Nora ANSELL-SALLES

mercredi 31 juillet 2013

REFORME DES RETRAITES : Quelles pistes pour le retour à l’équilibre ?


Conférence parlementaire

« Quelles pistes pour le retour à l’équilibre ? »

Bref retour sur la conférence –présidée par Michel ISSINDOU  Député de l’Isère

Rapporteur de la branche vieillesse du PLFSS 2013  et Arnaud ROBINET Député de la Marne Conseiller politique de l’UMP qui c’est tenue le 13 juin dernier à la Maison de la Chimie

 

Extraits choisis

Dans un sondage réalisé par Ipsos publié le jeudi 2 mai 2013, les Français sont 66% à estimer nécessaire d’augmenter une nouvelle fois la durée de cotisation et 63% pensent qu’il faut relever l’âge de départ en retraite. En revanche, diminuer le montant des pensions ou taxer davantage les retraites est jugé nécessaire par seulement 26% et 25% des Français. Ce sondage est le signe que les retraites sont une préoccupation importante pour les Français.

le système de retraite français est confronté à de nombreuses évolutions liées à la démographie et à un taux de croissance inférieur aux prévisions qui ne permettent plus de garantir son financement sur le long terme.

Les dernières prévisions du Conseil d’orientation des retraites annoncent un déficit du système par répartition en 2020 de 22 milliards d’euros.

La future réforme devra répondre à plusieurs enjeux : pérennité du système, équité entre générations, transparence ou encore justice sociale.

De nombreuses questions se posent : quelles sont les nouvelles pistes de la réforme pour maintenir ce système sur le long terme ? Pourra-t-on répondre à son besoin de financement dans le contexte budgétaire contraint actuel ? Le fonctionnement même du système sera-t-il obligatoirement remis en cause ? Quelles seront les conséquences de la future réforme sur la santé économique de nos entreprises et sur l’épargne des Français ?

Le rapport rendu par la Commission d’experts présidée par Yannick MOREAU sera le point de départ de la phase de concertation entre les trois ministres porteurs de cette réforme : Marisol TOURAINE, ministre des Affaires sociales et de la Santé, Pierre MOSCOVICI, ministre de l’Économie et des Finances et Michel SAPIN, ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.

Les 3 objectifs du  projet de loi présenté au Parlement: le financement à court terme, la pérennité à long terme de notre système par répartition et des mesures de justice.

« Le projet de loi n’aura pas pour ambition de renverser les principes existants mais bien de « les consolider » et les inscrire dans la durée » afin de conserver le socle du système qu’est la retraite par répartition.» Marisol TOURAINE

Cette Conférence parlementaire sur la Réforme des retraites, a été l’occasion pour les intervenants de débattre de l’ensemble de ces mesures.de l’état des lieux du système français, des conditions de l’équilibre du système ainsi que des impacts de la future réforme sur la santé économique de la France.

 

Coups de projecteur sur 3 interventions

 

René Teulade
Ancien président de la FNMF
Ancien ministre
Sénateur de la Corrèze
Membre de la Commission des affaires sociales

 

Le problème relatif aux retraites n’est pas nouveau : en janvier 2000, les travaux du Conseil économique, social et environnemental avaient abouti à un rapport qui avait fait l’unanimité des partenaires (organisations syndicales, économiques et sociales, le patronat s’étant abstenu).

L’avenir des retraites est une question mouvante, qui appelle des adaptations progressives en fonction des réalités économiques et des réalités démographiques contemporaines des décisions qui sont prises.

Notre rapport tournait autour de cinq axes de réflexion qui demeurent aujourd’hui d’actualité.

Le premier résidait dans une meilleure articulation des différents temps de la vie grâce à une plus grande progressivité de la retraite.

Le deuxième concernait la garantie d’un juste remplacement du salaire par la retraite.

Le troisième plaidait en faveur de la mise en place immédiate de financements complémentaires ne pénalisant pas la compétitivité et l’emploi avec la création d’un fonds de réserve alimenté par les recettes fiscales et parafiscales, par exemple en provenance des cessions d’actifs des entreprises nationalisées (EDF, La Poste, etc.). Ce fonds aurait relevé de la solidarité nationale, et les cessions d’actifs des quinze dernières années auraient largement compensé les 15 à 20 milliards d’euros qui manquent actuellement à nos systèmes de retraites.

Le quatrième portait sur la recherche d’une croissance créatrice d’emplois, et le cinquième axe visait l’institution d’un centre national de vigilance et de garantie des retraites. Sa composition devrait refléter le caractère paritaire de la gestion des retraites en associant les pouvoirs publics, des personnalités qualifiées (économistes, démographes, sociologues), les organismes publics d’évaluation, d’inspection et de recherche, ainsi que les représentants des organismes représentant les actifs et les retraités. Les idées émises voici quinze ans ne sont pas toutes obsolètes…

 

Les conflits (entre les employeurs, les salariés, les actifs, les retraités) alimentés par le matraquage médiatique devraient céder la place à une entente possible entre les différents acteurs autour d’une solution économique provisoire et adaptable sur les retraites. De ce point de vue, les colloques comme celui-ci, par leur contribution au débat et à l’échange d’idées, sont indispensables pour apporter une réponse qui devient urgente.

 

Michel ISSINDOU
Député de l’Isère
Membre de la Commission des affaires sociales

La retraite par répartition était souhaitée et espérée par tous. Il s’agit d’un bel acquis que tout le monde désire conserver. Nous devrons peut-être mettre en place des mesures paramétriques immédiates pour combler les déficits insupportables du système des retraites. Il est dans l'intérêt de tous de réfléchir à une réforme systémique à l'exemple des grandes transformations conduites dans d'autres pays.

 

Au-delà des changements de court terme existe la nécessité de revisiter le cœur du mécanisme des retraites et de questionner les sujets non traités dans les réformes précédentes, tels que l’inégalité entre hommes et femmes ou la pénibilité par exemple.

 

280 milliards d’euros sont actuellement versés pour le financement des retraites. Or, il ne manque qu’une vingtaine de milliards pour combler le déficit. Il s’agit donc d’une période compliquée d’ajustements nécessaires pour replacer au centre du système des éléments de justice et d’égalité.

 

Arnaud ROBINET
Député de la Marne
Membre de la Commission des affaires sociales

 

Ce colloque doit se placer dans une continuité et rester un lieu de concertation pour trouver la ou les solutions qui nous permettront d’atteindre l’objectif que nous partageons tous : la sauvegarde de notre système par répartition.

Nous devrons éventuellement mettre en place une réflexion autour du régime unique, du système par points et de l’épargne retraite. Il s’agit sans doute d’éduquer nos concitoyens à cette dernière.

Partenaires de l’événement:
Klesia Towers Watson Préfon Anacofi

 

 
En savoir plus :
L’organisation de cette Conférence parlementaire ainsi que la réalisation d’une synthèse électronique ont été assurées par : Rivington
contact@rivington.fr / www.rivington.fr
 





 
 

 
 
 
 
 

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Panorama presse MGEFI

mardi 30 juillet 2013

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MINE D'INFOS: Le Sénat adopte les réseaux mutualistes

MINE D'INFOS: Le Sénat adopte les réseaux mutualistes: Les sénateurs ont adopté le mercredi 24 juillet une proposition de loi autorisant les mutuelles à pratiquer des prestations différenciées ...

Le Sénat adopte les réseaux mutualistes

Les sénateurs ont adopté le mercredi 24 juillet une proposition de loi autorisant les mutuelles à pratiquer des prestations différenciées et encadrant les conventions passées entre les mutuelles et les offreurs de soins. La Mutualité Française se félicite de cette avancée qui reconnait le rôle indispensable des mutuelles dans le système de santé pour négocier avec les professionnels de santé, des soins de qualité, à des tarifs maîtrisés, afin de lutter contre les renoncements aux soins.



Toutefois, la proposition de loi limite le champ d’application de ce type de conventions. Ainsi la modulation des remboursements ne pourra s’appliquer qu’aux professionnels de santé dont le financement par l’assurance maladie est inférieur à 50 %. Cela concerne uniquement les opticiens, les chirurgiens dentistes et les audioprothésistes, alors que les difficultés d’accès aux soins existent au-delà de ces trois domaines.





Pour Etienne Caniard, Président de la Mutualité Française, il est nécessaire d’engager une analyse précise de certaines dispositions du texte afin de déterminer si elles limitent de manière excessive ce droit à conventionner, au détriment des adhérents.



Le mouvement mutualiste attend une inscription rapide de la proposition de loi à l’ordre du jour de l’Assemblée Nationale. Une deuxième lecture lors de la session extraordinaire de septembre permettrait de ne pas retarder davantage la mise en œuvre de la loi, tant pour les patients que pour les professionnels de santé concernés.



 
À propos de la Mutualité Française
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.



Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.
www.mutualite.fr





 
 
 
 

 
 

CENTRES DE SANTE : La Mutualité Française accueille favorablement le rapport de l’IGAS


La Mutualité Française, le 1er acteur des centres de santé avec plus de 500 centres, accueille avec beaucoup d’intérêt le rapport de l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS), qui vient de paraître, sur la situation économique et la place des centres de santé dans l’offre de soins de demain, et en salue la qualité.

Le rapport présente l'intérêt d'analyser la situation des centres de manière lucide et réaliste et de formuler des propositions qui ancrent les centres de santé dans le système de soins.

Dans ses préconisations, il reprend plusieurs travaux menés début 2013 par la Mutualité Française notamment sur un modèle économique de centre de santé équilibré.

Ce rapport réaffirme l’utilité sanitaire et sociale des centres de santé, qui, d’une part répondent aux enjeux du système de santé – efficience des soins, désengorgement des hôpitaux – ainsi qu’aux attentes des professionnels de santé et des patient, et d’autre part, garantissent un accès aux soins à travers une offre aux tarifs opposables avec tiers payant.

Mais ce rapport pointe également une fragilité structurelle du modèle économique des centres, leur mode de financement étant fondé sur un fonctionnement libéral isolé et donc inadapté à une structure d’exercice regroupé.

Pour la Mutualité Française, il est important de valoriser la spécificité des centres de santé, comme le préconise le rapport, par un « forfait de gestion », un « forfait de coordination médicale », un « forfait d’accompagnement social », qui sont la contre partie nécessaire de maintien du financement à l’acte. Elle est favorable également à la mise en place des dispositifs d’accompagnement de retour à l’équilibre financier. C’est à juste titre que le rapport de la mission insiste sur « le rôle clé de la rigueur de gestion dans l’équilibre financier des centres de santé ».

La mise en œuvre des propositions du rapport implique maintenant un réel engagement de l’assurance maladie pour mener, dès la rentrée 2013, la négociation sur l’évolution de l’accord national des centres de santé. La Mutualité Française, représentative sur l’ensemble des activités - médical, dentaire, infirmier et polyvalent – des centres de santé, s’implique fortement dans cette négociation.



Par ailleurs, la Mutualité Française, ainsi que le propose le rapport, souhaite s’engager avec les Agences Régionales de Santé (ARS) dans le processus de contractualisation avec les centres.


À propos de la Mutualité Française

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.



www.mutualite.fr
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 








 

 

 




 

 












 
 
 
 
 





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MINE D'INFOS: Mercredi 24 juillet 2013 : le Sénat a adopté le pr...: Pour KRYS GROUP, cette loi pose un problème de liberté de choix pour les Français et vise à stigmatiser les opticiens.     Communi...

Mercredi 24 juillet 2013 : le Sénat a adopté le projet de loi Le Roux qui prévoit la création de réseaux de soins ouverts, sauf pour les opticiens lunetiers.


Pour KRYS GROUP, cette loi pose un problème de liberté de choix pour les Français et vise à stigmatiser les opticiens.

 

 Communiqué de presse - 25 juillet 2013

Mercredi 24 juillet 2013 : le Sénat a adopté le projet de loi Le Roux qui prévoit la création de réseaux de soins ouverts, sauf pour les opticiens lunetiers.

Pour KRYS GROUP, cette loi pose un problème de liberté de choix pour les Français et vise à stigmatiser les opticiens.

mercredi 24 juillet 2013, la PPL Le Roux - projet de loi Le Roux - a été votée par le Sénat. Les sénateurs reconnaissent le bien-fondé des réseaux de soins dits « ouverts » c’est-à-dire sans numerus clausus et ce pour l’ensemble des professions de santé à l’exception des opticiens, à qui ils réservent, et à eux seuls, les réseaux de soins fermés.

Pour Directeur Général de KRYS GROUP, ce premier vote des sénateurs pose deux problèmes :

La liberté de choix pour les Français et les opticiens. Ce projet de loi prive le consommateur de la liberté d’opter pour l’opticien de son choix. Parallèlement, il empêche l’opticien d’adhérer librement à tel ou tel réseau de soins dès lors qu’il se conformerait scrupuleusement aux conditions dudit réseau. Seule l’ouverture des réseaux de soins garantit la transparence dans la sélection des candidats opticiens et offre davantage de choix et de proximité aux Français grâce à un nombre de magasins agréés deux à trois fois plus élevé.

La question de l’égalité des professionnels de santé. Le Directeur Général de KRYS GROUP rappelle que les opticiens ne sont pas des marchands de lunettes mais des professionnels de santé et dit ne pas comprendre la sanctuarisation des réseaux fermés aux seuls magasins d’optique, ce qui relève pour lui d’une discrimination envers la profession. Face à cette décision, le Directeur Général de KRYS GROUP réaffirme qu’instrumentaliser les réseaux de soin pour réduire le nombre d’opticiens traduit le désengagement de l’Etat à traiter une problématique de santé publique. Si le législateur veut vraiment s’attaquer à l’accessibilité des soins, tant géographique qu’économique, il est nécessaire d’organiser la délégation de tâches de l’ophtalmologiste à l’opticien et pour cela inscrire le diplôme d’optique dans un schéma licence en 3 ans.

En outre, l’amendement du sénateur Daudigny fait suite à un acharnement dont est victime la profession depuis plusieurs mois :

• attaque sur les marges alors qu’elles sont, en % net du CA , identiques à celles d’un artisan commerçant moyen,

• attaque sur les prix alors qu’ils sont à produit égal équivalents à ceux des autres pays européens,

• attaque sur le nombre d’opticiens alors que les maires se plaignent de plus en plus de la dégradation de la commercialité des centres-villes.

La vérité c’est que la filière optique française est parmi les plus innovantes et les plus attachées à la santé et à la protection visuelle de tous les pays développés. C’est en France que la pénétration des verres progressifs est la plus élevée. Le « made in France » y est d’ailleurs encore majoritaire dans la fabrication de verres alors que çà n’est plus le cas pour la monture.

Pour KRYS GROUP, le vote de cette loi à l’Assemblée Nationale serait un précédent dommageable pour l’économie de la filière optique et la santé publique. Fort de son leadership, KRYS GROUP appelle à une mobilisation de la profession contre cette discrimination.

KRYS GROUP est le leader de l’optique en France avec ses 3 enseignes - KRYS, VISION PLUS, LYNX OPTIQUE - et plus de 4 millions de clients par an. Pour les accueillir et les conseiller chaque jour, 6 000 spécialistes sont répartis sur 1 347 points de vente. KRYS GROUP est organisé en coopérative depuis 1966.

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Titre : RiskAssur : Deux interviews autours de la certification ISO 9001 de la MGEFI www.riskassur-hebdo.com du 23 JUILLET 2013 Ti...

La MGEFI dans la presse


Titre : RiskAssur : Deux interviews autours de la certification ISO 9001 de la MGEFI

www.riskassur-hebdo.com du 23 JUILLET 2013

Titre : « La démarche de certification est un formidable facteur de mobilisation de l’ensemble des collaborateurs » - Antoine Catinchi, MGEFI

du 25 JUILLET 2013

Titre : Miroir Social - Certification ISO 9001-2008 de la MGEFI : ils ont porté, ils témoignent

www.miroirsocial.com du 29 JUILLET 2013

Titre : Deux interviews autours de la certification ISO 9001 de la MGEFI

RISKASSUR du 23 JUILLET 2013

Titre : Deux interviews autours de la certification ISO 9001 de la MGEFI

RISKASSUR du 26 JUILLET 2013

Titre : La MGEFI et Apicil reçoivent la certification ISO 9001:2008

www.argusdelassurance.com du 30 juillet 2013




 
 
 

MINE D'INFOS: Le Sénat adopte les réseaux mutualistes

MINE D'INFOS: Le Sénat adopte les réseaux mutualistes: Communiqué : le Sénat adopte les réseaux mutualistes Mutualité Française Pour Etienne Caniard , Président de la Mutualité ...

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MINE D'INFOS: Kulmie Samantar est nommé Directeur Général Délégu...

MINE D'INFOS: Kulmie Samantar est nommé Directeur Général Délégu...:     Kulmie Samantar est nommé Directeur Général Délégué de VISAUDIO, la tête de réseau gestionnaire des enseignes Les Opticiens...

Kulmie Samantar est nommé Directeur Général Délégué des enseignes Les Opticiens Mutualistes et Audition Mutualiste


 
 


Kulmie Samantar est nommé Directeur Général Délégué de VISAUDIO, la tête de réseau gestionnaire des enseignes Les Opticiens Mutualistes et Audition Mutualiste. Il conserve sa fonction de Délégué général du syndicat national des centres d’optique mutualistes (SYNOM) et du syndicat des centres d’audition mutualiste (SYNAM).

 

Agé de 49 ans, Kulmie Samantar est titulaire d’un DEA de droit des contrats.

 

Il débute sa carrière à l’international en 1990 chez Telecom Italia, avant de devenir en 1995 consultant pour l’UNESCO sur le thème de la sécurité internationale. Il rejoint la Mutualité Française en 1997 en qualité de Conseiller auprès du président, puis comme Responsable du département international. En 2009, il devient Directeur adjoint de VISAUDIO, en charge notamment des relations conventionnelles avec les mutuelles.

 

Christian PY, Président-Directeur Général de VISAUDIO, a été reconduit en tant que membre du Bureau de la Mutualité Française et élu Secrétaire général adjoint de la Mutualité Française, lors de sa dernière Assemblée Générale.

 

 

A propos du groupe Visaudio

 

Présidée par Christian Py et créée en 2008, la société Visaudio regroupe les réseaux Les Opticiens Mutualistes et Audition Mutualiste.

 

Visaudio a pour mission de développer les stratégies de marketing, de communication, d’achats et de développement de ses deux enseignes. Cette synergie existe déjà sur le terrain puisque près de 75% des centres d’audioprothèse partagent un même espace ou sont mitoyens avec un centre optique.

 

L’enseigne Les Opticiens Mutualistes est la 4ème enseigne optique de France. Elle regroupe 730 points de vente. L’enseigne Audition Mutualiste compte plus de 350 centres et plus de 400 professionnels de l’audioprothèse.

 

L’éthique de Visaudio s’appuie sur le respect du client en lui garantissant la solution la mieux adaptée d’un point de vue technique, esthétique et économique, tout en veillant à son bien être.

Projet de loi cadre sur l'économie sociale et solidaire :

la FEGAPEI sera présente, lors du débat parlementaire, sur les questions de la place accordée aux associations et des moyens mis en œuvre.
 




Le projet de loi cadre sur l'économie sociale et solidaire (ESS), qui a été présenté au Conseil des ministres ce mercredi 24 juillet, vise à apporter une reconnaissance d'un secteur à part entière de l'économie française.

La FEGAPEI salue la démarche,
qui pour la première fois donne une définition du périmètre de l'ESS. Elle se réjouit également des possibilités de financement offertes pour le secteur par la Banque publique d'investissement, la création d'un fonds d'innovation sociale et la mise en place de différents outils de financement.

Néanmoins, la FEGAPEI restera mobilisée lors du débat parlementaire
- qui commencera au Sénat en octobre -  pour que des précisions concernant la place des associations, ainsi que les moyens accordés à l'élaboration et à la mise en œuvre de la politique publique relative à l'ESS soient apportées.
 


Pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse, cliquez ici.

Le Sénat adopte les réseaux mutualistes

Mutualité Française


Pour Etienne Caniard, Président de la Mutualité Française, il est nécessaire d'engager une analyse précise de certaines dispositions du texte afin de déterminer ...

Centres de santé : la position de la FNMF

Chiffres assurance vie - Collecte nette négative en juin 2013

Association Française de l'Assurance
Marché de l'assurance-vie (estimations)

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Collecte nette négative en juin 2013


Le montant des cotisations collectées par les sociétés d'assurances au cours des six premiers mois de 2013 est de 62,2 milliards d'euros (57,9 milliards sur les six premiers mois de 2012).

Les prestations versées par les sociétés d'assurances au cours des six premiers mois de 2013 s'élèvent à 54,5 milliards d’euros (64,2 milliards au cours des six premiers mois de 2012).


La collecte nette s'établit à 7,7 milliards d'euros depuis le début de l'année.

Pour le mois de juin, l’assurance-vie enregistre une collecte nette négative de 300 millions d'euros.


L’encours
des contrats d’assurance vie (provisions mathématiques + provisions pour participation aux bénéfices) s’élève à 1422,8 milliards d’euros soit une progression de 4% sur un an.

lundi 29 juillet 2013

MINE D'INFOS: A votre santé....

MINE D'INFOS: A votre santé....: Les centres de santé : situation économique et place dans l'offre de soins de demain. Un rapport de l'IGAS Dans un contex...

A votre santé....


Les centres de santé : situation économique et place dans l'offre de soins de demain. Un rapport de l'IGAS

Dans un contexte où sont recherchées des formes d'exercice regroupé et coordonné de la médecine ambulatoire, ainsi que des réponses aux inégalités territoriales et sociales d'accès aux soins, le rapport de l'Inspection générale des affaires sociales sur la situation économique des centres de santé, rendu public le 23 juillet, dresse un tableau complet des quelque 1 220 centres "qui forment un monde éclaté de par la variété de leurs activités.  

Un tiers offre des soins exclusivement dentaires, un tiers des soins infirmiers, tandis que les centres médicaux ou polyvalents offrent une large palette d'activités. Ils peuvent en outre être gérés aussi bien par des associations (un tiers), des mutuelles (un tiers), que d'autres structures (caisses de sécurité sociale, établissements de santé ou communes)". Ces centres de santé, "qui accueillent en général des populations plus précaires que la moyenne nationale des médecins libéraux", sont financièrement fragiles, estime l'IGAS, une fragilité due aux imperfections de leur gestion et de leur modèle économique, "structurellement boiteux". Même si la mission a constaté la "réelle utilité sanitaire et sociale des centres de santé", "leur efficacité médico-économique ne peut être prouvée".

L'IGAS invite logiquement les centres de santé à réaliser "d'importants efforts de gestion" et d'organisation interne. Elle propose un nouveau modèle économique, reconnaissant aux centres de santé une rémunération forfaitaire en plus du paiement à l'acte, sous réserve d'efforts de gestion. Cette rémunération forfaitaire spécifique serait à "trois étages" : un forfait de gestion regroupée qui se substituerait à l'option de coordination ; un forfait de coordination médicale interne et externe (versé par l'ARS) ; enfin des suppléments versés au titre des missions d'accompagnement social et de santé publique, cofinancés par les collectivités territoriales et l'ARS. L'IGAS propose par ailleurs de mettre en place un "pilotage stratégique" des centres de santé. Pour cela, elle demande le renouvellement de l'accord national signé en avril 2003 entre ces centres et l'Assurance maladie. Elle appelle enfin de ses vœux un développement de la contractualisation entre ces structures et les ARS.
> Le rapport de 138 pages - juillet 2013



La MGEFI, première mutuelle de la fonction publique à être certifiée ISO 9001 par l'AFNOR 

La MGEFI (280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées), engagée dans cette démarche depuis le 1er janvier 2012, est la première mutuelle de la fonction publique à recevoir la certification délivrée par l'AFNOR. 

Le périmètre de certification est limité à la relation à l'adhérent : l'activité de gestion des contrats de couverture complémentaire santé et prévoyance ; l'activité de traitement des prestations santé et prévoyance ; le suivi de la relation adhérent. Au cours de la réunion de clôture de l'audit de certification, l'auditeur a salué une implication générale du personnel "rarement rencontrée".
> Communiqué - Le certificat délivré le 17 juillet 2013



Mauvais cru 2012 pour les revenus des médecins libéraux selon les estimations de l'UNASA
 

Les médecins n'échappent par à la crise. Le chiffre d'affaires de la quasi-totalité des praticiens libéraux a reculé l'année dernière, selon les Données statistiques 2012 sur la profession libérale en France publiées par l'Union nationale des associations agréées (UNASA). 

Ces statistiques 2012 ont été établies sur la base des déclarations de résultats de 32 624 médecins libéraux adhérents dans 74 AGA. L'évolution des revenus 2012, par rapport à 2011 a été calculée à effectifs constants. Le site du Médecin Généraliste analyse discipline par discipline les résultats d'une année que "les médecins libéraux vont vite devoir oublier..."

Pour les généralistes, il s'agit "de la pire de ces sept dernières années" avec une baisse de 1,7 % de leurs revenus, il est vrai après une année 2011 boostée par la revalorisation du tarif de la consultation à 23 euros. relève le journal. Du côté des spécialistes, les plus touchés sont les radiologues, qui ont vu leurs bénéfices chuter de 5,8 %, à cause surtout de baisses de tarifs imposés par l'Assurance maladie et l'Etat, devant les gynécologues-obstétriciens (-3,3%), les pédiatres (-3,2%) ou encore les chirurgiens (-2,7%). Les pneumologues s'en sortent le mieux (+3 % après + 4,6 % en 2011), suivis des gastro-entérologues (+ 2,7 % après + 1,9 %), des anesthésistes (+2 % après +3,4 %). Tous les chiffres ne prennent pas en compte l'inflation, qui s'est élevée à 2 % l'année dernière, et qui plombe d'autant plus les revenus réels des généralistes comme des spécialistes. Les mauvais résultats de 2012 sont à mettre en lien avec une activité atone déjà relevée par la CNAMTS fin 2012 dans un contexte d'absence de revalorisation de la plupart des lettres clés. En comparaison, Le Médecin Généraliste relève les scores honnêtes des paramédicaux : + 2,1 % pour les kinésithérapeutes, + 1,9 % pour les infirmières. Quant aux bénéfices des chirurgiens-dentistes, ils sont en baisse de 0,5 %.


L'année 2013 pourrait toutefois se révéler meilleure. Certains praticiens ont commencé à toucher en avril la rémunération sur objectifs de santé publique (ROSP). Ils vont aussi bénéficié de revalorisations de tarifs au 1er juillet 2013, contreparties de l'avenant n° 8 à la convention médicale signé le 25 octobre dernier.
> L'article du Médecin généraliste (pour les inscrits)
> Données statistiques sur les revenus de la Profession libérale édition 2013.pdf (pdf, 8,4 Mo)



Santé bucco-dentaire des enfants : des inégalités dès le plus jeune âge

La santé bucco-dentaire des enfants s'est nettement améliorée ces vingt dernières années, toutes situations socio-professionnelles confondues. Le nombre moyen de dents cariées est passé de 4,2 en 1987 à 1,2 en 2006 chez les enfants de 12 ans. 

Et chez ces mêmes enfants, 56 % n'avaient aucune carie en 2006, contre seulement 12 % en 1987. Cependant, des inégalités sociales de recours aux soins et de santé demeurent, constate la DREES dans une étude publiée le 24 juillet 2013. 9 enfants de cadres âgés de 6 ans sur 10 n'ont jamais eu de caries contre 7 enfants d'ouvriers sur 10 en 2006. La Haute Autorité de santé préconise une visite annuelle chez le dentiste dès l'apparition des dents de lait. Or, le recours aux soins dentaires des enfants est inférieur à cette recommandation. Selon l'enquête Handicap-Santé de 2008, seuls 70 % des 5-15 ans avaient consulté un chirurgien-dentiste au cours des douze derniers mois. Ce pourcentage masque à la fois des inégalités sociales et territoriales, puisque ce sont 8 enfants de cadres sur 10 qui ont consulté un dentiste dans l'année contre 6 enfants d'ouvriers. Ces inégalités de recours se traduisent par un repérage plus tardif des caries. En maternelle, 4 % des enfants de cadres ont au moins une carie non soignée, contre 23 % des enfants d'ouvriers. Par ailleurs, les enfants scolarisés dans les DOM ont deux fois plus souvent des dents cariées non traitées qu'en Métropole.

Pour remédier à ces inégalités sociales de recours aux soins dès l'enfance, un programme de prévention a été mis en place par l'Assurance maladie en 2007 : M'T DENTS. Mais le recours au programme diffère selon le groupe social des parents. La gratuité des soins et l'absence d'avance de frais ne garantissent donc pas le recours aux soins dentaires. La méconnaissance de ce dispositif ajoutée à la crainte de la visite chez le dentiste peuvent expliquer les écarts de recours. Ces résultats soulignent la nécessité de cibler davantage certaines populations dans les campagnes de prévention.
> DREES Études et résultats n° 847 - 24 juillet 2013



  • + 19,9 %, c'est le taux d'évolution du CA (TTC) des médicaments génériques délivrés en officines de ville en cumul annuel mobile juin 2013/juin 2012. Source Xpr-SO®, le panel temps réel de CELTIPHARM (Tableau de bord du 26 juillet 2013)


Sources :

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