Nora ANSELL-SALLES

mercredi 14 novembre 2012

MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: L’oreille silencieuse

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MINE D'INFOS: L’oreille silencieuse

MINE D'INFOS: L’oreille silencieuse: Comment peut-on être "sourd" ?   Le "dépistage" de la surdité fait polémique à tous les âges de la vie. C'est particulièrement ...

L’oreille silencieuse


Comment peut-on être "sourd" ?

 

Le "dépistage" de la surdité fait polémique à tous les âges de la vie.

C'est particulièrement lourd de conséquences pour les enfants quand ce geste simple n'est pas fait dès la naissance

Ne faudrait-il pas mieux parler d'"évaluation de l'audition" ?
 

Le Comité d’éthique de la Société Française d’Oto-Rhino-Laryngologie demande que l'audition soit mieux évaluée en France à tous les âges de la vie pour lutter contre les méfaits du bruit, notamment chez les jeunes, l'exclusion chez les plus âgés et, plus particulièrement, la perte de chance dont sont victimes environ la moitié des enfants en France, selon les régions, faute d'avoir été pris en charge dans les tous premiers jours de leur vie, dès la maternité.

Le  Comité d’éthique de la Société Française d'Oto-Rhino-Laryngologie (SFORL)*

   
L’oreille silencieuse

                                                                                                             

L’oreille n’a jamais fait de bruit. Elle le subit, et ceci de plus en plus.  Parmi les altérations des systèmes sensoriels de chaque individu, celle de l’audition est la plus pernicieuse car elle peut s’installer à «bas bruit», et l’oreille souffre dans la population d’un manque de considération, du moins tant qu’elle fonctionne. Certes, le bruit arrive dans le peloton de tête des nuisances environnementales. Si on en croit les sondages de santé publique, plus de 50% de la population se plaint de nuisances sonores. Mais ces mêmes sondages révèlent que lorsqu’est évoquée la crainte des nuisances environnementales pour la santé, l’oreille arrive en fin de liste. Ce curieux paradoxe explique la trop fréquente insouciance de jeunes qui ne conçoivent écouter la musique qu’à forte intensité.  L’atteinte auditive liée au bruit et les effets du vieillissement augurent mal de l’audition des personnes âgées dans les années à venir. On ne prend donc jamais trop de précaution pour sauvegarder son audition, et pour s’inquiéter de sa dégradation. Pour l’adulte, le téléphone, la télévision peuvent déclencher l’alerte. Mais l’enfant ne se plaint jamais de son audition. C’est dire l’importance de la vigilance de l’entourage, de la famille et des enseignants.

Et le nourrisson dans tout çà?  Sa chance est de pouvoir être testé dès sa naissance. Cette chance, unique dans les tous premiers jours, ne va pas durer. Il faut en profiter. A la maternité, un test simple permet, dès les premiers jours de vie, de vérifier l’intégrité de l’audition. Il suffit de quelques minutes pour envoyer un son calibré dans l’oreille qui répond en écho. Cet examen simple est réalisé par le personnel de la maternité. Passé ce cap, ce ne sont plus quelques minutes que prendra cette vérification du bon fonctionnement de l’oreille mais beaucoup plus de temps et de moyens, dans des locaux spécifiques, avec du personnel ultra spécialisé. Cet examen de la vérification de bonne audition à la naissance s’impose au même titre que la vérification du bon état des autres organes, et du check up néonatal. Après les péripéties de la gestation et de la naissance, la joie des parents n’est complète que lors de l’annonce que tout va bien. Et dans ce tout, il ne faut jamais oublier l’audition.

Aussi le Comité d’éthique de la Société Française d’Oto-Rhino-Laryngologie demande aux instances sanitaires du Pays de saisir toutes les occasions pour vérifier l’audition, ceci dès la naissance et jusqu’aux âges les plus avancés.

*Pr  Jérôme Andrieu Guitrancourt ; Pr Claude Beauvillain de Montreuil ; Pr André Chays ; Pr Jacques Dubin ; Pr Jean-Pierre Fontanel ; Dr Isabelle de Gaudemar ; Pr Jean-Paul Marie ; Pr Philippe Narcy ;Pr Patrice Tran Ba Huy

 
NDLR : les réponses de la MGEFI aux problèmes d'audition


LA FORMULE BASIQUE Vous souhaitez disposer d’une couverture santé de base vous remboursant les actes les plus courants tout en vous offrant des ga...



LA FORMULE CLASSIQUE Vous souhaitez une couverture classique en relais de l’Assurance maladie intégrant des prestations optimisées ? Multi Santé v...



LA FORMULE ACTIVE Vous estimez que votre santé dépend en partie de votre comportement et vous souhaitez bénéficier d’une couverture santé de quali...



À consulter sans modération tous les jeudis !


                                   

 

MINE D'INFOS: LA MEDECINE BAILLONNEE ?

MINE D'INFOS: LA MEDECINE BAILLONNEE ?: APPEL AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE Aujourd'hui 14 novembre, les médecins manifestent devant le ministère de la santé. Prévue de l...

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MINE D'INFOS: Plan hivernal : la Ville de Paris mobilisée et vig...: À l’occasion de sa visite du centre d’hébergement Vésale (5 e ), Bertrand Delanoë a rappelé aujourd’hui l’engagement de la collectivité ...

LA MEDECINE BAILLONNEE ?


APPEL AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

Aujourd'hui 14 novembre, les médecins manifestent devant le ministère de la santé.

Prévue de longue date, cette manifestation a été dûment autorisée.

Les médecins ont des choses à dire et à montrer aux français. Pour cela  avait été  prévue une estrade avec un écran, avenue de Ségur, inspectée ce matin même sans que les autorités n'y trouvent rien à redire.

11h coup de théâtre : l'estrade est interdite.

Les pouvoirs publics ont-ils peur de ce que les médecins ont à dire et à montrer  ?

Monsieur le Président de la République, faites respecter l'expression démocratique : laissez les médecins s'exprimer. Sinon il se dira et il s'écrira que les pouvoirs publics ont des choses à cacher

Les médecin eux n'ont pas honte de ce qu'il font et sont prêts à faire toute la lumière : Monsieur le Président, n'éteignez pas la lumière, ordonnez que cette estrade reste en place.

Maintenant.

car la manifestation est prévue à  14 heure.

 

Union des Chirurgiens de France Le BLOC

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MINE D'INFOS: Plan hivernal : la Ville de Paris mobilisée et vig...: À l’occasion de sa visite du centre d’hébergement Vésale (5 e ), Bertrand Delanoë a rappelé aujourd’hui l’engagement de la collectivité ...

Plan hivernal : la Ville de Paris mobilisée et vigilante pour protéger les personnes à la rue


À l’occasion de sa visite du centre d’hébergement Vésale (5e), Bertrand Delanoë a rappelé aujourd’hui l’engagement de la collectivité parisienne pour la prise en charge des personnes sans abri et présenté le dispositif hivernal mis en place par la Ville.

 

Pour cet hiver, la Ville de Paris :

·         se tient prête à mobiliser durant les phases de grand froid jusqu’à 950 places de mise à l’abri dans 12 gymnases et 90 places dans les mairies des 1er, 3e, 4e, 11e et 15e arrondissements. Dans les gymnases, l’accueil sera assuré par des agents volontaires du Centre d’Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP) avec l’appui de bénévoles. Un coordinateur social sera également présent pour faciliter l’évaluation sociale des personnes accueillies et les orienter vers l’offre d’hébergement de droit commun ;

·         ouvre 20 appartements pour l’accueil de familles rue de Gergovie (14e) dans quelques semaines ;

·         assure une veille renforcée dans les bois de Vincennes et Boulogne en lien avec les associations et renforce les maraudes du Samu Social avec quatre équipes véhiculées mobilisables ;

·         élargit les horaires des accueils de jour de la Ville (dans les 14e et 16e) en cas de grand froid.

 

De plus, pour renforcer l’aide alimentaire aux personnes démunies tout au long de l’année, le maire de Paris a annoncé l’ouverture en 2013 d’un 6ème restaurant solidaire dans le 11ème arrondissement. Un restaurant social géré par les Restaurants du Cœur vient par ailleurs d’ouvrir rue Saint-Roch (1er) dans des locaux de la Ville.

 

Cependant, en dépit des moyens accrus qui seront consacrés par l’Etat à la prise en charge des personnes sans abri cet hiver, la Ville de Paris reste très inquiète sur l’hébergement des personnes sans abri, particulièrement des familles. En effet, le Samu Social de Paris se trouve actuellement dans l’incapacité de répondre chaque jour à des centaines de demandes du fait de la saturation de l’offre hôtelière. Dans ce contexte, l’Etat devra renforcer sans attendre les moyens du Samu Social afin qu’aucune famille ne soit contrainte de dormir dans la rue.

 

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MINE D'INFOS: C'est à lire : « Informatique médicale, e-Santé F...:   «  Informatique médicale, e-Santé Fondements et applications » Sous la direction de Alain Venot   Avec la collaboration de Anita Burgu...

C'est à lire : « Informatique médicale, e-Santé Fondements et applications »


 « Informatique médicale, e-Santé Fondements et applications » Sous la direction de Alain Venot  Avec la collaboration de Anita Burgun et Catherine Quantin – Editions Spinger

 
 L’informatique médicale est devenue au fil des années une vraie discipline scientifique dont les bases et applications sont enseignées non seulement dans tous les domaines de santé (médecine, odontologie, pharmacie, maïeutique, sciences sanitaires et sociales, école de soins infirmiers et de kinésithérapie, écoles de santé publique…) mais également dans de nombreux autres cursus (Sciences de la vie, Écoles d’ingénieur et d’économie, etc.).
 

 Ce livre est le fruit du travail collectif de nombreux auteurs appartenant principalement au Collège français des enseignants chercheurs de cette discipline. Il est composé de 19 chapitres qui comportent tous des objectifs pédagogiques, des conseils pour approfondir les connaissances dans le domaine et des exercices.

C’est volontairement que cet ouvrage ne comporte pas de bibliographie classique. Certaines références sont données dans le corps du texte. À la fin de chaque chapitre, une section « Pour en savoir plus » donne au lecteur selon les domaines traités des mots clés pour faire lui-même une recherche bibliographique, des liens vers des sites à consulter et éventuellement quelques références d’articles ou d’ouvrages généraux sur le sujet.

 Le coordinateur de l’ouvrage, Alain Venot, est professeur d’Informatique médicale à l’Université Paris 13 (Faculté de Médecine de Bobigny) et auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet. Anita Burgun et Catherine Quantin sont toutes deux Professeur d’Informatique médicale. La première enseigne à l’Université de Rennes 1, la seconde à l’Université de Dijon.

MINE D'INFOS: Complémentaire santé : Istya crée son réseau audi...

MINE D'INFOS: Complémentaire santé : Istya crée son réseau audi...:   Après avoir fait leurs armes dans I’ optique les Ocam investissent le secteur de l‘audition Jusqu’ au 26 novembre, les centres aud...

Complémentaire santé : Istya crée son réseau audio


 

Après avoir fait leurs armes dans I’ optique les Ocam investissent le secteur de l‘audition Jusqu’ au 26 novembre, les centres audio peuvent postuler pour intégrer le futur réseau Audistya exigeant sur la qualité moins sur les tarifs.

 

Suite de l’article dans le supplément de novembre de « Bien vu ».

 

Nota : Audistya sera ouvert aux adhérents MGEN MGET MCDef et MAEE Les adhérents de la MGEFI et de la MCF en bénéficieront également sous réserve d approbation par leur assemblées générales respectives courant 2013.

Le chiffre de la semaine : 60 %


C’est le pourcentage de Français qui déclarent "bien manger c'est se faire plaisir"

Source : TNS Sofres pour le SIAL

mardi 13 novembre 2012

Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive (BPCO) :


Une épidémie qui progresse, un financement des soins qui « s’essouffle »…

 

L’ASSOCIATION BPCO S’INQUIETE DES REPERCUSSIONS POUR LA PRISE EN CHARGE DES PATIENTS !

 

A l’heure où notre système de santé peine à faire face aux dépenses liées aux maladies chroniques, et face au bilan mitigé du Plan BPCO initié en 2005, les patients représentés par l’association BPCO s’interrogent. Quelle qualité de soins sont-ils en droit d’attendre dans les années à venir ? Comment réduire les coûts sans diminuer celle-ci ? En d’autres termes, comment financer leur prise en charge dans le contexte d’un système de santé lui aussi à bout de « souffle » et de moyens ? En l’absence de solutions qui répondent au défi économique et humain que représente cette épidémie, l’Association BPCO lance un nouveau cri d’alarme, en ouverture de son colloque annuel organisé le 13 novembre au Palais du Luxembourg, et dans le cadre de la Journée Mondiale de la BPCO, relayée en France par la Fondation du souffle.

 

 

BPCO : plus que jamais d’actualité

 

La BPCO est une épidémie moderne, un tueur silencieux, et à l’instar d’autres pathologies chroniques, une source de dépenses de santé. Des dépenses en hausse, principalement liées à l’augmentation des hospitalisations. De plus, près de 3 patients sur 4 ne sont pas diagnostiqués. Si l’épidémiologie de maladies comme le cancer ou le diabète est aujourd’hui bien connue, la prévalence de la BPCO reste difficile à estimer. Cela résulte d’un sous-diagnostic toujours prégnant, notamment du à la complexité de réaliser des Explorations Fonctionnelles respiratoires (EFR) dans le cadre d’études épidémiologiques. On estime toutefois que 7,5 % des adultes de plus de 40 ans seraient touchés en France. Ces 20 dernières années, on observe une augmentation des hospitalisations consécutives aux exacerbations ainsi que du taux de mortalité, notamment chez les femmes, dont la courbe s’approche de celle des hommes.

 

Comme c’est le cas pour toutes les maladies chroniques, la prise en charge de la BPCO représente un coût important pour l’Assurance Maladie. Pour le diminuer, la prévention est indispensable et doit cibler le tabac bien sûr, mais également les maladies professionnelles de certains secteurs spécifiques (minier, BTP, fonderie, sidérurgie, industrie textile ou agricole). Outre la prévention, l’amélioration de la prise en charge et de la qualité de vie passe par le recours à l’ensemble des armes thérapeutiques disponibles [éducation thérapeutique du patient (ETP), réhabilitation respiratoire, nouveaux médicaments].



Plan BPCO 2005-2010 : peut mieux faire

 

Lors de l’ouverture de son 1er colloque, l’Association BPCO s’était félicitée de l’annonce de la mise en place d’un Plan dédié, porteur de beaucoup d’espoirs. Particulièrement investie depuis le lancement de ce Plan, elle a rapidement initié un grand nombre d’actions en particulier au sein de la médecine du travail. Parmi elles, la mesure du souffle, dans le cadre du dépistage de la maladie.  Malheureusement, ce Plan n’a pas bénéficié d’un budget  ambitieux et aucune vraie réponse, concrète et efficace, n’a été apportée aux patients.


L’exemple des EFR complètes, indispensables au diagnostic et qui ne sont toujours pas obligatoires ; celui de la réhabilitation respiratoire (RR), à l’efficicité unanimement reconnue et préconisée par la HAS, mais qui ne fait toujours pas l’objet de la cotation d’acte, sont en la matière révélateurs…

 

Pour autant, si le Plan gouvernemental n’a pas permis d’améliorer sur le terrain le parcours de soin des patients et n’a fait l’objet que d’évaluations partielles du Haut Conseil de la Santé Publique, il aura sans aucun doute permis une prise de conscience forte des pouvoirs publics quant à l’enjeu majeur de santé publique qu’est la BPCO. Selon l’OMS, cette pathologie pourrait passer à la troisième place des causes de mortalité par maladie.

 

Réorganiser le parcours de soins et redonner la parole aux patients

 

Face au constat partiel d’échec de ce type d’actions étatiques, il apparaît nécessaire de revenir à des initiatives collectives. La première : donner la parole aux patients. Ces derniers, en observateurs avisés du système de soins, doivent devenir acteurs de leur propre santé. Dans ce cadre, l’Association BPCO annoncera lors de ses 5èmes rencontres, une nouvelle action concrète afin de répondre à cet objectif : le lancement d’une plateforme internet dédiée, véritable espace communautaire qui permettra aux patients d’échanger, de recueillir des conseils et d’avoir accès à une carte personnalisée sur le suivi de leur maladie.

 

Ce thème est largement d’actualité puisqu’il fait partie intégrante du Guide du Parcours de Soins « Broncho-pneumopathie chronique obstructive » édité en février dernier par la HAS. Ce dernier rappelle en effet la nécessaire implication du patient dans sa prise en charge, et notamment dans le cadre de mesures telles que l’éducation thérapeutique du patient (ETP) ou la réhabilitation respiratoire. Un guide dont l’exhaustivité et la clarté devraient permettre de relancer le débat engagé en 2005, en impliquant dans les réflexions l’ensemble des acteurs engagés dans la BPCO, au premier rang desquels les malades eux-mêmes.

 

Si ce parcours de soin est aujourd’hui plus que clairement tracé, reste encore à identifier les pistes de nouveaux instruments de valorisation financière permettant de le mettre correctement en œuvre. Investir aujourd’hui pour économiser demain ? Sans doute le défi à ne pas rater…

 

Pour une meilleure coordination des soins, l’association BPCO lance un appel à tous les acteurs de santé, pneumologues, généralistes, pharmaciens, paramédicaux - et aux malades qui sont encore insuffisamment consultés, avec un mot d’ordre : le dialogue pour trouver des solutions. Redonner la parole aux patients, les écouter, et aller au delà des mots, en cessant de morceler le problème et en cassant les corporatismes pour que toute la « chaîne » de la prise en charge puisse mieux s’articuler, au profit du patient !

lundi 12 novembre 2012

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MINE D'INFOS: AFNOR et 12 grands organismes certificateurs franç...: AFNOR et 12 grands organismes certificateurs français* renouvellent leur engagement pour le développement de la marque NF, première m...

AFNOR et 12 grands organismes certificateurs français*


AFNOR et 12 grands organismes certificateurs français* renouvellent leur engagement pour le développement de la marque NF,

première marque de certification de produits en France.

 

 

Par la signature d’une déclaration commune, le réseau NF – constitué d’AFNOR Certification, animateur du système de certification de la marque NF, et de 12 organismes qu’elle mandate pour délivrer la marque NF dans leurs domaines d’activité  – refonde le développement de ce signe distinctif reconnu par 85% des français.[1]

 

La marque NF : un capital confiance
Produits de construction, bâtiments, extincteurs, ameublement, sac à déchets, produits électriques, préservatifs … Plus de 200 applications de la marque NF permettent aux professionnels et aux particuliers d’identifier des produits de haute qualité. Signe fort associé à des exigences techniques et à des modalités de contrôle de haut niveau, gage de confiance pour les utilisateurs et les consommateurs, la marque NF est en effet l’une des marques de qualité les plus exigeantes en Europe.

Un engagement pour l’avenir

AFNOR et 12 organismes certificateurs partenaires réaffirment leur volonté de défendre les valeurs fondatrices du réseau NF et d’unir leurs forces pour promouvoir la marque NF. Leur engagement commun est de préserver le niveau d’excellence des produits certifiés et d’enrichir les caractéristiques couvertes par la marque NF en intégrant les enjeux du développement durable. Véritable outil de conquête de nouveaux marchés, la marque NF doit contribuer plus encore au rayonnement des produits de qualité en France et pour les marchés internationaux.

Un ancrage fort dans les filières professionnelles à travers un réseau d’organismes certificateurs reconnus

C’est dans les années 90 qu’AFNOR a fait le choix de constituer une équipe de certificateurs reconnus dans leur profession et mandatés pour la gestion de certaines applications de la marque NF. Aux côtés d’AFNOR Certification, ils sont aujourd’hui 12 Certificateurs - centres techniques, établissements publics à caractère industriel et commercial, organisations professionnelles, associations - à porter la marque NF, chacun s’engageant dans son domaine de compétence. Leur réputation, leur indépendance et leur impartialité contribuent ainsi à la crédibilité et à la promotion des produits certifiés sous la marque NF.

Ces organismes mandatés sont responsables de l’élaboration et de la validation des référentiels de certification NF. Ils gèrent l’ensemble du processus de certification, prennent la décision de certification, le droit d’usage de la marque NF étant accordé par AFNOR Certification.

 
[1] La marque NF est reconnue par 85 % des Français, selon une étude IPSOS réalisée en 2009 auprès de 1000 consommateurs. Elle fait partie du peloton de tête des signes de qualité reconnus par les Français. Elle est délivrée en accords à des exigences techniques et à des modalités de contrôle de haut niveau. http://www.afnor.org/liste-des-actualites/actualites/2009/juin-2009/la-marque-nf-reconnue-par-85-des-francais


*Ils sont au nombre de 12 :

AFCAB (Association Française de Certification des Armatures du Béton), ASCQUER (Association pour la certification et la qualification des équipements de la route), CEQUAMI (Certification et Qualité en Maisons Individuelles), CERIB (Centre d'Etudes et de Recherches de l'Industrie du Béton), CERQUAL, CERTIGAZ (Certification de produits pour les installations et les utilisations du gaz), CERTITA, CERTIVEA, CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment), (FCBA Institut Technologique Forêt Cellulose Bois construction Ameublement), LCIE (Laboratoire Central des Industries Electriques), LNE (Laboratoire national de métrologie et d'essais).

La marque NF

Créée en 1938, la marque NF est un signe de qualité  volontaire pour les professionnels décidés à prendre de réels engagements vis-à-vis de leurs clients. Elle offre une garantie de la qualité, de la sécurité et de l’aptitude à l’usage des produits sur lesquels elle est apposée. Pour être certifiés NF, les produits doivent respecter des exigences décrites dans des référentiels de certification. Ces référentiels, élaborés en concertation avec les fabricants, les distributeurs, les associations de consommateurs, les laboratoires et les pouvoirs publics, sont basés sur le respect des normes françaises, européennes et internationales, parfois complétées par des spécifications techniques complémentaires renforçant les exigences de performance. Depuis plus de 60 ans, la marque NF a toujours su évoluer, intégrant des exigences répondant aux attentes du marché et se distinguant, dans la jungle des signes de reconnaissance, comme une marque de qualité, exigeante et un gage de confiance. La marque NF distingue aujourd’hui près de 200 catégories de produits, auprès de 6000 titulaires.

pour en savoir plus sur la marque NF : www.marque-nf.com

A propos d’AFNOR Certification

AFNOR Certification est le premier organisme de certification et d’évaluation de systèmes, services, produits, compétence en France. Il délivre notamment les marques NF sur une large variété de produits et la marque AFAQ (sur les systèmes de management notamment).
AFNOR Certification gère le système de certification NF, par délégation d’AFNOR, propriétaire de la marque NF. Il accompagne ses clients, de la définition des processus les mieux adaptés à leur stratégie jusqu’à leur gestion à l’échelle nationale et internationale.
Accréditée en France par le COFRAC, AFNOR Certification offre un véritable service de proximité grâce à ses 27 implantations sur les 5 continents et à ses 13 délégations régionales françaises.
Elle mobilise 1500 auditeurs qualifiés pour répondre aux besoins de ses clients répartis sur plus de 60 000 sites dans le monde.
La certification par AFNOR Certification s’entend comme un outil de progrès, dont les maîtres mots sont : développement, anticipation et capacité à accompagner le client jusqu’à créer pour lui de nouveaux produits. Ainsi, AFNOR Certification propose un service qui transforme la norme ou le référentiel en un réel outil de compétitivité. www.afnor.org



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MINE D'INFOS: Le groupe Sanofi annonce un important plan de rest...: Communiqué de Catherine Lemorton,   présidente de la commission des affaires sociales   La direction générale du groupe Sanofi a ...

Le groupe Sanofi annonce un important plan de restructuration de ses activités en France


Communiqué de Catherine Lemorton,  présidente de la commission des affaires sociales

 

La direction générale du groupe Sanofi a annoncé un important plan de restructuration de ses activités en France.

Etant données la place éminente de Sanofi dans l’industrie pharmaceutique de notre pays et l’émotion légitime que cette annonce a suscitée au sein du personnel, la présidente de la commission des affaires sociales, Mme Catherine Lemorton, a souhaité que les parlementaires puissent entendre successivement les arguments des représentants du personnel et de la direction du groupe.

Ces auditions, qui seront ouvertes à la presse, auront lieu le mercredi 5 décembre 2012 à 9h00 pour l’intersyndicale Sanofi et à 16h30 pour M. Christian Lajoux, président de Sanofi France.

Protection sociale des travailleurs indépendants et des travailleurs agricoles :


Le RSI et la MSA signent un protocole de partenariats pour une offre de services efficiente et adaptée à leurs ressortissants

 

La caisse nationale du Régime Social des Indépendants et la Caisse Centrale de la Mutualité Sociale Agricole ont signé, le 31 octobre 2012, un protocole de partenariats. Cet accord, fruit d’un inventaire des actions communes menées au sein des deux régimes confirme l’intérêt de poursuivre, d’approfondir et d’initier des partenariats communs. Il se fonde sur la volonté des deux institutions d’affirmer le rôle des régimes professionnels dans le champ de la protection sociale, de développer leur capacité à travailler en concertation et de déployer sur tous les territoires une offre de services adaptée aux besoins de leurs 11 millions de ressortissants.

Gérard Quevillon et Gérard Pelhâte, respectivement président du RSI et président de la Caisse centrale de la MSA, et Stéphane Seiller et Michel Brault, respectivement directeur général du RSI et directeur général de la Caisse centrale de la MSA, ont signé, le 31 octobre, un protocole national de partenariats dont l'ambition est de développer les synergies déjà existantes entre les caisses MSA et RSI sur le terrain et d’initier le développement de partenariats communs.

 

Ce protocole va permettre de coordonner et mutualiser les actions communes aux deux régimes, d'échanger sur les bonnes pratiques et d'optimiser la gestion des moyens dans un souci de répondre aux attentes des assurés, des pouvoirs publics et des partenaires institutionnels ou associatifs.

 

L’accord signé entre les deux régimes porte en priorité sur les actions visant :

 

-          la prévention et l’éducation sanitaire ;

-          l’action sanitaire et sociale ;

-          l’accueil de proximité ;

-          la gestion du risque maladie, l’action des services médicaux et la lutte contre la fraude ;

-          la présence sur les territoires.

 

Le protocole national de partenariats sera décliné sous forme de conventions de partenariat locales à l’initiative des caisses RSI et MSA.

  

MINE D'INFOS: La prévention : nouveaux enjeux, nouveaux risques ...

MINE D'INFOS: La prévention : nouveaux enjeux, nouveaux risques ...: Face à l'émergence de nouveaux risques (technologiques, environnementaux, industriels, psychosociaux et de dépendance), la France, premi...

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MINE D'INFOS: Accès aux soins : quel avenir pour le partage numé...: Alors que le dossier pharmaceutique a réussi son extension aux pharmacies hospitalières en permettant d'éviter les risques d'interactio...

Accès aux soins : quel avenir pour le partage numérique des dossiers médicaux et pharmaceutiques ?


Alors que le dossier pharmaceutique a réussi son extension aux pharmacies hospitalières en permettant d'éviter les risques d'interactions médicamenteuses et les redondances de traitement, le partage du dossier médical des patients rencontre des difficultés, notamment freiné par la non homogénéité des process informatiques et la réticence du corps médical en attente d'un cadre législatif sûr.

L'exemple des partages des dossiers médicaux régionaux d'« amorçage » en Alsace, Aquitaine, Franche-Comté et Picardie va-t-il convaincre les acteurs de la santé de déployer ce procédé au niveau national ? Quelle articulation peut voir le jour entre le dossier pharmaceutique et le dossier médical personnel ? Le dossier pharmaceutique peut-il être raccordé aux systèmes d'information hospitaliers des établissements de santé ? Où en sommes-nous du plan national de déploiement de la télémédecine? Quels sont les obstacles rencontrés ? Quels outils ont été mis en place par les services de l'Etat ?

Autant de questions qui seront abordées le 14 novembre prochain à la Maison de la Chimie lors de la conférence parlementaire sur l'e-santé:


Quelle place pour les nouvelles technologies dans le système de santé de demain ?


Organisée à l'initiative de Martine Pinville, députée de la Charente, secrétaire de la Commission des affaires sociales, rapporteure du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 et rapporteure budgétaire du secteur médico-social et de Jean-Pierre Door, député du Loiret, vice-président de la Commission des affaires sociales, cette conférence rassemblera des spécialistes de tous horizons (Dr Pierre Simon, président, Association nationale de la télémédecine (ANTEL), Sophie Vulliet-Tavernier, directrice des études, de l'innovation et de la prospective, Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL), Isabelle Adenot, présidente, Conseil national de l'Ordre des pharmaciens, Elena Callay, directrice associée en charge des technlogies de santé, Agence nationale d'appui à la performance des établissements de santé et médico-sociaux, Michel Gagneux, président, Agence des systèmes d'information partagés de santé (ASIP Santé), Véronique Jacq, directeur général délégué, CDC - Entreprises - Fonds national pour la société numérique, Pr Éric Lepage, directeur de projet système d'information-domaine patient, Assistance Public-Hôpitaux de Paris (AP-HP), etc..).

Le programme complet visible en cliquant sur ce lien
:
http://rppublics.files.wordpress.com/2012/10/programme-e-sante-2012.pdf

Pour toute inscription presse, merci de revenir vers RPpublics.

 

Conférence parlementaire sur l'E-santé
Quelle place pour les nouvelles technologies dans le système de santé de demain ?
Mercredi 14 novembre 2012, de 9h à 16h30
à la Maison de la Chimie à Paris


Contact presse :
Shanez.richert@rppublics.com

La prévention : nouveaux enjeux, nouveaux risques ?


Face à l'émergence de nouveaux risques (technologiques, environnementaux, industriels, psychosociaux et de dépendance), la France, premier pays européen en termes d'assurances obligatoires (assurance logement, automobile, des entreprises, ...) doit repenser son système de prévention.

 

Une conférence parlementaire réunira le 27 novembre prochain les acteurs institutionnels (ministères, administrations locales et nationales...), les établissements publics et privés, les professionnels et chercheurs, les associations et les financeurs du secteur afin d'en discuter :

Défis économiques, technologiques et sociétaux : quels nouveaux risques ?

 

> Comment se protéger et protéger sa famille des risques liés à Internet et aux réseaux sociaux ?


> Quels sont les risques naturels prévisibles ? Comment en limiter les conséquences ? Quelle mode de couverture

 ?
> En termes de risques financiers liés à la crise, la couverture des dettes souveraines est-elle souhaitable ? Ce modèle est-il extensible aux placements des particuliers ?


> Stress au travail et risques psychosociaux, quel modèle économique privilégier ? Quel mode d'intervention ? Comment favoriser l'accompagnement en amont ?


> Comment prévenir le risque de la dépendance face au défi du vieillissement ? Quelles en sont les limites ?

 

Autant de questions qui seront abordées à la Maison de la Chimie lors de cette conférence organisée et présidée par Yves Censi, député de l'Aveyron, secrétaire de la Commission des finances et par Jean-Louis Cottigny, député européen, membre de la commission des budgets.

 

Le programme complet est visible en cliquant sur ce lien : http://rppublics.files.wordpress.com/2012/11/programme-prevention-20121.pdf

 

Pour toute inscription presse ou demande d'entretien avec Yves Censi ou Jean-Louis Cottigny, merci de revenir vers RPpublics.

 

Conférence parlementaire sur la prévention
Défis économiques, technologiques et sociétaux : quels nouveaux risques ?
Mardi 27 novembre 2012, de 9h à 17h
à la Maison de la Chimie à Paris

 

Contact presse : Shanez.richert@rppublics.com