Nora ANSELL-SALLES

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lundi 25 novembre 2013

Restos du Cœur


La Ville de Paris met cinq locaux à la disposition des Restos du Cœur pour la distribution de repas chauds dans la capitale

 

Dans le cadre du lancement de la 29ème campagne hivernale des Restos du Cœur, ce lundi 25 novembre 2013, la Ville de Paris renforce son soutien à l’association :

 

·         la mise à disposition gratuite de cinq locaux (dont l’apport annuel en nature est évalué à 400.000 euros) pour permettre la distribution de repas chauds et de colis dans différents points de la capitale :

-     quatre locaux sur les six utilisés par l’association à Paris, dans les 14e, 18e, 19e et 20e arrondissements ;

-     un nouveau restaurant rue Saint-Roch (1er) depuis le mois de novembre 2012, qui accueille une centaine de personnes chaque soir de semaine.

·         une aide de 160.000 euros (en hausse de plus de 10% par rapport à 2012) qui  permet de contribuer aux dépenses de fonctionnement de la campagne de distribution alimentaire 2012-2013 de l’association;

·         des subventions d’investissement versées régulièrement à l’association pour lui permettre d’aménager ses locaux, pour un montant de 1.180.000 euros depuis 2003 (dont 490 000 pour la réalisation du futur centre de distribution Julia Bartet dans le 14ème arrondissement, destiné à remplacer le centre actuel).

 

Lors de la campagne précédente, les Restos du Cœur, qui jouent un rôle essentiel dans le soutien alimentaire aux Parisiens en situation de précarité, ont servi près de 570.000 repas chaud et a distribué plus d’2,1million de paniers alimentaires à Paris.

 

 

Au total, la Ville de Paris aura consacré en 2012 plus de 6 millions d’euros à l’aide alimentaire, pour permettre la distribution de plus de 3 millions de repas aux Parisiens les plus démunis en finançant :

·         6 restaurants solidaires, gérés par le centre d’action sociale de la Ville de Paris (CASVP), qui accueillent jusqu’à 900 personnes tous les soirs. Un nouveau restaurant solidaire ouvrira prochainement dans le 17e arrondissement ;

·         10 associations subventionnées pour leur activité d’aide alimentaire (dont les Restos du Cœur), pour un montant global de plus de 900.000 euros en 2013 ;

·         le restaurant social Santeuil (5e), géré par l’association Aurore ;

·         le restaurant social Baudricourt (13e), géré par le centre d’action sociale de la Ville de Paris (CASVP).

jeudi 21 février 2013

Ségolène Royal a été promue vice présidente de la banque publique d'investissement



sous la présidence de Jean Pierre Jouyet. Ils sont tous les deux issus de la célèbre promotion Voltaire. Y-a-t-il eu favoritisme ?


Reportez-vous  à l'ouvrage Le Roman de la Promotion Voltaire écrit par Martin Leprince sorti il y a une dizaine de jours aux Éditions Jacob-Duvernet. En s’appuyant sur les témoignages d’une centaine de voltairiens et d’une dizaine d’autres témoins de l’époque, le journaliste retrace l’aventure collective et les destins croisés de ceux qui composent la plus célèbre promotion de toute l’histoire de l’ENA.

 

« Parmi les énarques, vous aviez des gens brillants et très cultivés, des gens brillants avec

une culture médiocre, des gens cultivés mais pas très brillants, et des gens qui n’étaient ni

brillants ni cultivés. »

Un voltairien

Si la prestigieuse École nationale d’administration a accueilli depuis sa création son lot de

futurs dirigeants politiques, aucune promotion de l’ENA n’a atteint une renommée équivalente

à celle des voltairiens.

François Hollande, Ségolène Royal, Dominique de Villepin, Renaud Donnedieu de Vabres,

Michel Sapin, Frédérique Bredin, ou encore Henri de Castries et Jean-Pierre Jouyet composent

notamment cette promo qui s’est retrouvée dans les locaux de la rue de l’Université

entre 1978 et 1980. Leur jeunesse, comme celle de leurs camarades, fut marquée par une

concurrence exacerbée pour obtenir les grands corps de l’État, par un engagement politique

principalement marqué à gauche ou par une contestation du fonctionnement de l’école.

La promotion Voltaire est issue d’une génération qui était adolescente en mai 68 et qui a été

diplômée à l’aube de l’alternance socialiste de 1981. Elle était composée de gamins trop

sérieux qui se sont hissés au sommet de l’État ou du CAC 40, qui ont hanté les cabinets

ministériels ou qui sont restés fidèles au service de la République. Depuis plusieurs années,

et plus encore depuis l’élection de François Hollande en mai dernier, cette promotion fait

l’objet de multiples articles de presse et engendre tous les fantasmes. Mais leur véritable

histoire n’avait jamais été racontée.

En s’appuyant sur les témoignages d’une centaine de voltairiens et d’une dizaine d’autres

témoins de l’époque, le journaliste Martin Leprince retrace l’aventure collective et les destins

croisés de ceux qui composent la plus célèbre

promotion de toute l’histoire de l’ENA.

EXTRAIT

“ Dominique de Villepin n’est pas non plus très porté sur

la convivialité. « Galouzeau », comme la plupart l’appellent, arrive juste avant le début des

cours et repart aussitôt après. Le jeune homme n’est pas du genre à s’attarder dans

les couloirs pour discuter.”

 

 

NDLR / MGEFI et ENA
Antoine Catinchi directeur général de la Mutuelle Générale de L’Economie des Finances et de l’Industrie est issue pour sa part de la Promo Gambetta de l’ENA.
A lire : un dossier sur, les énarques dans le monde de l'Assurance , à sortir dans le N° Avril  2013 de « La Tribune de l’Assurance »sous la signature de Vincent Buissière.
Vous retrouverez dans le dit dossier, les propos d'Antoine Catinchi, recueillis par Vincent Buissière.
 

mardi 22 janvier 2013

MGEFI et dialogue social


NÉGOCIATION ANNUELLE OBLIGATOIRE SUR LES SALAIRES

 

La NAO 2013 de la MGEFI s’est tenue en décembre dernier. Consciente de l’importance de la reconnaissance de l’investissement de ses collaborateurs, la direction a souhaité poursuivre en 2013 une politique dynamique en termes de rémunération.70

 

Après plusieurs phases de négociation, les 3 organisations syndicales ont signé à l’unanimité un accord salarial prévoyant notamment une augmentation collective du RMAG se décomposant comme suit :

 

ECHELONS                                                                % REVALORISATION

E3 / E4                                                                        + 1,5 %

T1 / T2                                                                        + 1,2 %

C / D                                                                            + 0,7%

Cette augmentation collective différenciée reflète la volonté de la MGEFI de soutenir une politique d’accompagnement des salaires les moins élevés.

 

En outre, cet accord prévoit la prise en charge par l’employeur de l’augmentation des cotisations liées à la revalorisation des prestations du contrat groupe. Ainsi, les cotisations du contrat groupe ne subiront aucune augmentation en 2013.

 

Enfin, un accord de participation et de Plan d’épargne entreprise devrait être mis en place au cours du 1er trimestre 2013. Il permettra aux collaborateurs de la MGEFI d’accéder à une partie du bénéfice, si celui-ci est suffisant, et d’être en mesure d'épargner les sommes qu’ils souhaitent placer sur un plan d'épargne entreprise, leur garantissant des exonérations sociales et fi cales.

 

Une réunion d’information auprès des collaborateurs sur les modalités sera prochainement organisée avec notre partenaire financier.

 

 

MGEFI

Relation presse

Nora Ansell-Salles

01 44 08 44 35 / 06 70 74 15 412