Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 13 janvier 2017

Absentéisme, mal-être au travail : les entreprises ont d'autres solutions que la visite médicale




HT Consulting permet à chacun de donner le meilleur de soi tout en développant l’esprit collectif


63% des sociétés ont constaté une hausse de l'absentéisme entre 2009 et 2015. Mais la plupart ne savent pas comment réagir face à ce phénomène. Et lorsqu'elles le font, elles n'utilisent pas les bons outils.

Par exemple, 73% des DRH vont avoir recours aux visites médicales alors qu'il s'agit du moyen le moins efficace pour réduire l'absentéisme (seulement 19% obtiennent un résultat). Ce taux grimpe à 29% si la société met en place un entretien de retour et à 32% avec la formation des managers.

L'absentéisme a de multiples facteurs : stress, tensions internes, difficultés à s'organiser, manque de cohésion entre équipes... Pour éviter de s'enfermer dans une spirale négative, coûteuse pour l'entreprise, les dirigeants et les équipes ont besoin d'un regard extérieur et d'un accompagnement sur mesure.

HT Consulting va encore plus loin en prenant un engagement de résultat. Depuis plus de 15 ans, Thierry Hocquerelle accompagne les dirigeants et/ou les salariés pour leur permettre de développer le meilleur d'eux-mêmes tout en gardant un esprit collectif.


Contact:

mercredi 5 février 2014

Chutes, malaises, accidents domestiques... des solutions existent


Chutes, malaises, accidents domestiques …




Ça n’arrive pas qu’aux autres, mais des solutions efficaces existent

Assystel dédramatise la téléassistance

 

Chaque année, près d’une personne sur trois, de plus de 65 ans, est victime d’une chute à domicile, et au fur et à mesure des années, la transformation du corps augmente le risque de tomber. Par ailleurs, de nombreuses études prouvent que plus le temps passé au sol est long, plus les conséquences physiques et psychologiques sont lourdes.

 

Depuis plusieurs années, Assystel, acteur innovant du marché de la téléassistance, sensibilise le grand public et les professionnels quant à l’importance de s’équiper d’une téléassistance en tant que senior actif ou d’équiper un proche dépendant.

 

Une vraie problématique de vie quotidienne, qui touche toutes les familles françaises un jour ou l’autre, et dont on parle trop peu !

Accès des handicapés aux soins primaires : MG France propose des solutions


En France, comme ailleurs en Europe, l'accès des personnes handicapées aux services publics et notamment aux établissements qui dispensent des soins médicaux fait l'objet de l'attention soutenue des pouvoirs publics. La loi du 11 février 2005 prévoit que tous les cabinets médicaux devront être parfaitement accessibles en 2015 aux handicapés, sauf dérogations particulières accordées par le préfet sur avis de la commission ad hoc, au prix d'une procédure administrative complexe et coûteuse lorsqu'il s'agit de faire intervenir un architecte.

Le Comité interministériel du handicap vient de constater le retard pris par notre pays dans l'agenda de l’accessibilité programmée. Une certitude s’impose déjà : de nombreux établissements de santé et de nombreux cabinets médicaux ne répondront pas aux normes en 2015.

Pour de nombreux médecins généralistes, la mise aux normes de leur local professionnel, quand elle est possible, peut représenter un coût prohibitif d'adaptation poussant à envisager un déménagement pur et simple.

Ces questions suscitent dès aujourd'hui une légitime inquiétude dans les rangs des professionnels de santé de proximité qui sont soucieux de la pérennité de leur exercice professionnel. Leurs cabinets professionnels constituent en effet un élément essentiel du maillage territorial des soins primaires de notre pays.

L'application stricte des textes conduira inévitablement à une démédicalisation brutale des zones urbaines avec réimplantation des cabinets en périphérie où l'immobilier est moins couteux, ce qui reviendrait à imposer aux handicapés un déplacement plus long et plus difficile pour accéder aux soins.

Pourtant, depuis toujours, les médecins généralistes prennent en charge leurs patients handicapés en se déplaçant à leur domicile. Cette facilitation de l'accès aux soins doit être reconnue et prise en compte.

Le syndicat des médecins généralistes MG France propose que la visite du médecin traitant au domicile de ces patients handicapés soit, de fait, considérée comme une réponse satisfaisante aux difficultés actuelles d'accès aux soins de ces personnes.

MG France demande que cette solution soit officiellement validée sans que chaque médecin ou professionnel de proximité soit obligé de demander une dérogation à la commission ad hoc.

 

Dr Claude LEICHER -  Dr François WILTHIEN - Dr Jacques BATTISTONI

 

vendredi 10 janvier 2014

JOURNEE NATIONALE DE L’AUDITION :


Jeudi 13 mars 2014

Acouphènes et hyperacousie : quelles solutions ?

Nos oreilles, une connexion fragile au monde sonore

 

Dès la vie fœtale, notre audition permet d’accéder au monde sonore et à la relation vocale puis verbale avec autrui. Cette capacité repose sur notre système auditif. Ce dernier est composé de cellules fragiles, qui s’usent avec le temps ou qui peuvent notamment disparaître définitivement sous l’effet d’un impact sonore (Traumatisme sonore auditif).  Ces phénomènes impliquent des troubles de l’audition revêtant différentes formes : la presbyacousie,  les acouphènes et l’hyperacousie, …

 

Lors de la  Journée Nationale de l’Audition, l’association éponyme organisatrice des campagnes nationales de prévention,  souhaite informer sur ces troubles  méconnus que sont les acouphènes et l’hyperacousie.  Officiellement 2 millions de Français en souffriraient mais on estime que 6 à 8 millions de personnes en sont affectées. L’écart s’expliquerait par le manque d’information sur ces pathologies ORL et la honte d’en parler.

 

Le Jeudi 13 mars 2014, à l’occasion de la 17e édition de la Journée Nationale de l’Audition, les Français vont tendre l’oreille pour entendre les messages de prévention et découvrir toutes les bonnes raisons de faire un contrôle de leur audition.

 


 

Les membres du Comité scientifique de l'association JNA sont à votre disposition pour développer plus amplement ces angles :

- Dr Pascal Foeillet, médecin ORL praticien,

- Madame Roselyne Nicolas, Présidente de l'association France Acouphènes

- Dr Martine Ohresser, médecin ORL spécialiste des acouphènes

- Pr  Jean -Luc Puel, directeur de recherche INSERM Montpellier

ainsi que tous les autres 23 experts du Comité scientifique de la Journée Nationale de l'Audition.

 

 

Contact presse :



 

mardi 13 novembre 2012

Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive (BPCO) :


Une épidémie qui progresse, un financement des soins qui « s’essouffle »…

 

L’ASSOCIATION BPCO S’INQUIETE DES REPERCUSSIONS POUR LA PRISE EN CHARGE DES PATIENTS !

 

A l’heure où notre système de santé peine à faire face aux dépenses liées aux maladies chroniques, et face au bilan mitigé du Plan BPCO initié en 2005, les patients représentés par l’association BPCO s’interrogent. Quelle qualité de soins sont-ils en droit d’attendre dans les années à venir ? Comment réduire les coûts sans diminuer celle-ci ? En d’autres termes, comment financer leur prise en charge dans le contexte d’un système de santé lui aussi à bout de « souffle » et de moyens ? En l’absence de solutions qui répondent au défi économique et humain que représente cette épidémie, l’Association BPCO lance un nouveau cri d’alarme, en ouverture de son colloque annuel organisé le 13 novembre au Palais du Luxembourg, et dans le cadre de la Journée Mondiale de la BPCO, relayée en France par la Fondation du souffle.

 

 

BPCO : plus que jamais d’actualité

 

La BPCO est une épidémie moderne, un tueur silencieux, et à l’instar d’autres pathologies chroniques, une source de dépenses de santé. Des dépenses en hausse, principalement liées à l’augmentation des hospitalisations. De plus, près de 3 patients sur 4 ne sont pas diagnostiqués. Si l’épidémiologie de maladies comme le cancer ou le diabète est aujourd’hui bien connue, la prévalence de la BPCO reste difficile à estimer. Cela résulte d’un sous-diagnostic toujours prégnant, notamment du à la complexité de réaliser des Explorations Fonctionnelles respiratoires (EFR) dans le cadre d’études épidémiologiques. On estime toutefois que 7,5 % des adultes de plus de 40 ans seraient touchés en France. Ces 20 dernières années, on observe une augmentation des hospitalisations consécutives aux exacerbations ainsi que du taux de mortalité, notamment chez les femmes, dont la courbe s’approche de celle des hommes.

 

Comme c’est le cas pour toutes les maladies chroniques, la prise en charge de la BPCO représente un coût important pour l’Assurance Maladie. Pour le diminuer, la prévention est indispensable et doit cibler le tabac bien sûr, mais également les maladies professionnelles de certains secteurs spécifiques (minier, BTP, fonderie, sidérurgie, industrie textile ou agricole). Outre la prévention, l’amélioration de la prise en charge et de la qualité de vie passe par le recours à l’ensemble des armes thérapeutiques disponibles [éducation thérapeutique du patient (ETP), réhabilitation respiratoire, nouveaux médicaments].



Plan BPCO 2005-2010 : peut mieux faire

 

Lors de l’ouverture de son 1er colloque, l’Association BPCO s’était félicitée de l’annonce de la mise en place d’un Plan dédié, porteur de beaucoup d’espoirs. Particulièrement investie depuis le lancement de ce Plan, elle a rapidement initié un grand nombre d’actions en particulier au sein de la médecine du travail. Parmi elles, la mesure du souffle, dans le cadre du dépistage de la maladie.  Malheureusement, ce Plan n’a pas bénéficié d’un budget  ambitieux et aucune vraie réponse, concrète et efficace, n’a été apportée aux patients.


L’exemple des EFR complètes, indispensables au diagnostic et qui ne sont toujours pas obligatoires ; celui de la réhabilitation respiratoire (RR), à l’efficicité unanimement reconnue et préconisée par la HAS, mais qui ne fait toujours pas l’objet de la cotation d’acte, sont en la matière révélateurs…

 

Pour autant, si le Plan gouvernemental n’a pas permis d’améliorer sur le terrain le parcours de soin des patients et n’a fait l’objet que d’évaluations partielles du Haut Conseil de la Santé Publique, il aura sans aucun doute permis une prise de conscience forte des pouvoirs publics quant à l’enjeu majeur de santé publique qu’est la BPCO. Selon l’OMS, cette pathologie pourrait passer à la troisième place des causes de mortalité par maladie.

 

Réorganiser le parcours de soins et redonner la parole aux patients

 

Face au constat partiel d’échec de ce type d’actions étatiques, il apparaît nécessaire de revenir à des initiatives collectives. La première : donner la parole aux patients. Ces derniers, en observateurs avisés du système de soins, doivent devenir acteurs de leur propre santé. Dans ce cadre, l’Association BPCO annoncera lors de ses 5èmes rencontres, une nouvelle action concrète afin de répondre à cet objectif : le lancement d’une plateforme internet dédiée, véritable espace communautaire qui permettra aux patients d’échanger, de recueillir des conseils et d’avoir accès à une carte personnalisée sur le suivi de leur maladie.

 

Ce thème est largement d’actualité puisqu’il fait partie intégrante du Guide du Parcours de Soins « Broncho-pneumopathie chronique obstructive » édité en février dernier par la HAS. Ce dernier rappelle en effet la nécessaire implication du patient dans sa prise en charge, et notamment dans le cadre de mesures telles que l’éducation thérapeutique du patient (ETP) ou la réhabilitation respiratoire. Un guide dont l’exhaustivité et la clarté devraient permettre de relancer le débat engagé en 2005, en impliquant dans les réflexions l’ensemble des acteurs engagés dans la BPCO, au premier rang desquels les malades eux-mêmes.

 

Si ce parcours de soin est aujourd’hui plus que clairement tracé, reste encore à identifier les pistes de nouveaux instruments de valorisation financière permettant de le mettre correctement en œuvre. Investir aujourd’hui pour économiser demain ? Sans doute le défi à ne pas rater…

 

Pour une meilleure coordination des soins, l’association BPCO lance un appel à tous les acteurs de santé, pneumologues, généralistes, pharmaciens, paramédicaux - et aux malades qui sont encore insuffisamment consultés, avec un mot d’ordre : le dialogue pour trouver des solutions. Redonner la parole aux patients, les écouter, et aller au delà des mots, en cessant de morceler le problème et en cassant les corporatismes pour que toute la « chaîne » de la prise en charge puisse mieux s’articuler, au profit du patient !