Nora ANSELL-SALLES

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lundi 19 janvier 2015

MG France annonce une grève le 5 février prochain

Le comité directeur de MG France, déterminé à intensifier la pression sur le gouvernement, annonce une nouvelle journée de grève le 5 février
jeudi 15 janvier 2015
Le comité directeur de MG France s’est réuni à Paris le 15 janvier pour analyser les réponses du gouvernement aux revendications des généralistes portées par le mouvement de mobilisation qui s’est amplifié depuis le 23 décembre. Ce mouvement s’impose par son ampleur et par sa durée comme l’un des événements majeurs survenus dans le paysage médical depuis de nombreuses années.
Les médecins généralistes déplorent l’absence de réponses concrètes à leurs revendications et sont déterminés à intensifier leur pression sur le gouvernement.

La chute démographique de la médecine générale va s’amplifier dans les cinq ans à venir.
L’indifférence du gouvernement veut-elle dire que la menace sur l’accès aux soins de proximité ne le concerne pas ?

MG France mobilise les médecins généralistes :
MG France refuse l’obligation du tiers-payant. L’accès aux soins est une préoccupation constante de MG France qui rappelle que le tiers-payant n’est possible que s’il est simple et garanti: une facture unique, un règlement unique, une garantie de paiement.
MG France exige la fin de la discrimination et l’arrêt de la maltraitance dont sont victimes les médecins généralistes.
Parmi toutes les spécialités médicales, les généralistes sont les seuls exclus de la majoration MPC portant la valeur de la consultation à 25 euros. Parmi tous les médecins, les généralistes sont les seules victimes d’une politique de harcèlement des caisses d’assurance maladie qui porte notamment sur les arrêts de travail et sur leurs prescriptions. Parmis tous les professionnels de santé les médecins généralistes sont les seuls à voir leur profession progressivement démantelée.
MG France exige la reconnaissance de la place de la médecine générale dans notre système de santé, avec des moyens et des outils adaptés.
MG France réclame un investissement sur les soins de proximité et rappelle les besoins spécifiques des médecins généralistes :
  • Une formation continue spécifique, répondant aux besoins de santé de la population, indemnisée 8 journées par an pour les médecins du secteur 1.
  • Une protection sociale de nature à permettre l’installation des jeunes médecins
  • Un forfait structure permettant de bénéficier de moyens de secrétariat.
  • Une rémunération de la coordination des soins.

MG France demande enfin des dispositions spécifiques pour l’accessibilité aux soins des personnes handicapées auprès de leur médecin traitant. 85% des cabinets de médecine générale en secteur 1 ne seront pas aux normes notamment à cause du coût disproportionné des travaux. MG France demande que ce problème soit géré par des dispositions spécifiques concernant les médecins généralistes qui se déplacent auprès des patients concernés.
MG France lance de nouvelles actions :
MG France appelle les médecins généralistes à utiliser tous les moyens à leur disposition pour faire entendre leurs attentes et leur impatience auprès du gouvernement.
  • MG France appelle les médecins généralistes à fermer à nouveau leurs cabinets le jeudi 5 février pour signifier leur colère auprès du gouvernement.
  • MG France appelle les médecins généralistes à poursuivre la grève des gardes débutée en décembre.
  • MG France appelle à la poursuite de la grève administrative lancée début janvier. Arrêt de l’utilisation des téléservices de l’Assurance-Maladie, grève de la télétransmission dès lors qu’elle ne pénalise pas les patients.
  • MG France demande à chaque généraliste d’interpeller patients et responsables politiques sur le risque que fait peser sur la santé publique l’abandon de la médecine générale par le gouvernement.
MG France invite la presse à une conférence de presse au siège du syndicat le mercredi 21 janvier à 11h pour évoquer les suites du mouvement.
Cette conférence de presse aura lieu en présence de médecins généralistes qui ont commencé à pratiquer la consultation à 25€ et la visite à 56€.

Mots clés : mobilisation, grève, soins primaires

Contacts :
  • Dr Claude LEICHER
  • Dr François WILTHIEN 
  • Dr Jacques BATTISTONI 

Référence du communiqué de presse :
N° 344 (à rappeler en cas de demande d'information complémentaire)
 

Président
Claude Leicher 1er vice-président
François Wilthien
Secrétaire Général
Jacques Battistoni Secrétaire gal adjoint
Jean-Louis Bensoussan
Trésorier
Gilles Urbejtel Trésorier adjoint
Bernard Plédran
Membre de droit
Jean-Claude Soulary

MG France Membre du coll�ge de la m�decine          g�n�rale MG France - 13 rue Fernand Léger, 75020 Paris   Tél 01 43 13 13 13 - Fax: 01 43 13 13 10 
mgfrance@mg-france.fr
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jeudi 18 septembre 2014

Claude Leicher, président de MG France, dresse l’état des lieux de cette rentrée sociale, et fait le point sur les ....

Claude Leicher : « Le sentiment de malaise est de plus en plus fort »

Claude Leicher, président de MG France, dresse l’état des lieux de cette rentrée sociale, et fait le point sur les
revendications des médecins. Il précise leurs attentes face à la loi de santé en préparation et aux
négociations en cours avec l’assurance-maladie sur les accords interprofessionnels.


Vous avez récemment exprimé votre mécontentement, voire votre colère, devant les atermoiements du
gouvernement face aux mesures attendues par MG France dans le champ des soins primaires ? Est-ce que le


torchon brûle entre MG France et le gouvernement ?


MG France n’est pas du style à faire brûler les torchons, MG France est plutôt du style à se fâcher et à agir. Cela
fait deux ans que Marisol Touraine est en fonction dans le gouvernement de François Hollande. Elle a appris le
métier et développé son programme politique qui s’appelle Stratégie nationale de santé. Nous avons perçu une
volonté, exprimée dans les discours, d’engager un virage ambulatoire et un développement des soins
primaires.
A la lecture des premières mesures – qui d’ailleurs tardent à venir – nous percevons surtout un éclatement du
métier du médecin généraliste, avec des tâches qui sont confiées à d’autres professionnels, alors qu’elles sont
traditionnellement confiées au médecin traitant.
Il y a non seulement de la déception et de l’inquiétude, mais aussi de la colère qui commence à monter. Nous
constatons que la stratégie gouvernementale est à l’inverse de ce qu’il faut faire. On inquiète de plus en plus le
médecin généraliste, on renforce l’idée qu’on est déjà en train de préparer sa substitution. S’il n’y a plus de
médecin généraliste demain, par quelle profession va-t-on le remplacer ? Le sentiment de malaise est de plus
en plus fort. Tellement fort que les anciens s’en vont de plus en plus tôt et que les plus jeunes ne s’installent
pas, sauf si on leur organise un système dans lequel ils n’ont pas à investir de l’argent. Ces jeunes veulent bien
s’installer, mais sont tellement préoccupés par l'exercice libéral sinistré qu’il faut les accueillir dans des lieux où
ils n’auront pas d’inquiétude sur les charges qui pèseront sur eux. La catastrophe démographique annoncée est
arrivée. Les chiffres sont spectaculaires, comme en Ile-de-France où il n’y aura bientôt plus de généralistes.

Qu’attendez-vous désormais de la loi de santé ?


Il n'est pas trop tard pour rectifier le tir. Un exemple : le service territorial de santé au public. C’est le type
même de la chose « faite à l’envers ». Tout le monde est d’accord pour développer ce niveau du système de
santé. Mais, nous l’avons dit au gouvernement, c’est aux professionnels de santé de s’organiser : par exemple,
il leur revient de créer ou non une maison de santé. Le gouvernement reprend la proposition d’administration
ambulatoire des territoires de proximité par les Agences régionales de santé (ARS). Créer des commissions pour
gérer la territorialité n’est pas ce qu’il faut faire. Il faut à l’inverse donner des espaces de créativité et de liberté
aux professionnels pour qu'ils puissent organiser eux-mêmes leurs conditions de travail dans un cahier des
charges qui réponde aux besoins de santé de la population.
Si le gouvernement ne corrige pas sa copie, MG France luttera contre ce projet de d’administration du secteur
ambulatoire, à l'image de ce qui s’est fait de façon catastrophique dans le secteur hospitalier.

Où en êtes-vous du dossier de la coordination des soins et du travail en équipe dans vos négociations avec
l’assurance maladie ?


La première étape des accords touche un niveau de coordination autour d'un patient, organisé par les
professionnels entre eux - à deux, trois ou quatre -, dans un système qui doit être simple et accessible à tous

les professionnels de santé. La 2ème étape concerne la rémunération d’une équipe. La troisième s'adresse à


ceux qui veulent organiser la coordination sur un territoire, par exemple entre l’hôpital et la ville.
Mon inquiétude, c’est que l’assurance maladie joue un jeu chaloupé dans lequel elle a pour objectif de
diminuer les durées de séjour hospitalier, avec des accords qui privilégient les sorties d’hôpital. Or sur ce point,
nous voulons surtout des aides pour nous organiser en ambulatoire, autour de la fonction du médecin traitant,
en considérant que le médecin traitant est obligatoirement partie prenante de cette coordination, qui ne peut
être qu’à l’initiative des acteurs de terrain.
Nous avons l’impression que l’assurance maladie nous entraîne plutôt vers une direction presque unique : la
sortie de l’hôpital. Mais la coordination ne se limite pas du tout à l'organisation ville-hôpital. Il s'agit d’organiser
les équipes de soins primaires. Nous sommes en tension avec l’assurance maladie, et avec d’autres
organisations professionnelles qui ne veulent pas organiser les soins primaires et qui préfèrent mettre de
l’argent sur la technique, l’imagerie, l’hospitalisation. Il existe un vrai enjeu, qui est l’organisation du futur
virage ambulatoire. Mais nous avons besoin que l’assurance maladie comprenne et appuie mieux cet enjeu.

Les médecins attendent aussi des signes concrets, notamment une revalorisation des actes. Où en êtes-vous
sur ce dossier des rémunérations « complexes et peu lisibles » selon le dernier rapport de la Cour des
Comptes sur la Sécurité sociale ?


C’est un autre dossier. Nous ne le mélangeons pas avec la coordination des soins. MG France considère qu’il y
a une véritable discrimination conventionnelle. Je citerai deux exemples très précis : en 1990, on a interdit aux
médecins généralistes de choisir le secteur 2. En 2007, la discrimination s’est accentuée avec une consultation
à 25 euros pour tout le monde, sauf pour les généralistes. C’est inacceptable ! Les consultations sont de plus en
plus lourdes, mais restent bloquées à 23 euros. Certes, nous avons contribué à développer d’autres modes de
rémunération, mais ils restent insuffisants : 88 % de la rémunération d’un médecin généraliste sont basés sur la
rémunération à l’acte, et 23 euros ne peuvent pas rémunérer une consultation qui peut être amenée à traiter
5, 6 ou 7 problèmes différents, et qui inclut de surcroit des démarches de dépistage et de prévention. Cette
densité du contenu de nos consultations est le résultat du choix du patient qui veut « rentabiliser » sa
consultation. MG France veut toujours développer des rémunérations forfaitaires complémentaires, mais la
valeur si basse de la consultation est inacceptable. Nous demandons aujourd’hui pour la visite, que le tarif
normal soit celui applicable pour une visite à domicile à un patient Alzheimer (soit 56 euros). Cette densité est
le désir du patient qui veut « rentabiliser » sa consultation. MG France veut développer la rémunération
forfaitaire, mais la valeur si basse de la consultation est inacceptable. Nous demandons aujourd’hui que le tarif
normal soit celui applicable pour une visite à domicile à un patient Alzheimer (soit 56 euros). Cela doit devenir
le tarif normal de toutes les visites à domicile. Ensuite, nous exigeons sans tarder une consultation de base à 25
euros, et à 28 euros lorsqu’il y a des actes de coordination (contact avec un autre médecin, lettre de liaison
avec un hôpital). Ce sont les premières étapes indispensables d’une revalorisation correcte de l’exercice de
médecin généraliste.

La Cour des comptes a rendu sa copie sur la gestion de la Sécu et de l’assurance-maladie. Partagez-vous son
analyse ?


Dès que les médecins généralistes interviennent dans le parcours de soins d’un patient, les économies se
produisent. Le bon usage du parcours de soins vers des correspondants ou vers l'hôpital et le bon usage des
produits comme les génériques, génèrent une économie d’un milliard et demi par an. C'est surtout aux
généralistes qu'on doit ces économies. La Cour des comptes dit qu’on peut faire encore mieux. C’est possible,
mais nous voulons que les bénéfices de ces économies reviennent en partie dans la poche des généralistes, qui
font des efforts depuis des dizaines d’années.
Les efforts de la maîtrise médicalisée des dépenses sont à imputer en totalité aux généralistes. La prescription
des indemnités journalières à bon escient, la prescription des génériques, le bon usage de dispositifs coûteux
sont à mettre au bénéfice des généralistes.
On ne fera pas plus que ce que nous faisons aujourd’hui si nous n’avons pas un retour sur investissement. La
revalorisation des actes demandée par MG France est auto-finançable par ces économies, et assez facilement.
Nous sommes prêts à relever le défi, mais en échange nous demandons au gouvernement une revalorisation
de nos actes de base. Si rien n’est fait nous irons vers des mouvements de contestation tarifaire. Et cela partira
de la base. Nous ne jouerons plus le jeu avec des politiques qui ne tiennent pas leur parole et ne donne à la
France aucun moyen de réussir le fameux « virage ambulatoire ».





 
COUP DE PROJECTEUR
Etienne CANIARD SUR TWITTER
 
Economies possibles en favorisant les génériques: 2 Md selon la @Courdescomptes https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale …
 
 
Recommandations de la @Courdescomptes sur les génériques: plus d'économies en responsabilisant les médecins https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale …
 
@Courdescomptes: "Les conventions avec les professions de santé: répondre aux besoins des patients": le bon sens! https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale …
 
Rénover les instruments de maîtrise de la dépense. Un rapport de la @Courdescomptes https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale …
 
La vraie fraude, le travail dissimulé: 20 à 25 Mds en 2012.https://www.ccomptes.fr/Thematiques/Finances-publiques/Securite-sociale …
 

 

mardi 13 mai 2014

Nouveaux modes de rémunération : MG France lance l’alerte

Nouveaux modes de rémunération : succès de l'appel d'offre 2014 mais risque de détournement de la négociation, MG France lance l’alerte

Exercice en équipes de soins primaires. 147 projets en cours montrent l'efficience des acteurs de soins primaires. 233 nouveaux projets montrent le dynamisme d’une France de la santé de proximité qui innove. Quelle position défendra l’Assurance Maladie ? La sienne, ou celle des soins primaires ?
Avec les nouveaux modes de rémunération en équipe (NMR), les pouvoirs publics ont encouragé en 2008 la constitution d’équipes de soins de proximité pluri professionnelles, dynamique née sur le terrain avec les maisons de santé pluri professionnelles. 147 projets sont actuellement financés dans ce cadre expérimental, qui s’achèvera en décembre 2014, avec une évaluation positive.
Ces résultats ont incité le gouvernement à augmenter le nombre de projets, puis à pérenniser leur financement, objectif confié à la négociation pluri professionnelle avec l’Assurance Maladie.
Sur 233 nouveaux projets soumis aux ARS et au gouvernement en 2014, 168 seront retenus au lieu des 150 prévus, ce qui montre le dynamisme des professionnels qui attendaient ce retour avec impatience. C’est donc l’avenir de près de 400 équipes qui sera suspendu au résultat de la négociation qui commence fin mai.
Au-delà, l’enjeu est la modernisation du système de santé, basée sur des soins primaires organisés en équipes autour du médecin généraliste traitant, équipes à qui les pouvoirs publics demandent de mieux se coordonner pour répondre aux défis des maladies chroniques, du vieillissement et de la dépendance. Cette coordination doit être organisée et financée dans ses trois dimensions, centrée sur le patient, sur la patientèle des médecins traitants mais aussi sur la population d'un territoire. Cette dernière dimension est insuffisamment prise en compte dans l’appel d’offre 2014, ce qui devra être corrigé dans la négociation.
L'objectif politique est donc clair, les soins primaires sur chaque territoire de proximité. Le nouveau gouvernement saura-t-il le faire appliquer ? Car il heurte de plein fouet le mode d’organisation actuel, construit autour des pathologies ou par problème, dissociant soins, prévention, dépistage et éducation à la santé, privilégiant un exercice isolé sans coordination, et le recours inapproprié à l’hôpital.
La négociation pluri professionnelle constitue un marqueur fort de la capacité du gouvernement à mettre en œuvre une réforme structurelle cohérente et consensuelle du système de santé. Le choix politique de la Stratégie nationale de santé basée sur les soins primaires doit être pleinement assumé et ne doit pas conduire, comme en 2005 avec le médecin traitant, à un système a minima avec des moyens insuffisants. Car en face l’Assurance-Maladie et ses alliés, qui ont dénaturé la réforme du médecin traitant, construisent peu à peu un système qui contourne le principe des soins primaires en équipe.
PRADO par pathologie ou organisation d’équipes de soins primaires pour faciliter le retour à domicile ? SOPHIA, programme d’accompagnement des diabétiques par coaching téléphonique ou accompagnement en proximité de type ASALEE ? Prévention organisée par des structures extérieures ou par le médecin traitant en lien avec les infirmières, les pharmaciens, les kiné ?
Le travail en équipe de soins primaires est plébiscité par les professionnels des sites expérimentaux, par les jeunes professionnels de santé, par la population qui y trouve une réponse globale et coordonnée à ses besoins de santé et enfin, par les élus qui ont la garantie d’une organisation durable et visible pour leurs administrés. Aux maisons de santé s’ajoutent maintenant les groupes de professionnels de santé qui associent, sans regroupement sur un même site, de nombreux professionnels de santé sur des territoires plus vastes, tels ceux du pays de Beaune (21), de Val de Reuil (27), d'Ifs (14) ou de Mayenne (53).
MG France, largement à l’initiative de cette modernisation de l’exercice libéral, veillera à ce que chaque professionnel puisse librement choisir son cadre d’exercice et ainsi mieux organiser son activité professionnelle pour répondre aux besoins de santé de ses patients.
MG France demande maintenant à Marisol Touraine d’assumer ses choix, et de mettre en place les conditions d’une négociation pluri professionnelle qui réponde clairement à son objectif politique, l'organisation de soins primaires efficients en équipe sur chaque territoire.

 

Contacts :
Dr Claude LEICHER - Tél : 06 25 20 01 88
Dr François WILTHIEN - Tél : 06 13 60 54 31
Dr Jacques BATTISTONI - Tél : 06 62 61 09 99
Référence du communiqué de presse : N° 313 (à rappeler en cas de demande d'info complémentaire)