Nora ANSELL-SALLES

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lundi 7 novembre 2016

Comment le monde du travail doit muter pour s'adapter aux attentes de la génération Y : témoignage de deux DRH



93% des jeunes actifs ne veulent plus d'un bureau classique et d'après une étude récente le poste de travail "classique", implanté dans les locaux de l'entreprise, est condamné à disparaître : 60 % des salariés travailleront régulièrement de chez eux d'ici 2022 [1] [endif]. Pour continuer à attirer les jeunes talents, les entreprises doivent leur offrir un environnement flexible où chaque employé pourra consommer le travail comme il l'entend. Si cette tendance s'est assez naturellement répandue parmi les start-up ou les entreprises technologiques, les entreprises « traditionnelles » peinent encore à opérer cette mutation.

En unifiant les technologies utilisées (e-mail, messagerie instantanée, médias sociaux, applications RH, outils de réunions virtuelles...), le Digital Workplace met en cohérence l'ensemble de ces moyens de communication, transforme « l'expérience collaborateur », et favorise efficacité et innovation collaborative. Elle s'inscrit dans la mutation des modes de travail et permet d'offrir à la nouvelle génération de population active des environnements de travail dynamiques et innovants.


AVIS AUX JOURNALISTES

Si le sujet du digital workplace et des nouveaux outils collaboratifs mis à la disposition des entreprises pour recruter, travailler, former leurs employés vous intéresse,  contactez Soraya Pilonchéry pour fixer un entretien avec Armelle de Madre, VP marketing et ex-DRH d'Arkadin, spécialisation des communications unifiées, qui a géré la conduite du changement dans l'entreprise et Sophie de Gromard, DRH de l'agence publicitaire BETC.

Contact
Soraya Pilonchéry
T : +33 (0)6 2000 62 63
M : soraya@flash-rp.com

lundi 27 juillet 2015

1er baromètre marketing Adetem 
des médias sociaux en entreprise

Médias sociaux le prochain défi des entreprises...


1er baromètre marketing Adetem 
des médias sociaux en entreprise
4 grands défis pour les entreprises françaises

Les médias sociaux se sont invités dans la vie des consommateurs et du grand public il y a plus de 10 ans…
Les entreprises, avec un peu de retard, ont suivi le mouvement. Désormais les médias sociaux sont présentés comme un pilier incontournable du marketing. Mais qu’en est-il réellement de leur usage marketing dans les entreprises françaises aujourd’hui?
En début d'année, l’Adetem – l’Association Nationale des Professionnels du Marketing – Hootsuite et l’agence Visionary Marketing, ont lancé le premier baromètre marketing sur l’usage des médias sociaux en France. Découvrez les résultats du baromètre et l’infographie.

Intégrer les médias sociaux à leurs pratiques, c’est désormais chose faite pour la plupart des entreprises françaises (93%)* mais quels défis est-ce que cela entraine ?

Défi 1 : Savez vous estimer votre R.O.I sur les médias sociaux ?
Sous la pression économique, la question de l’efficacité et du ROI des medias sociaux est aujourd’hui le principal challenge pour les entreprises françaises.
• Evaluer le ROI des médias sociaux – un challenge pour 65%
• Convaincre les dirigeants de s’y investir – un challenge pour 41%

Défi 2 : Avez vous mis en place une stratégie globale sur ces canaux ?
L’organisation et la cohérence stratégique sur les médias sociaux demeurent encore problématiques.
• Concevoir une stratégie globale – un challenge pour 55%
• Coordonner les stratégies des différents services – un challenge pour 29%

Défi 3 : Que faîtes-vous de toutes ces données ?
Social CRM, Social Intelligence… A l’ère du « big » et du « smart data », l’exploitation des données issues des médias sociaux n’est pas encore maîtrisée.
• Comprendre et exploiter les données recueillies – un challenge pour 31%
• Transformer ces données en plan d’action – un challenge pour 51%

Défi 4 : Est-ce que vous avez mis les moyens ?
Le manque de ressources qualifiées est encore un frein au déploiement des médias sociaux en France.
• Former le personnel – un challenge pour 45%
• Allouer le temps nécessaire – un challenge pour 43%
• Affecter les ressources – un challenge pour 38%

Contact presse : Elan Edelman - Nathalie.touzain@elanedelman.com - Tél : 06 74 92 93 52
> Voir l'infographie> Télécharger le CP complet









VOUS, VOTRE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ, ET LES RÉSEAUX SOCIAUX
Si vous aviez la possibilité d'échanger avec
votre complémentaire santé
 sur les réseaux sociaux vous choisiriez de préférence :

http://pressentinelle2.blogspot.fr/2015/07/vous-votre-complementaire-sante-et-les.html

jeudi 21 février 2013

C'est à lire :Twittus Politicus


Culture RP a rencontré Antoine Dubuquoy, co-auteur avec Nico Prat, du livre Twittus Politicus, décryptage d’un média explosif.

 

Qu’est ce qui vous a poussé à écrire ce livre?

Le livre est né d’une envie de comprendre l’engouement des politiques pour Twitter. Et de chercher à en expliquer l’impact réel sur le débat politique, mais aussi sur le mode d’expression des acteurs de la vie politique. Enfin, nous nous sommes interrogés, Nico Prat et moi, sur le décalage entre la notoriété acquise par le réseau social depuis l’affaire DSK, le fait qu’il soit constamment mentionné dans les médias traditionnels sans pour autant que le grand public ne s’en empare massivement. La percée de Twitter chez les ados a été constatée à la fin de l’été 2012, et aujourd’hui il ne compte qu’un peu plus de 5 millions d’utilisateurs en France, contre plus de 25 millions pour Facebook.

 

 

 

Selon vous, quelle est la force de Twitter par rapport aux autres médias sociaux?

La force de Twitter réside dans sa simplicité apparente, et surtout dans la contrainte des 140 caractères du tweet. C’est une école de la concision. Il faut pour avoir de l’impact avoir le sens de la formule et de la répartie. C’est un pur outil de conversation. Cela étant, j’insiste sur le mot “outil”. Twitter est d’un usage totalement polymorphe. Il se plie à toutes sortes de besoins. On peut s’en servir pour de la veille, de la conversation, de la diffusion d’informations. Il est utilisé aussi bien par des célébrités que des anonymes. On n’y sent pas la pression des marques ou de messages publicitaires car chaque utilisateur peut modeler sa TL (timeline) comme il l’entend.

 

Comment les médias traditionnels se positionnent-ils par rapport à Twitter ?

Il est intéressant d’analyser l’évolution de la perception de la nature de Twitter depuis 2 ans. Pendant les comparutions de DSK devant la justice américaine, des chaînes françaises demandent à leurs envoyés spéciaux de ne pas diffuser leurs informations sur Twitter en premier, pour des raisons contractuelles. Le CSA s’en émeut et recommande de ne citer ni Twitter ni Facebook puisque ce sont des marques commerciales, mais de dire “les réseaux sociaux”. Des usages se sont mis en place, d’abord spontanément comme le live tweet (LT) d’émissions de télévision (La Nouvelle Star, The Voice, L’Amour est dans le Pré, etc.), puis orchestrés par des agences. Aujourd’hui, les chaînes de télévision elles-mêmes ont intégré le LT dans le programme, avec diffusion des tweets à l’antenne. Les journalistes se sont appropriés Twitter et entrent en relation directe avec leurs publics. Twitter est devenu un média compl mentaire, qui peut être utilisé soit en accompagnement d’un média classique soit à l’extrême en média de substitution pour accéder à de l’actualité chaude.