Nora ANSELL-SALLES

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mardi 8 octobre 2013

Un site de référence pour les :


hypersensibilités alimentaires

 

Si aujourd’hui les allergies retardées ou de Type III (plus communément appelées intolérances alimentaires par le grand public) sont bien connues, les moyens de les gérer sont, eux, souvent ignorés. C’est pourquoi les laboratoires R-Biopharm ont créé le site www.intolsante.com, dans  une version renouvelée, un site pour mieux comprendre ces allergies et surtout mieux vivre avec elles avant d’en être totalement débarrassé.

 


 

Longtemps mésestimées, les allergies retardées ont aujourd’hui un site de référence pour trouver les infos utiles, les outils pour se dépister mais aussi et surtout les conseils pour vivre au mieux avec les allergies, voire les faire disparaitre.

 

Au menu de de www.intolsante.com, tous les outils mis par les laboratoires R-Biopharm à disposition des personnes qui souffrent, parfois depuis de nombreuses années, de réactions allergiques de Type III à certains aliments.

 

Les moyens d’agir et de mieux se nourrir

Outre une vaste gamme de produits permettant de détecter ces aliments, par le biais d’analyses rapides et sûres qui vont tester de 23 à 270 aliments de notre vie courante, le site créé par R-Biopharm propose également une analyse complète des modes de vie et d’alimentation de chacun et une méthode, fiable, sûre et personnalisée, pour retrouver une pleine santé et une parfaite harmonie.

 

Un site pour s’informer et échanger

Souvent isolées, les personnes atteintes d’allergies retardées trouvent également sur www.intolsante.com un espace de parole, de témoignage et d’échange avec d’autres personnes souffrant des mêmes troubles. Un espace précieux qui participe, lui aussi, au mieux-être de tous, jour après jour.

 

 intolsante.com

www.intolsante.pro pour

www.intolsante.pro pour les professionnels de santé
 
Pour répondre à la fois aux attentes des personnes, désireuses d’être mieux pris en compte par les professionnels de santé, et des spécialistes soucieux d’obtenir des informations sérieuses sur le sujet, le site www.intolsante.pro est aussi en ligne. Ce site est accessible au public, mais son contenu à caractère résolument scientifique permet essentiellement aux communautés médicales, thérapeutiques et soignantes de prendre connaissance des derniers développements en la matière et des recherches associées les plus pointues.

 

 

Les résultats des nombreuses études menées sur ImuPro et le détail de celles en cours sont disponibles sur les sites :

 

www.intolsante.com /twww.intolsante.pro/ www.intolsante.com /www.intolsante.pro

 

Voir également le test ImuPoids sur le site : www.immunominceur.com

vendredi 7 décembre 2012

3 millions de personnes en France : des maladies « rares » ?


A l'initiative de la SFN, les représentants des organismes en charge des maladies rares (ORPHANET, Fondation Maladies rares, Comité de Pilotage du Plan Maladies rares), et les médecins responsables des centres de référence en Neurologie, implantés dans les CHU,  se sont réunis, le 30 novembre dernier, au Ministère de la santé, pour faire un bilan d'étape à mi-parcours du 2e Plan « maladies rares », les maladies neurologiques en particulier.

 

Les résultats, depuis 2004, sont encourageants car la prise en charge de ces 7 000 maladies a effectivement radicalement changé, en permettant, pour la première fois, de les faire entrer dans la modernité d’une recherche clinique et fondamentale avec des centres de référence qui se sont imposés progressivement comme les interlocuteurs des médecins et des patients, grâce au soutien des Associations de patients, en particulier de l’AFM.  

·         Les maladies sont rares mais les patients nombreux : 3 millions en France

·         Une « double peine » : une maladie rare, souvent grave, méconnue à la fois par les médecins et les proches

·         30 centres de référence en neurologie sur les 132 implantés dans les CHU partout en France

Mais, ces maladies ne bénéficient toujours pas de la même attention que les maladies considérées comme plus « fréquentes », et les objectifs du 2e Plan « maladies rares » risquent de ne pas être atteints, au détriment des patients, en particulier :

·         Il manque des registres nationaux dans la plupart de ces maladies, indispensables pour développer la recherche sur le diagnostic et des protocoles thérapeutiques harmonisés ;

·         Les patients mettent souvent plusieurs mois avant de trouver le bon centre de référence qui pourra mettre un terme à leur errance diagnostique ;

·         L'information existe, notamment sur internet, mais ces sites ne sont-ils par trop réservés aux professionnels et insuffisamment connus du public ?  Ne faudrait-il pas prévoir une information plus institutionnelle, comme c'est le cas dans d'autres domaines prioritaires de santé publique ?