro-chirurgie qui, même si elle a fait ses preuves, peut donner un résultat incomplet.

 

Alors qu’un traitement mis en place dès les premiers symptômes peut éviter cet effet à long terme.

 

Mais si l’acné est une maladie difficile à accepter, il est encore plus difficile d’en parler. D’où l’importance pour les parents et l’entourage des acnéiques de bien repérer si la maladie est vécue comme une souffrance et d’accompagner le patient dans sa démarche de prise en charge.

 

C’est un des résultats de l’enquête CSA Santé menée en 2 012 sur une population de 10 084 sujets (voir page 6 pour plus de détail sur les résultats de l’étude)

 

« Même si la fréquence de consultation auprès du dermatologue augmente avec la sévérité de l’acné, ces chiffres suggèrent qu’il faut renforcer l’information du grand public sur les prises en charge de la maladie. Il est en effet préoccupant que des acnés sévères susceptibles de laisser des cicatrices et d’engendrer des perturbations de l’image sociale et de la confiance en soi, ne soient pas traitées »Dr Jean Michel AMICI

 

Pourquoi certains patients ne consultent pas ?

 

Outre les aspects pratiques (coût, délais de RDV) qui sont des raisons de non consultation, il y a aussi d’autres freins à la prise en charge de l’acné. La maladie est en effet souvent sous-estimée par l’entourage du patient. L’impact psychologique de l’acné n’est pas évalué à sa juste mesure.

 

Des parents de patients acnéiques peuvent parfois passer à côté de la réelle préoccupation qu’est l’acné pour leur enfant. Par méconnaissance, par crainte ou par négligence, des semaines ou des mois sont perdus.

 

Ne pas traiter l’acné sévère est une perte de chance pour les patients… »

Pr Pierre Wolkenstein

 

La prise en charge de l’acné sévère dépend beaucoup de l’entourage du patient

(famille et proches), qui peut, en soutenant le patient dans sa démarche, l’encourager à consulter un dermatologue, étape indispensable.

 

 

L’acné sévère n’est pourtant pas une fatalité !

Des traitements efficaces existent.

 

Ce qu’ignorent aussi les 38 % de sujets acnéiques qui ne se traitent pas, est qu’il existe des solutions efficaces et durables pour traiter l’acné, et que consulter un spécialiste comme le dermatologue est un premier pas vers une bonne prise en charge et un mieux-être.

 

A plus forte raison s’il s’agit d’acné sévère.

 

 

 

Les Laboratoires Pierre Fabre Dermatologie, Experts de l’acné sévère sont à l’origine de la création d’un groupe d’experts dermatologues, le Conseil Scientifique de l’Acné Sévère.

 

Sa composition originale, 2 Professeurs en Dermatologie d’une part (Pr Misery et Pr Wolkenstein) et 2 Dermatologues de ville d’autre part (Dr Amici et Dr Maghia) lui confère une véritable légitimité.

 

Il s’agit pour ces spécialistes reconnus pour leur expertise dans le traitement de l’acné, de constituer un groupe de travail et de réflexion ayant pour objectif d’optimiser la prise en charge des patients acnéiques sévères.

 

La philosophie du « Conseil Scientifique de l’Acné Sévère » est incarnée par un projet d’envergure initié en 2012 : un sondage sur l’acné élaboré selon une méthodologie sérieuse et réalisé sur plus de 10 000 sujets représentatifs de la population française. L’objectif de cette étude nationale était de mieux connaître les patients acnéiques (données épidémiologiques, profil de l’acnéique en 2012, prise en charge…), et mieux comprendre les facteurs du mode de vie favorisant l’acné et ainsi mieux les traiter.

 

Les principaux résultats de ce sondage sont présentés dans ce dossier et commentés par les experts eux-même

 

« Il manquait en France une vision actualisée de la population concernée par l’acné. Ce grand sondage va compter pour les 10 années à venir et fera référence pour tous ceux qui s’intéressent à cette pathologie… » Pierre Wolkenstein

 

« Arrêtons de croire que l’acné sévère est réservée aux jeunes ! les résultats de l’enquête confirment qu’une population plus âgée est également touchée… » Rémi Maghia

 

« L’étude révèle un lien avec la fatigue du matin et décrit un lien entre acné et fatigue, aspect non étudié jusqu’ici… » Laurent Misery

 

« Il faut inciter la population à une prise en charge précoce et adaptée à la gravité de l’acné. » Jean Michel Amici

Avec 24 millions de résultats associés à la recherche Google* sur les mots clés « acné sévère », on comprend mieux que cette maladie qui touche de nombreux Français est une véritable préoccupation de Santé publique et non pas un « mal obligé » de la période adolescente, qui finira bien par se résoudre tout seul.

 

A propos du sondage CSA Santé :

Le sondage CSA Santé a été réalisé sur un échantillon représentatif de Français, selon la méthode des quotas habituellement utilisée (sexe, âge, région, CSP). L’échantillon analysé a été spécifiquement constitué, ce qui évite un redressement dans les résultats. Les données statistiques et résultats présentés ont été obtenus par analyse SAS, software version 9.3 (SAS Institute Inc., Cary, USA). Ces données sont consultables sur demande auprès de la Direction de Santé Publique Pierre Fabre.

 

Retour sur quelques points de l’étude

 

Coup de projecteur sur les idées reçues

 

Alimentation sucrée (chocolats, confiseries) et acné font-ils bon ménage ?

 

La population qui consomme chocolats et confiseries tous les jours présentent un risque d’avoir de l’acné 2,7 fois  supérieur à la population comparable qui n’en consomme pas.

 

Qu’en est-il des sodas, des aliments gras et des produits laitiers ?

 

L’enquête CSA Santé n’a pas montré de corrélation entre la présence d’acné et ces 2 facteurs :

 

Les sodas sucrés ; peut-être sont ils moins sucrés que l’association chocolat/confiseries, et influencent ils moins l’apparition d’acné…

 

Les produits laitiers ; ce dernier point est étonnant puisque la bibliographie considère qu’il s’agit d’un facteur de risque aggravant lorsque le lait est introduit dans une population indigène n’ayant jamais consommé de lait au préalable (Réf. : Ismail et al, BMC Dermatology 2 012- 12-13).

 

Les Français consomment plutôt du lait fermenté (yaourt, fromage…) que du lait frais. Ils ne subiraient donc pas l’influence négative d’une alimentation lactée sur leur acné.

 

Moins d’acné, plus de rapports sexuels ?

 

Les résultats du sondage montrent que l’apparition de l’acné est antérieure aux rapports sexuels, excluant toute relation de cause à effet.

 

En revanche, les sujets acnéiques ont moins de rapports sexuels que la population comparable sans acné.

 

Ceci illustre une fois encore l’impact de l’acné sur l’image de soi et sur la qualité de vie des adolescents et la nécessité de les prendre correctement en charge - (cette constatation confirme une publication du JID - Journal of Investigative Dermatology 2 010)

 

« Le désir d’avoir une sexualité est un bon motif pour la traiter, ce d’autant qu’on dispose de thérapeutiques efficaces dans les formes modérées comme sévères… » Pr Pierre Wolkenstein

 

Le stress : un facteur aggravant de l’acné ?

 

Avoir de l’acné est source de stress, mais le stress est-il source d’acné ?

 

Dans l’enquête réalisée, on note un risque d’avoir de l’acné 2,5 fois supérieur chez les sujets soumis au stress quotidiennement, versus une population comparable de sujets non stressés.

 

Il s’agit donc bien d’un facteur aggravant, confirmant le rôle du stress dans les poussées d’acné.

 

Le manque de sommeil peut-il favoriser l’acné ?

 

La fatigue (fréquente chez les ados du fait de leur métabolisme particulier) tout comme le sommeil perturbé, augmente également le risque d’acné

 

Le risque est multiplié par 1.4 chez les sujets fatigués au réveil par rapport à une population comparable de sujets n’ayant pas de perturbation du sommeil.

 

« L’étude a décrit un lien entre acné et fatigue du matin, aspect non étudié jusqu’ici. Cette fatigue peut être interprétée comme la conséquence d’un stress physique, car le manque de sommeil est un problème récurrent chez l’adolescent. Stress physique et psychique sont associés. Stress et fatigue peuvent être un signe de dépression, dont les liens avec l’acné sont connus et à l’origine d’un véritable cercle vicieux… » Pr Laurent Misery

 

 

Ndlr :
Résultats de l’ensemble de l’étude disponible sur simple demande par mail.

jeudi 13 juin 2013

Des médecins experts en allergologie et en qualité de l'air intérieur au service des médias


Communiqué à l'attention des journalistes
concernés par la Santé, l'Environnement intérieur et la qualité de l'air
Lettre d'information N°12 - 12 Juin 2013  du Collège d'experts SEIQA – Santé environnement
 
Les médecins membres de l'ARCAA - Association de Recherche Clinique en Allergologie et en Asthmologie se mettent à disposition des journalistes des médias au travers de leur expertise dans les allergies et la qualité de l'air intérieur.  
 
 
Visitez le site de l'ARCAA - www.arcaa.info
 
Pour tous renseignements, interviews, validation d'un sujet sur les allergies : contact@rlabconseil.com