Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 14 février 2014

Le label Grande Cause Nationale 2014 accordé à l’Engagement associatif

Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a décidé de faire de l’Engagement associatif la Grande Cause Nationale pour 2014.

Ce label permettra au Mouvement associatif d’obtenir des diffusions gratuites sur les radios et les télévisions publiques lorsqu’ils souhaiteront organiser des campagnes faisant appel à la générosité publique.

Le Premier ministre a voulu ainsi valoriser et promouvoir le rôle des associations et de l’engagement bénévole dans notre société.

La France compte en effet 16 millions de bénévoles associatifs, auxquels s’ajoutent 1,8 millions de salariés d’une association, soit 8 % du nombre total de salariés.

A un moment où les associations prennent de plus en plus de responsabilités dans tous les domaines - social, éducatif, sportif ou encore culturel - le Gouvernement a souhaité s’engager à leurs côtés.

Cette décision constitue une nouvelle étape dans la politique mise en oeuvre pour soutenir le mouvement associatif, faciliter le bénévolat et favoriser l’emploi au sein de l’économie sociale et solidaire.

Elle permettra notamment de sensibiliser les Français aux enjeux de cet engagement au service des autres, qui, depuis la loi de 1901, constitue une chance pour notre pays et un pilier de notre modèle social et républicain.

C’est le message que porte le Mouvement associatif, aux côtés duquel le Gouvernement a décidé de s’engager.

 
 
 
 
 






lundi 2 décembre 2013

LE LABEL GRANDE CAUSE NATIONALE 2014


Un appel à candidature est lancé pour l’attribution, au titre de l’année 2014, du label « Grande cause nationale ».

 

Ce label, attribué par le Premier ministre, permet à des organismes à but non lucratif, qui souhaitent organiser des campagnes de communication faisant appel à la générosité publique, d’obtenir des diffusions gratuites auprès des sociétés publiques de radio et de télévision.

 

Les dossiers de demande d’attribution du label doivent parvenir par voie postale, sur support numérique en deux exemplaires, au plus tard le 8 janvier 2014, à l’adresse suivante :

 

Philippe GUIBERT
Directeur du Service d’Information du Gouvernement (SIG)
19 rue de Constantine
75340 PARIS CEDEX 07

 

Les dossiers devront nécessairement comporter les documents suivants pour être éligibles :

 

-          une présentation des enjeux autour du thème proposé ;

-          un descriptif de la campagne envisagée (thème, axe créatif, nature des actions,…) ;

-          la présentation d’un budget prévisionnel de la campagne publicitaire (coût et mode de financement de la production des spots de publicité envisagés et autres modes de communication prévus dans le cadre de la campagne) ;

-          les documents présentant les activités et statuts de l’association ou des différentes associations regroupées dans un collectif, ainsi que le dernier arrêté des comptes.

 

Toute l'information est en ligne sur : www.gouvernement.fr.

 

mercredi 6 novembre 2013

Hypertendus : prenez vos consultations en main !


Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension artérielle

Mercredi 18 décembre 2013

A l’occasion de la Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension Artérielle (HTA), le 17 décembre, le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) lance sa nouvelle campagne « Hypertendus : prenez vos consultations en main ! ». Un livret d’information téléchargeable gratuitement sur le site www.comitehta.org révèle aux patients les différents types de consultations qu’ils sont amenés à suivre tout au long de leur vie : consultations de dépistage, d’annonce, d’adaptation du traitement, de suivi à long terme…

La prise en charge de l’hypertension artérielle (HTA) est le premier motif de consultation en médecine générale1 et nécessite des visites régulières chez le médecin portant à plus de 41 millions le nombre de consultations annuelles concernées par l’HTA en France2. « Une personne souffrant d’HTA consulte son médecin généraliste 6 à 10 fois par an, soit pour renouveler son ordonnance, soit pour soigner les maladies fréquemment associées à l’hypertension » précise le Pr Jean-Jacques Mourad, cardiologue à l'hôpital Avicenne (Bobigny). « Ces instants de rencontre entre médecin et patient sont les éléments fondateurs de la réussite de la prise en charge d’une maladie chronique comme l’HTA. Malheureusement, ils sont encore trop souvent source de non-dits et d’incompréhension mutuelle » explique le Docteur Bernard Vaïsse, Président du CFLHTA, cardiologue à l’hôpital de la Timone à Marseille. Cette brochure a l’ambition de permettre aux patients de comprendre l’intérêt des consultations d’hypertension, de bien les préparer et de les appréhender sereinement pour une optimisation de leur prise en charge.

Aujourd’hui, « près de 12 millions de Français souffrent d’HTA ; près de 3 millions supplémentaires l’ignorent. Elle est la maladie la plus fréquente en France » indique le Pr Xavier Girerd, cardiologue (CHU Pitié-Salpêtrière, Paris). Pour 2015, le CFLHTA avec plusieurs sociétés savantes3 impliquées dans l’hypertension artérielle se sont fixés, avec la Direction Générale de la Santé (DGS), l’objectif de traiter et de contrôler 70 % des patients hypertendus.

 

 

 

Þ « Hypertendus : prenez vos consultations en main ! »

Rendez-vous à partir du 18 décembre sur le site www.comitehta.org

pour télécharger gratuitement le nouveau livret édité par le CFLHTA

 

 

 A propos du Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA)

Créé en 1972, le CFLHTA est une association régie par la loi de 1901. Ses missions sont de :

mieux faire connaître les problèmes de l’hypertension artérielle au grand public et, plus particulièrement, au corps médical et au corps pharmaceutique

entreprendre toutes les actions de formation et d’information pour atteindre cet objectif. Les actions de formation menées parle CFLHTA reposent sur les travaux de la Société Française d’Hypertension Artérielle, filiale de la Société de Cardiologie ainsi que sur les travaux de la Fondation pour la Recherche en HTA et de la Ligue Mondiale contre l’Hypertension.

www.comitehta.org

lundi 21 octobre 2013

« Hypertendus : prenez vos consultations en main ! »




Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension artérielle

Mercredi 18 décembre 2013

 

A l’occasion de la Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension Artérielle (HTA), le 18 décembre, le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) lance sa nouvelle campagne « Hypertendus : prenez vos consultations en main ! ». Un livret d’information téléchargeable gratuitement sur le site www.comitehta.org révèle aux patients les différents types de consultations qu’ils sont amenés à suivre tout au long de leur vie : consultations de dépistage, d’annonce, d’adaptation du traitement, de suivi à long terme…

 

La prise en charge de l’hypertension artérielle (HTA) est le premier motif de consultation en médecine générale1 et nécessite des visites régulières chez le médecin portant à plus de 41 millions le nombre de consultations annuelles concernées par l’HTA en France2. « Une personne souffrant d’HTA consulte son médecin généraliste 6 à 10 fois par an, soit pour renouveler son ordonnance, soit pour soigner les maladies fréquemment associées à l’hypertension » précise le Pr Jean-Jacques Mourad, cardiologue à l'hôpital Avicenne (Bobigny). « Ces instants de rencontre entre médecin et patient sont les éléments fondateurs de la réussite de la prise en charge d’une maladie chronique comme l’HTA. Malheureusement, ils sont encore trop souvent source de non-dits et d’incompréhension mutuelle » explique le Docteur Bernard Vaïsse, Président du CFLHTA, cardiologue à l’hôpital de la Timone à Marseille. Cette brochure a l’ambition de permettre aux patients de comprendre l’intérêt des consultations d’hypertension, de bien les préparer et de les appréhender sereinement pour une optimisation de leur prise en charge.

 

Aujourd’hui, « près de 12 millions de Français souffrent d’HTA ; près de 3 millions supplémentaires l’ignorent. Elle est la maladie la plus fréquente en France » indique le Pr Xavier Girerd, cardiologue (CHU Pitié-Salpêtrière, Paris). Pour 2015, le CFLHTA avec plusieurs sociétés savantes3 impliquées dans l’hypertension artérielle se sont fixés, avec la Direction Générale de la Santé (DGS), l’objectif de traiter et de contrôler 70 % des patients hypertendus.

 

« Hypertendus : prenez vos consultations en main ! »

 

Rendez-vous à partir du 18 décembre sur le site www.comitehta.org

pour télécharger gratuitement le nouveau livret édité par le CFLHTA

A propos du Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA)

 

Créé en 1972, le CFLHTA est une association régie par la loi de 1901. Ses missions sont de :

mieux faire connaître les problèmes de l’hypertension artérielle au grand public et, plus particulièrement, au corps médical et au corps pharmaceutique

                       

entreprendre toutes les actions de formation et d’information pour atteindre cet objectif. Les actions de formation menées parle  reposent sur les travaux de la Société Française d’Hypertension Artérielle, filiale de la Société de Cardiologie ainsi que sur les travaux de la Fondation pour la Recherche en HTA et de la Ligue Mondiale contre l’Hypertension.



 
 
 
 

vendredi 18 octobre 2013

Un PLFSS déconnecté de la Stratégie nationale de santé

Le financement d’actions de prévention : une priorité pour 83% des usagers

A première vue le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2014 ne comporte pas de disposition pesant directement sur les usagers. Cependant, on se rend vite compte qu’il prévoit des contributions détournées comme le financement d’une nouvelle franchise, le « forfait médecin traitant » par une taxe sur les complémentaires qui sera inévitablement répercutée sur les cotisations.

Plus globalement, nous regrettons qu’il soit si timide face à de nombreux enjeux prioritaires pourtant bien identifiés dans la récente communication publique sur la stratégie nationale de santé.

Prévention : une priorité absente dans les financements Pourtant 83% des Français[1] pensent que le financement d’actions de prévention doit être une priorité pour l’Assurance maladie, rejoignant les récentes déclarations de la ministre de la santé qui fait de la prévention le premier pilier de la future stratégie nationale de santé. Ce sont des engagements auxquels les associations d’usagers sont particulièrement sensibles et qu’elles auraient souhaité voir traduits dans le PLFSS pour 2014 sans attendre la future loi de santé publique.

La très vive attente de nos concitoyens sur l’accès aux soins Des dispositions laissant espérer une plus juste utilisation des ressources investies dans la santé sont plébiscitées :

- 73% des sondés pensent que le gouvernement devrait agir contre les dépassements d’honoraires à l’hôpital public (24% en mettant fin à cette pratique et 49% en l’encadrant mieux) ;

- 79% de sondés estiment que les complémentaires santé doivent avoir un rôle pour encadrer les tarifs des dépenses de santé qu’elles remboursent (dépassements d’honoraires, prothèses dentaires, lunettes), dont 50% « tout à fait d’accord » avec cette proposition.

Comme on le voit, la préoccupation de nos concitoyens sur le coût de la santé devient pour eux une priorité. D’ailleurs, la généralisation du tiers-payant chez le médecin est une mesure bien perçue pour 73% d’entre eux dans la perspective de faciliter l’accès aux soins pour tous.
Le troisième pilier sans le sou

Dans sa communication du 23 septembre dernier, le gouvernement a élevé la démocratie sanitaire au rang de troisième pilier de la stratégie nationale de santé. Mais, il n’y a strictement rien dans le projet de loi pour répondre au défi du financement de l’organisation et de la coordination de la représentation des usagers.

Il est temps de passer à un financement plus mature de cette représentation. Le CISS reprendra donc devant le parlement son plaidoyer sur la création d’un fonds dédié pour la participation des usagers aux processus de démocratie sanitaire. Avec un financement aujourd’hui de 0, 0011 % du budget de l’assurance maladie, c’est un troisième pilier bien fragile !

Des interrogations persistantes

Soucieux de l’accès à des soins de qualité pour tous, nous adressons aux Parlementaires des propositions d’amendements portant notamment sur les points suivants :

- Remplacement de l’Aide à l’acquisition d’une complémentaire santé par une CMU-c payante, pour simplifier le dispositif et étendre le nombre de bénéficiaires de la couverture complémentaire de bon niveau que constitue la CMU-c.

- Encaissement des honoraires des praticiens exerçant en libéral à l’hôpital afin de mieux réguler leur activité.

- Permettre aux salariés travaillant à temps très réduit d’accéder à un droit effectif aux indemnités journalières en cas d’arrêt maladie.

En outre, au nom de la sécurité sanitaire et de l’égalité d’accès aux traitements, nous nous montrerons particulièrement vigilants dans les semaines à venir sur les articles 38 et 39 du PLFSS pour 2014 qui traitent des médicaments biosimilaires et de l’accès à l’innovation dans le cadre des autorisations temporaires d’utilisation.

L’ensemble des dispositifs proposés et les exposés de leurs motifs sont disponibles sur le site du CISS : www.leciss.org/publications-documentation/enquetes-tribunes-plaidoyers-du-ciss

[1] Sondage Viavoice pour le CISS, interviews réalisées par téléphone du 2 au 4 octobre 2013 auprès d’un échantillon de 1013 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.


ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR
APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer
France Parkinson - FSF - Générations Mouvement - La CSF - Le LIEN - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde
SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH

mardi 15 octobre 2013

SEMAINE DU GOUT : Comme Parmentier en son temps ... de l'innovation alimentaire au bénéfice nutritionnel … Inventer la cuisine de demain


 Académie nationale de Pharmacie

Fondée le 3 août 1803 sous le nom de Société de Pharmacie de Paris

Reconnue d’utilité publique le 5 octobre 1872

 

 

INVITATION PRESSE

A l'occasion de la séance inter-académique

Avec l’Académie d’agriculture de france et l’Académie des sciences

 

 

PARMENTIER
« La science au service du bien public »

 

MERCREDI 16 OCTOBRE,  9H30-17H

Salle des Actes  - Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques - Université Paris-Descartes

4 avenue de l’Observatoire - 75006 Paris

 


 


Comme Parmentier en son temps ...

de l'innovation alimentaire au bénéfice nutritionnel

… Inventer la cuisine de demain

 


Rencontre avec la presse

animée par Yves JUILLET, Président de l'Académie nationale de Pharmacie

et Christian LÉVÊQUE, Président de l'Académie d'Agriculture de France

 


 


Avec la participation de :

 


Jean-Marie BOURRE

Membre de  l'Académie d’Agriculture de France et de l'Académie nationale de médecine, ancien directeur des unités de recherche INSERM de neuro-toxicologie et de neuro-pharmaco-nutrition

 


Olivier LAFONT

Président de la Société d’Histoire de la Pharmacie, membre de l’Académie nationale de Pharmacie

 


Hervé THIS

Membre de l’Académie d’Agriculture de France, Directeur scientifique de la Fondation Science et Culture Alimentaire (Académie des sciences), directeur du Groupe INRA de Gastronomie moléculaire - AgroParisTech

 


Contact Presse
Nicole Priollaud  / 01 45 25 33 17 ou 06 09 48 50 38  / nicole.priollaud@wanadoo.fr

 


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

vendredi 4 octobre 2013

Samedi 5 octobre : 11ème journée nationale de l’apnée du sommeil

 

A Rueil Malmaison

Organisée à l’initiative de la Fédération Française des Associations et Amicales des malades, Insuffisants ou Handicapés Respiratoires (FFAIR), la 11ème journée nationale de l’apnée du sommeil se veut une journée de sensibilisation et d’écoute sur cette maladie peu connue et dépistée qui toucherait pourtant 5 millions de Français.


Veuillez trouver ci-joint le communiqué de presse relatif à la 11ème journée nationale de l'apnée du sommeil. N'hésitez pas à revenir vers nous pour toute information.


Samedi 5 octobre : 11ème journée nationale de l’apnée du sommeil

A Rueil Malmaison

Organisée à l’initiative de la Fédération Française des Associations et Amicales des malades, Insuffisants ou Handicapés Respiratoires (FFAIR), la 11ème journée nationale de l’apnée du sommeil se veut une journée de sensibilisation et d’écoute sur cette maladie peu connue et dépistée qui toucherait pourtant 5 millions de Français.

Apnée du sommeil ? Qu’est ce que c’est ?



L’apnée du sommeil est un des troubles du sommeil le plus courant avec près de 5 millions de Français touchés. Elle se caractérise par un arrêt respiratoire, pouvant aller à 45 secondes, plusieurs fois par heure. Mis à part les conséquences dues au manque d’oxygénation, l’apnée du sommeil induit aussi des conséquences, parfois très lourde, sur le sommeil en tant que tel et donc sur la vie quotidienne.

Empêchant la personne d’atteindre un sommeil réparateur, celle-ci se lèvera avec la sensation de ne pas avoir dormi et pourra être victime de somnolence et/ou de baisse d’attention. Le risque de nombreuses maladies est accru chez les apnéiques : cancer, hypertension, accidents vasculaires cérébraux…

Dépistage et prise en charge au rendez vous



L’apnée du sommeil représente, aujourd’hui, un coût important pour la sécurité sociale malgré le faible nombre de personnes dépistées et prises en charge. En effet, les traitements traditionnels ont un coût d’environ 1000-1500 € par an et par patient. De nouveaux traitements sont donc régulièrement mis en place et feront l’objet de conférences lors de cette journée.

Organisée depuis de nombreuses années, la journée nationale de l’apnée du sommeil est devenue un rendez vous pour alerter, informer et partager autour de l’apnée du sommeil. Mal méconnu et pourtant insidieux, l’apnée du sommeil toucherait entre 3 et 5% de la population française dont une grande majorité ne serait pas dépistée et donc pas traitée.

La FFAIR, née de ce constat et du manque d’accompagnement des apnéiques, souhaite mettre en évidence les différents problèmes rencontrés par les apnéiques et leurs proches lors d’une journée de sensibilisation et d’information en compagnie d’autres malades, de professionnels de santé et de représentants d’association.

Cette journée aura lieu le samedi 5 octobre 2013 à l’Hotel de Ville, Salon Richelieu à Rueil Malmaison.

Pour plus d’information ou pour s’inscrire : http://www.apneedusommeil.net/?p=960





A propos d'Oniris


Créée en 2011 suite aux travaux du Docteur Vincent, Oniris, start-up familiale, met au point, fabrique et commercialise des Orthèse d’Avancée Mandibulaire (OAM), made in France. Alors que les traitements existants étaient jusqu’alors très chers ou très contraignant, l’orthèse Oniris a été créée afin d’apporter une solution simple, économique et efficace aux problématiques liées au ronflement et à l’apnée du sommeil. Elle a fait l’objet d’une étude clinique validant ses bénéfices, de plusieurs brevets et reçoit le soutien d’un comité scientifique regroupant plusieurs grands spécialistes. Déjà 10 000 patients l’ont adoptée !

Oniris est accompagnée par OSeo, en tant que Jeune Entreprise Innovante.

Chiffres clés :


Un chiffre d’affaires de 1 million d’euros en 2013 (prévision)
10 000 patients ont adoptés l’orthèse Oniris.
Depuis janvier 2013, déjà 7500 orthèses Oniris ont été vendues. Oniris devient ainsi le premier fabricant d’orthèse en France (Avant l’arrivée d’Oniris sur le marché, seul 5 000 patients étaient traités par an avec des orthèses de laboratoire)
Déjà disponible sur commande dans 20 000 pharmacies
24 salariés

mardi 24 septembre 2013

Lancement de la Stratégie Nationale de Santé


Vers la refondation du système de santé français

Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ont présenté aujourd’hui la stratégie nationale de santé (SNS) en présence de Dominique Bertinotti, ministre déléguée à la Famille, et de Michèle Delaunay, ministre déléguée aux Personnes âgées et à l’Autonomie.

Il est aujourd’hui indispensable de refonder notre système de santé, performant mais inéquitable. La SNS définit ainsi le cadre de l’action publique pour les années à venir, afin de mieux répondre aux défis majeurs du 21ème siècle (vieillissement, maladies chroniques,…), de préserver le plus haut niveau d’excellence de qualité comme de sécurité dans les soins, l’enseignement, l’innovation et la recherche et de réduire les inégalités d’accès aux soins sur l’ensemble du territoire.

Marisol Touraine a fixé trois axes prioritaires, s’appuyant sur le rapport d’Alain Cordier, remis ce jour :

1 – Miser sur la prévention : agir tôt et fortement sur tout ce qui a une influence sur notre santé 

·         De grandes priorités de santé publique seront définies, ainsi que des indicateurs de suivi. Concrètement, le Haut conseil de la santé publique tiendra un « tableau de bord » de l’état de santé de la population.

·         L’éducation à la santé sera renforcée par le développement de programmes de formation des jeunes.

·         L’évaluation et la gestion des risques sanitaires seront améliorées  (réorganisation des agences sanitaires, mise en place d’un système régional de recueil des signaux d’alerte, notamment)

 

2 - Organiser les soins autour des patients et en garantir l’égal accès : la révolution du « premier recours »

Pour rétablir l’égalité d’accès aux soins : 

·         D’ici 2017, le tiers payant sera généralisé, de sorte qu’il ne sera plus nécessaire d’avancer le prix de la consultation chez le médecin, comme c’est déjà le cas en pharmacie aujourd’hui. Une première étape, en direction des bénéficiaires de l’aide à la complémentaire santé, sera mise en œuvre dès la fin de l’année prochaine ; 

·         La part des dépenses de santé prise en charge par l’assurance maladie sera stabilisée, après la diminution observée depuis 2004 ;

·         Complémentaires santé : dès la prochaine loi de financement de la sécurité sociale, les critères des contrats solidaires et responsables seront renforcés. L’objectif de généraliser l’accès à une complémentaire santé d’ici 2017 est réaffirmé.

 

Pour organiser les soins autour des patients :

·         Le médecin traitant sera le pivot du premier recours ;

·         Des équipes de professionnels de santé seront constituées dans les territoires, avec de nouveaux modes de rémunération, sur objectifs de santé publique ;

·         Le service public hospitalier sera refondé.

·         Le dossier médical personnalisé sera relancé pour faciliter l’échange entre professionnels de santé , dans le cadre de parcours de soins pour les personnes âgées, les personnes atteintes de maladies chroniques et les personnes handicapées, en lien étroit avec les professionnels eux-mêmes.;

 

3 - Un tournant majeur dans le renforcement de l’information et des droits des patients :

·         La possibilité d’actions de groupe (« class action ») en santé sera ouverte dès l’année prochaine ;

·         Un répertoire de l’offre de soins par territoire sera mis en place, pour permettre aux Français de mieux se repérer dans l’offre de soins.

·         Un service public d’information en santé sera constitué, en commençant par le médicament. Un site www.medicaments.gouv.fr sera accessible dès la semaine prochaine, offrant un accès à la toute nouvelle base de données publique de médicaments ;

·         Un dispositif d’accès et d’utilisation des bases de données médico-administratives, adapté aux besoins de santé publique et de sécurité sanitaire, dans des conditions fiables et sécurisées, sera mis en place.

 

Enfin, les relations entre l’Etat et l’Assurance maladie seront mieux coordonnées.

Geneviève Fioraso a réaffirmé que la recherche, la formation, l’innovation, la médecine et les soins doivent être pensés ensemble pour le bénéfice des patients.

Ces objectifs sont portés par les deux ministères comme en témoignent la réflexion commune et les actions engagées dans le domaine de la formation.

·         les formations seront renforcées en qualité et surtout décloisonnées afin de s’adapter aux évolutions des pratiques et des modes d’exercice, et répondre aux problèmes de la démographie médicale. Différentes modalités d’accès aux études médicales et paramédicales seront mises en place à la rentrée 2014 comme le prévoit la loi sur l’enseignement supérieur et la recherche du 22 juillet 2013. 

·         Une réflexion sur la modernisation et l’évolution  de l’examen classant national (ECN) débutera avant la fin de l’année afin d’assurer une meilleure adéquation de la formation aux besoins des territoires.

 

L’excellence de notre recherche biomédicale sera préservée. Le continuum allant de la recherche la plus fondamentale à la recherche clinique jusqu’au soin sera renforcée. 

·         Un co-pilotage des ministères des affaires sociales et de la santé et de l’enseignement supérieur et de la recherche est mis en place dans le cadre de la stratégie nationale de la recherche « France Europe 2020 »

·         Une simplification des structures de recherche en santé est proposée pour supprimer les redondances et favoriser la cohérence et l’efficacité interdisciplinaire. L’alliance Aviesan (CHU, universités et EPST) sera positionnée dès 2014 comme un lieu stratégique de la mise en place du continuum recherche fondamentale – recherche clinique

·         Une meilleure coordination des financements nationaux et régionaux de la recherche biomédicale, va être mise en place.

La santé des Français est une priorité du gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Un comité interministériel de coordination des politiques gouvernementales en faveur de la santé  sera mis en place. Il se réunira dès le début de l’année 2014.

Marisol Touraine présentera en 2014 une loi de stratégie nationale de santé pour mettre en œuvre ces axes prioritaires. Sans attendre cette échéance, ces derniers trouveront une première traduction concrète dès le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2014, qui sera rendu public dans les prochains jours.

La SNS donnera lieu à l’organisation, par les agences régionales de santé (ARS), dans les prochains mois, de forums en régions afin de mobiliser les citoyens, les élus, les partenaires sociaux, et l’ensemble des acteurs du monde de la santé autour de la préparation de la future loi de 2014.

lundi 2 septembre 2013

Eté 2013 : l'actualité de la HAS


Cet été, la Haute Autorité de Santé (HAS) a communiqué sur plusieurs travaux dont voici un récapitulatif. Retrouvez les communiqués de presse et les documents en ligne sur le site

 

31 juillet 2013
Les anticoagulants oraux antivitamine K restent la référence dans la fibrillation auriculaire non valvulaire


Pour les personnes souffrant de fibrillation auriculaire non valvulaire, la prise d'anticoagulants oraux est souvent indispensable. Au premier semestre 2013, la Commission de la Transparence a achevé l'évaluation des trois anticoagulants oraux disponibles sur le marché dont le mode d'action est différent de celui des antivitamines K (AVK). La Haute Autorité de Santé (HAS) diffuse ce jour une fiche de bon usage à l'attention des prescripteurs. Le message principal : les anticoagulants oraux antivitamine K restent le traitement de référence, les autres anticoagulants oraux représentent une alternative.


 

30 juillet 2013
La Haute Autorité de Santé a procédé au


La Haute Autorité de Santé a procédé au renouvellement de la Commission Nationale d'Evaluation des Dispositifs Médicaux et des Technologies de Santé (). La CNEDIMTS a été créée pour donner un avis aux pouvoirs publics sur l'accès ou non au remboursement des dispositifs médicaux et actes professionnels et dans l'objectif de contribuer à améliorer la qualité des pratiques professionnelles et des soins aux patients. La nouvelle commission tiendra le 3 septembre 2013, sa première séance plénière.


 

18 juillet 2013
Télémédecine : deux outils à disposition des acteurs du monde de la santé


La télémédecine, pratique médicale à distance fondée sur l'utilisation des technologies de l'information et de la communication, est aujourd'hui considérée comme un levier d'action susceptible d'apporter une réponse aux défis organisationnels et économiques de l'offre de soins. L'amélioration de la qualité et de l'accès aux soins sur l'ensemble du territoire et l'optimisation de l'utilisation des ressources humaines, financières et technologiques disponibles sont les principaux enjeux associés à son développement. La HAS publie aujourd'hui deux travaux sur le sujet pour accompagner le développement des projets de télémédecine : un cadre d'évaluation médico-économique ainsi qu'une grille de pilotage et de sécurité des projets de télémédecine.


 

2 juillet 2013

Chirurgie bariatrique : un nouveau set d'indicateurs pour évaluer la qualité de la prise en charge préopératoire

La HAS propose 7 nouveaux indicateurs issus des recommandations de bonne pratique