Nora ANSELL-SALLES

jeudi 4 octobre 2012

Projets de loi de finances (PLF) et de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2013


Budget handicap 2013 :

L'étau se desserre légèrement mais les difficultés persistent en particulier pour les ESAT [1]

 

Bien que le budget handicap 2013 connaisse une progression, l'Unapei s'inquiète du devenir des ESAT qui voient leur mission menacée pour des questions budgétaires. 

 

Le budget handicap 2013 prévoit une légère progression qui ne résoudra pas les difficultés

Dans le PLFSS 2013 présenté par le gouvernement, l'ONDAM médico-social personnes handicapées progresse de 3,3%, ce qui est supérieur à 2012 (2,1%). Cela permettra certes de poursuivre la création de 3000 places mais ne permettra pas de couvrir intégralement l'inflation prévue (1,8%). En effet,  l'augmentation des moyens affectés au financement des établissements est portée à 1,45%.  Les établissements du secteur devront toujours ainsi faire face à des difficultés financières qui mettent en péril la qualité de l'accompagnement des personnes handicapées. Difficultés financières qui ne leur permettent pas de remplacer les personnels ou de recruter des professionnels qualifiés et expérimentés ou les contraignent à réduire les transports des enfants faisant ainsi reposer la charge sur les familles. L'Unapei estime à 4% l'augmentation nécessaire de l'ONDAM « personnes handicapées »  pour maintenir la qualité de la prise en charge tout en permettant le financement des places nouvelles.

 

Les ESAT : un modèle social en péril qui a perdu près 80 millions d'euros en 6 ans [2]

Dans le PLF 2013, aucun crédit n'est alloué à la création de places en ESAT. C'est un coup d'arrêt brutal au plan de création de places en ESAT. Une revalorisation de 1% sur la masse salariale a été reconduite mais aucune revalorisation n'est prévue sur les autres charges des ESAT et le plan d'aide à l'investissement déjà notoirement insuffisant est ramené à 2,5 millions d'euros pour 1400 ESAT (4 millions en 2012). Autant de mesures qui viennent assener un coup violent aux ESAT qui subissent déjà une tension budgétaire atroce, notamment due à l'instauration de tarifs plafonds et à la convergence tarifaire.

Les conséquences sont désastreuses. Les personnes handicapées risquent bientôt d'être sélectionnées à l'entrée des ESAT en fonction de leur rentabilité et d'être soumises, dans leur processus de travail, à une pression croissante, au détriment de la qualité de leur accompagnement.

L'Unapei rappelle la nécessité absolue et le caractère urgent de mettre fin aux tarifs plafonds et à la convergence tarifaire. L'Unapei demande également et comme chaque année depuis 6 ans que l'inflation soit prise en compte. En 6 ans les moyens alloués aux ESAT, en euros constants, ont diminué de près de 80 millions d'euros, soit une perte de 5,5% de moyens.

 

À propos de l'Unapei

Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis :

Créé en 1960, l'Unapei est le premier mouvement associatif français œuvrant pour la représentation et la défense des intérêts des personnes handicapées mentales. Les associations affiliées à l'Unapei agissent pour répondre aux besoins et aux attentes des personnes handicapées mentales, favoriser leur insertion et leur permettre de vivre dignement avec et parmi les autres.

L'Unapei est un mouvement national qui fédère 600 associations présentes au niveau local (Apei, Papillons Blancs, Chrysalide, Envol...), départemental (Adapei, Udapei, Association tutélaire) et régional (Urapei).

L'Unapei en chiffres :

·         180 000 personnes handicapées accueillies

·         60 000 familles adhérentes des associations affiliées

·         3 000 établissements et services spécialisés

·         75 000 professionnels employés dans les associations et les établissements

Plus d'informations sur : www.unapei.org

 

La précarité chez les travailleurs non salariés : l’éclairage de l’Observatoire Alptis de la protection sociale


Longtemps, le fait d’exercer une activité indépendante a été un choix de vie et l’ouverture vers une carrière prestigieuse. Depuis les années 2000, c’est souvent la nécessité de créer son emploi qui fait loi. Dans ce mouvement, la précarité inhérente à l’indépendance du travail non salarié se transforme parfois en pauvreté, notamment pour les auto-entrepreneurs. D’une manière générale, les non-salariés sont touchés par un taux important de pauvreté monétaire (niveau de vie inférieur à 954 € mensuels). Dans ce contexte, l’Observatoire Alptis de la protection sociale a initié une étude sur le thème « La précarité chez les travailleurs non salariés : quelles réalités ? ». Les résultats qui viennent de paraître permettent d’en préciser leurs caractéristiques.

Liberté et précarité sont inscrites dans la définition du travailleur non salarié

Les données sur la population des non salariés sont minces. Au niveau strict de la définition, un travailleur non salarié est un travailleur précaire quel que soit son niveau de revenu justement parce qu’il ne sait pas quel sera son salaire le mois prochain, si ses clients ne vont pas partir ou si un accident ne va pas l’empêcher d’exercer. “D’une manière générale, les non salariés sont touchés par un taux important de pauvreté monétaire (niveau de vie inférieur à 954 € mensuels). Il atteint, pour les personnes âgées de plus de 18 ans, 16,9 % contre 6,3 % pour les salariés. Une situation qui témoigne des difficultés rencontrées par cette catégorie de travailleurs qui, en France, représentait en 2009 près de deux millions de personnes, hors les auto-entrepreneurs” souligne Stéphane Rapelli, économiste, auteur de l’étude.
Du côté des avantages : liberté du choix d’exercice, du statut, de la gestion du temps. Mais il faut compter avec une activité et des revenus fluctuants, et des couvertures faibles pour la maladie, la vieillesse, ou le chômage. Tout est question d’équilibre entre volume d’activité, recettes et choix de vie.

Des disparités de revenus

Les travailleurs indépendants sont très inégaux face à la pauvreté monétaire. Ceux exerçant dans les activités de services inhérentes à l’art, aux spectacles et aux activités récréatives sont les plus mal lotis en termes de revenus. Ils gagnent en moyenne 11 fois moins qu’un professionnel juridique. Les professions libérales réglementées du secteur de la santé, du droit, du cadre de vie vivent une situation globalement plus confortable que les autres non-salariés. Des revenus confortables mais qui s’accompagnent d’un volume de travail conséquent, avoisinant régulièrement les 50 heures par semaine.
“La déréglementation de l’exercice libéral depuis des années a fortement encouragé les actifs à créer leur propre emploi, souvent moins par vocation que par nécessité de travailler. Mais la mécanique, voulue vertueuse, bute sur le fait que tous les non-salariés n’ont pas les capacités et les réseaux nécessaires pour réussir”
ajoute Stéphane Rapelli.
 
72 % des auto-entrepreneurs gagnent moins de 5000 € dans l’année

Ce statut créé en 2008 avait essentiellement pour objectif de stimuler et de faciliter la création d’entreprise. En 2012, il se distingue dans le non salariat par l’important niveau de pauvreté qui lui est associé avec un revenu médian de 930 € annuels, soit 12,3 fois moins que le seuil de pauvreté (11 448 € par an). Sur 751 000 auto-entrepreneurs enregistrés, seuls 324 000 ont un chiffre d’affaires positif. Et 72 % d’entre eux ont gagné moins de 5000 € dans l’année. Un tiers des auto-entrepreneurs est composé par des artisans, les deux tiers par des professions libérales.

 
   





L'Afipa défend l'automédication comme un des facteurs de régulation possibles du système de soins


Le secteur des produits d’automédication ne représente en France, en 2011, que 6,4% du marché des médicaments contre une moyenne de 10,4% dans les pays membres de l’Union Européenne, classant notre pays en avant-dernière position des pays européens[1]. Dans le contexte actuel de réduction des dépenses de santé, de désertification médicale croissante, d’engorgement des services d’urgence et de surcharge de travail des professionnels de santé, l’Afipa (Association française de l’industrie pharmaceutique pour une automédication responsable) a souhaité approfondir la réflexion sur l’intérêt potentiel d’un développement de l’automédication dans notre pays.  

C’est dans cette perspective que l’Afipa a demandé à Celtipharm[2] de déterminer l’impact de l’automédication sur le système de soins français[3]. Deux projections réalisées suite à l’étude Celtipharm effectuée auprès de médecins généralistes et d’autres professionnels de santé indiquent qu’une réduction de l’automédication, en France, augmenterait le nombre de consultations des médecins généralistes et des services de médecine d’urgences ; tandis qu’un essor de l’automédication allègerait le nombre de consultations ainsi que le nombre d’admissions aux urgences.
 

Une réduction de l’automédication : vers une saturation du système de soins

Si par hypothèse, 10% des actes d’automédication repassaient en consultation, le médecin généraliste verrait un accroissement de son activité de 15,6 consultations par semaine, soit 5h45 par semaine uniquement pour les consultations de patients[3].La projection effectuée dans ce cas de figure par l’étude indique une augmentation des consultations des médecins généralistes de l’ordre de 45 millions par an.

Cette hausse de consultations des médecins généralistes semble impossible à absorber. En effet, les résultats de l’étude Celtipharm/Afipa³ basées sur les déclarations de 250 médecins généralistes révèlent que 49% d’entre eux n’arrivent pas à prendre de patients en consultation par manque de disponibilité. Résultats : 11% d’entre eux orientent leurs patients vers un service de médecine d’urgence[3].

71 personnels des services de médecine d’urgence  interrogés déclarent qu’aujourd’hui 28% des consultations[3] (soit 4,2 millions de consultations par an) seraient effectuées parce que les patients n’auraient pas réussi à avoir un rendez-vous suffisamment rapidement chez le médecin généraliste. Ils déclarent par ailleurs que les urgences tournent actuellement à 108% de leurs capacités. Une réduction de l’automédication augmenterait le nombre de consultations et conduirait à une saturation du système de soins en France.

[1]AESGP and AESGP National Associations 2011.
[2] CELTIPHARM est une société d’ingénierie études-marketing- ventes. Elle conçoit des programmes pour l’ensemble des acteurs de la chaîne de santé (laboratoires, régulateurs, payeurs, professionnels de santé).
[3]
Etude Celtipharm/Afipa, “l’impact del’automédication sur l’offres de soins”, 17 au 21 septembre 2012 – échantillon de 250 médecins généralistes, 71 personnels des services de médecine d’urgences et de 969 individus qui sont allés chez le médecin généraliste entre septembre 2011 et septembre 2012.

 

 

Un essor de l’automédication : vers une meilleure régulation du système de soins

Celtipharm a réalisé pour l’Afipa une deuxième projection où 29 principes actifs correspondant à 15 indications bénignes (RGO, migraine, fièvre, rhinite allergique, otite externe, candidose vulvo-vaginale…) seraient accessibles en automédication, par le biais du délistage. Les résultats indiquent que les médecins généralistes gagneraient, en moyenne 17 consultations par semaine, soit 49 millions de consultations sur l’année. 

Selon l’Afipa, ce gain de temps permettrait, entre autres, aux médecins généralistes d’accorder plus de temps à ses patients et de récupérer des consultations sur les 4,2 millions effectués aux urgences concernant les patients n’ayant pas pu avoir de rendez-vous suffisamment rapidement chez un médecin généraliste.

 

Le développement de l’automédication : un potentiel d’économies pour la collectivité

Au-delà du fait que l’automédication est un des facteurs de régulation possibles du système de soins français, elle est également source d’économies potentielles pour la collectivité. Pour rappel, la précédente étude réalisée par Celtipharm pour l’Afipa révélait que l’essor de l’automédication, en France, par délistage partiel[4] conduirait à 181,9 millions d’euros d’économies substantielles sur les consultations pour la sécurité sociale[5]. En cas de délistage complet[6], les économiesréalisées sur les consultations pour la collectivité s’élèveraient à 742,7 millions d’euros.

« Le dernier PLFSS a prévu 530 millions d’euros d’économies sur les médicaments, c’est sensiblement du même ordre de grandeur que les économies générées pour la collectivité par l’essor de l’automédication. L’automédication est donc un des moyens d’améliorer le système de soins français et de faire des économies » déclare Pascal Brossard, Président de l’Afipa.

L’AFIPA est l’association professionnelle qui représente les industriels du médicament d’automédication dont les membres sont : Abbott, Almirall, Bayer Santé Familiale, Boehringer Ingelheim, Boiron, Bouchara-Recordati, Bristol Myers Squibb - UPSA Conseil, Cephalon, Cooper, Dermophil Indien, Diepharmex, Expanscience, Galderma, Genevrier, Gifrer Barbezat, GSK SGP, Hepatoum, Johnson & Johnson Santé Beauté France, Labcatal, Lehning, Mayoly-Spindler, Merck Médication Familiale, Negima Lerads, Novartis Santé Familiale, Nutrition et Santé, Omega Pharma, Pfizer Santé Familiale, Procter & Gamble Pharmaceuticals FR, Reckitt Benckiser, Rottapharm Madaus, Sanofi Aventis, Semes S.A, Stiefel, Tonipharm, Urgo, Weleda, Zambon France.
www.afipa.org

 

Automédication : L’automédication consiste pour les individus à soigner leurs maladies grâce à des médicaments autorisés, accessibles sans ordonnance, sûrs et efficaces dans les conditions d’utilisation indiquées (définition OMS 2000).

[4] Passage de statut de médicament de Prescription MédicaleObligatoire (PMO) à celui de Prescription Médicale Facultative (PMF)
[5]
Etude Celtipharm/Afipa “ Mesure d’un possibledéveloppement de l’automédication en France et économies pour la collectivité » - 11 mai 2012 - délistage de 114 molécules non délistées en France.
[6]
Le délistage est accompagné d’undéremboursement (si la prescription ouvrait le droit au remboursement)

En savoir plus : www.afipa.org

MINE D'INFOS: Café nile avec Frédéric Valletoux le 10 octobre 20...

MINE D'INFOS: Café nile avec Frédéric Valletoux le 10 octobre 20...: « Hôpital : questions de confiance ? »   Café nile avec Frédéric Valletoux le 10 octobre 2012 de 8h30 à 10h au Sir Winston "H...

Café nile avec Frédéric Valletoux le 10 octobre 2012 de 8h30 à 10h au Sir Winston "Hôpital : questions de confiance ?"


« Hôpital : questions de confiance ? »

 

Café nile avec Frédéric Valletoux le 10 octobre 2012 de 8h30 à 10h au Sir Winston "Hôpital : questions de confiance ?"

Les Palmarès des hôpitaux publiés par la presse nationale (Le Point, Challenges, L'express...) se classent chaque année en tête des ventes et témoignent non seulement d'une concurrence croissante entre les établissements, mais aussi d'un besoin des usagers d'être sans cesse assurés et rassurés sur la qualité et la sécurité des soins délivrés par les Hôpitaux. Les indicateurs de qualité doivent d’ailleurs être mise en place au sein des établissements, directement renseignés par les malades.

 

Parallèlement, au lendemain de la réforme du financement et au jour où le parcours de soins cherche à s'éloigner de la culture de l’hospitalo-centrisme, l'Hôpital doit trouver sa place dans le système de santé de demain en répondant aux défis de qualité, de sécurité et de coordination des soins.

 

Enfin, au sein même de la structure hospitalière, Marisol Touraine a lancé le chantier du pacte de confiance, basé sur l’interrogation des équipes et la relance du dialogue social.

 

Frédéric Valletoux, Maire de Fontainebleau, Conseiller régional d'Ile de France et Président de la Fédération Hospitalière de France nous viendront débattre le 10 octobre prochain, de 8h30 à 10h au Sir Winston (5 rue de Presbourg 75116 Paris) sur le thème : « Hôpital : questions de confiance ? »

 

Nota :

Compte-rendu du café nile avec Jean-Luc Harousseau, Président de la Haute Autorité de Santé  http://www.nile-consulting.eu/?rub=news&new=360

mardi 2 octobre 2012

MINE D'INFOS: Pour les amoureux du Jazz !

MINE D'INFOS: Pour les amoureux du Jazz !: Très grosse rentrée Jazz à Nîmes avec Jazz 70 ! Une fin d’année chargée pour Jazz 70 qui entame le mois de Septembre avec la prog...

MINE D'INFOS: C'est à lire !

MINE D'INFOS: C'est à lire !: « Santé : que faire pour sauver notre système ?» de Christian Prieur - Editions l'Harmattan   Pour renoncer au financement à cré...

MINE D'INFOS: C'est à lire !

MINE D'INFOS: C'est à lire !:   « Gouvernance et contrôle interne » de Marc Chambault , Daniel Corfmat , Georges NURDIN - Editions l'Harmattan   Les scan...

MINE D'INFOS: C'est à lire !

MINE D'INFOS: C'est à lire !: « La place des salariés dans l’entreprise de demain Que cache la rationalisation des entreprises françaises ? » de Nicolas Baltazar ...

MINE D'INFOS: C'est à lire !

MINE D'INFOS: C'est à lire !:     « Inconcevable critique du travail » de Christophe Dargere , Dietrich Hoss , Claude Javeau   - Editions l'Harmattan Pour...

C'est à lire !


 

 « Inconcevable critique du travail » de Christophe Dargere, Dietrich Hoss, Claude Javeau  - Editions l'Harmattan

Pourquoi le travail est-il aussi sacralisé ? Dans quelles mesures les interrogations sur son sens et sa finalité demeurent-elles toujours aussi stériles ? A quel point ses influences sont-elles néfastes pour l'homme et son environnement ? En écornant la rigidité du système actuel, cet essai, qui prend à contrepied de nombreuses idées reçues, tente de fournir des éléments de réponse.

C'est à lire !


« La place des salariés dans l’entreprise de demain Que cache la rationalisation des entreprises françaises ? » de Nicolas Baltazar - Editions l'Harmattan


Les entreprises françaises souhaitent aujourd'hui plus que jamais préserver leur survie, et souhaitent jauger l'avenir, ses incertitudes et ses imprévus. Pour cela elles rationalisent, régulent et adoptent une approche très fonctionnaliste des rapports sociaux. La rationalisation touche les activités, les informations et la communication. A cela deux conséquences : une instrumentalisation prononcée du social en entreprise, et la remise en question des discours managériaux de plus en plus controversés.

 

C'est à lire !


 « Gouvernance et contrôle interne » de Marc Chambault, Daniel Corfmat, Georges NURDIN - Editions l'Harmattan

 

Les scandales et les dérives révélés dans les années 2000 dans de grandes entreprises ont montré l'impérieuse nécessité d'améliorer de manière structurelle leur contrôle interne. Ce fascicule fait la synthèse des réflexions menées au sein de l'ADAE (Association des Dirigeants et Administrateurs d'Entreprise) sur la relation qui peut exister entre gouvernance, bonne gestion et contrôle interne et sur ce qu'il est possible de faire en la matière.

C'est à lire !


« Santé : que faire pour sauver notre système ?» de Christian Prieur - Editions l'Harmattan

 

Pour renoncer au financement à crédit de notre système de santé, il faut à la fois réguler les dépenses de santé en adaptant le système productif de soins aux nouvelles maladies comme aux nouvelles techniques médicales, et financer les dépenses en faisant appel aux différents types de ressources affectées à la santé (financement solidaire de l'assurance maladie obligatoire, financement mutualisé des complémentaires et paiement direct par les ménages dans le respect de la justice et de la solidarité).

Pour les amoureux du Jazz !


Très grosse rentrée Jazz à Nîmes avec Jazz 70 !


Une fin d’année chargée pour Jazz 70 qui entame le mois de Septembre avec la programmation du 7ème festival de Jazz de Nîmes Métropole ! 


Des stars du Jazz avec Marcus Miller (Complet), Eddy Louiss, Roberto Fonseca (Complet) ou Lucky Peterson mais aussi des créations, Jean Charles Agou, qui sera entouré de musiciens exceptionnels comme Dominique Di Piazza, mais aussi une création de  Paulo Da Luz ou encore des jeunes talents extraordinaires comme Grace Kelly, Pierre Manetti, et des pointures comme Alex Tassel avec Laurent De Wilde... et des concerts jeune public.
(Tarif plein : 13 € Tarif réduit : 8 €, abonnements concerts de 32€ à 50€ )


Contact presse : Anne Calvini anne.calvini@nimes.fr

Puis en novembre et décembre notre saison avec des concerts Clubs et résidences, Jean-Michel Pilc, Francois Moutin et Ari Hoenig, puis le Duo Gérard Pansanel / Antonello Salis,

et enfin le Chicago Blues Festival 43ème édition dans la grande salle de Paloma, la toute nouvelle Smac Nîmoise…


Laurent Duport, Président de Jazz 70,

  Contact  :
Quentin James - qj.jazz70@yahoo.fr
Jazz 70 est aidée par la Caisse d’Epargne, la Région Languedoc-Roussillon, le Conseil Général du Gard, la Ville de Nîmes.



MINE D'INFOS: C'est à lire !

MINE D'INFOS: C'est à lire !: La chronique déjantée   d'une chaude soirée de printemps !   « Demain soir, même heure à l'Hacienda » de   Chantal Braun – Editions P...

C'est à lire !


La chronique déjantée  d'une chaude soirée de printemps !

 « Demain soir, même heure à l'Hacienda » de  Chantal Braun – Editions Publibook

Hacia la Hacienda", "y el gazebo de amor". Une destination ibérique, exotique, au feutre noir sur un panonceau surgi de nulle part au beau milieu du Bois de Boulogne. Un message à la saveur sucrée de baisers fondus ponctués de gazouillis d’amants… Et pourtant, un autre panneau brise le rêve : le château-musée historique de la Gaudriole est vendu. Avec son célèbre Trianon, ses jardins, ses rochers, ses grottes préhistoriques. L’acquéreur? Une multinationale liée à la pétrochimie, dont le PDG vient d’imaginer le système le plus ingénieux jamais inventé pour le transport du brut. Une taupe s’apprêtant à voler son secret révolutionnaire, le génie du pétrole convie la DST à une garden-party entre experts pétrochimistes. Le piège se referme. Mais lorsque des bandes vénézuéliennes et brésiliennes ont vent de la fiesta, elles croient être mises à l’écart des sauteries internationales de l’ex-Hacienda et décident de réagir. Tous se retrouveront le temps d’une nuit pas comme les autres…

 A propos de l’auteur

CHANTAL BRAUN

Licence de lettres (option anglais et études théâtrales) et CAPES en poche, Chantal Braun a préféré « voyager le monde », et s’établir quelques années aux USA (où elle travaillait pour une grande organisation internationale) avant d’embrasser, en France, la carrière de professeur de l’Éducation Nationale. Elle vit à présent à Marseille avec son compagnon qui partage avec elle l’amour du théâtre – avec une prédilection assumée pour les comédies délirantes (de Feydeau et sa longue suite d’émules) qui ont sans nul doute influencé l’écriture de ce roman déjanté.

 

MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette info vous concerne !

MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette info vous concerne !: Istya : La MGEFI rejoindra le 1 er janvier 2013 le groupe Istya   21 septembre 2011, l'assemblée générale du groupe Istya a Le vo...

Adhérents MGEFI cette info vous concerne !


Istya : La MGEFI rejoindra le 1er janvier 2013 le groupe Istya

 

21 septembre 2011, l'assemblée générale du groupe Istya a Le voté à l' unanimité l'affiliation de la MGEFI à compter du premier janvier 2013. L'union mutualiste ...

 

MINE D'INFOS: C'est à lire !

MINE D'INFOS: C'est à lire !:     « Inévitable protectionnisme  » de   Franck Dedieu , Benjamin Masse-Stamberger et Adrien de Tricornot-   Éditions Gallimard Le...

C'est à lire !


 

 « Inévitable protectionnisme » de  Franck Dedieu ,Benjamin Masse-Stamberger et Adrien de Tricornot-  Éditions Gallimard

Le protectionnisme est le dernier tabou des élites européennes. Malgré la violence de la crise, la suprématie du libre-échange demeure une croyance indiscutée. C'est cette interdiction de débattre que les auteurs, journalistes économiques de la nouvelle génération, ont voulu lever dans ce livre sans a priori idéologique.


Le constat est cruel : l'idéologie libre-échangiste, devenue hégémonique à la fin du siècle dernier, est aujourd'hui battue en brèche par les faits. Dans les pays en développement, l'amélioration du niveau de vie, réelle dans certains cas, s'est avérée illusoire dans beaucoup d'autres. Dans les pays développés, la mondialisation a creusé des inégalités qui menacent de corroder le tissu social de nos sociétés.


Le temps est donc venu pour l'Europe de définir un protectionnisme positif, européen, social et écologique, à l'opposé du nationalisme et du repli sur soi. C'est ce à quoi s'emploie cet ouvrage, qui étudie les conditions de la mise en œuvre d'un tel dispositif et la manière dont il pourrait s'appliquer concrètement dans la vie des Européens.

Franck Dedieu est journaliste l’Expansion,  Benjamin Masse-Stamberger est journaliste à l’Express et Adrien de Tricornot journaliste au Monde

Ce livre est  quelque part la synthèse de 3 indignations assortie de 3 propositions

MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette info vous concerne !

MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette info vous concerne !: BFM   Du nouveau en matière de « prévention financière » et plus particulièrement sur les fiches prévention / conseil : ...

MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette info vous conc...

MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette info vous conc...: MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette info vous concerne ! : BFM   Du nouveau en matière de « prévention financière » et plus partic...

MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette info vous concerne

MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette info vous concerne: Le groupe Istya vote l'entrée de la MGEFI   Le 21 septembre 2011, l'assemblée générale du groupe Istya a voté à l'unanimité l...

MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette info vous concerne !

MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette info vous concerne !: Miroir Social - Le groupe Istya vote l'entrée de la MGEFI   Le 21 septembre 2011, l’assemblée générale du groupe Istya a voté à l’...