Nora ANSELL-SALLES

jeudi 3 octobre 2013

MINE D'INFOS: Silver économie : une nouvelle norme fixe des régl...

MINE D'INFOS: Silver économie : une nouvelle norme fixe des régl...:     Avec la mise sur orbite de la Silver économie*, la publication de la norme NF X50-520, d’application volontaire, tire vers le...

MINE D'INFOS: Présence de restaurants McDonald’s et obésité font...

MINE D'INFOS: Présence de restaurants McDonald’s et obésité font...:    La « mal bouffe » est souvent accusée d’être responsable de l’obésité, mais aucun travail scientifique n’avait jamais réussi à démont...

Présence de restaurants McDonald’s et obésité font bon ménage dans le monde


   La « mal bouffe » est souvent accusée d’être responsable de l’obésité, mais aucun travail scientifique n’avait jamais réussi à démontrer aucun lien entre les deux. C’est désormais chose faite avec l’étude réalisée par une équipe de médecins de l’hôpital Avicenne à Bobigny (93), que vient de publier le Journal of Internal Medicine dans son numéro d’aout 2013.

   Cette étude, qui porte sur 75% de la population mondiale et 95% des restaurants McDonald’s dans le monde, montre une corrélation très nette entre l’incidence de l’obésité et la densité des restaurants McDonald’s. D’après les auteurs, le taux d’obésité varie de moins de 5% pour une densité « faible » à plus de 10% pour une densité « moyenne » et dépasse les 20% quand la densité est « très forte » (voir graphique en PJ).

   Certes, ce travail n’établit pas de lien direct de cause-à-effet entre le surpoids et la chaîne américaine de restauration rapide, mais il met le doigt sur une forte association entre la présence de ce type de restaurants et l’obésité. Il montre à quel point leur implantation est parfaitement associée aux modifications des modes de vie et aux conséquences en terme de surpoids. 

 

Pr Frédéric Lapostolle

SAMU 93 - UF Recherche-Enseignement-Qualité

Université Paris 13, Sorbonne Paris Cité, EA 3509

Hôpital Avicenne, 125, rue de Stalingrad, 93009, Bobigny, France

Silver économie : une nouvelle norme fixe des régles du jeu en téléassistance pour améliorer la qualité des services pour les personnes fragilisées, vulnérables, âgées ou handicapées.


 
 
Avec la mise sur orbite de la Silver économie*, la publication de la norme NF X50-520, d’application volontaire, tire vers le haut tout un secteur en fixant des exigences pour garantir la qualité des prestations de téléassistance, dans le respect de la vie privée et des données personnelles de près de 560 000 personnes fragiles en France.
 
La publication de cette norme résulte d’un travail collaboratif des pouvoirs publics, d’associations d’usagers, fabricants de matériels et prestataires de services à la personne* signalant une volonté d’autoréguler et de structurer un marché en plein développement. Avec une population mondiale qui vieillit (900 millions de personnes âgées dans le monde), le champ économique ouvert par l’avancée en âge constitue un potentiel de croissance unique pour les entreprises françaises : 53 % de la demande française sera le fait des âgés en 2015 (Source CREDOC)[1].
 
La norme NF X50-520 « Qualité de service en téléassistance » définit la téléassistance comme « un service à la personne qui permet à toute personne fragilisée, vulnérable, âgée ou handicapée de pouvoir être mise en contact et en relation dans le cadre de son maintien à domicile avec des prestataires de téléassistance 24h/24, 7 jours sur 7, et de bénéficier d’un soutien et d’une assistance en situation de difficulté et/ou de besoin".
 
La norme précise les spécifications d’une prestation de service de téléassistance et décrit les étapes de la réalisation du service : accueil et information, traitement de la demande, installation du matériel et mise en service, réalisation de la prestation, gestion des appels, entretien / maintenance, suivi, facturation et encaissement et clôture de la prestation et les compétences associées à chacune. Elle délivre une terminologie ainsi que des recommandations sur la mesure et l’amélioration continue de la qualité du service. Des méthodes de mise en œuvre pour le traitement des réclamations, la gestion des conflits, l’évaluation de la qualité de service perçue par le client, l’analyse des dysfonctionnements et la mise en place d’actions correctives et préventives sont proposées dans le document.
La reconnaissance de la téléassistance comme un « service à la personne » a permis d’opérer une séparation claire entre les activités pouvant recourir à des techniques similaires mais destinées, d’une part à un public totalement différent et nécessitant, d’autre part des compétences professionnelles différentes. La norme précise également les exigences permettant d’identifier l’adéquation entre le matériel proposé et la situation du client, ainsi que celle permettant d’assurer la fiabilité des équipements dans le cadre de la réalisation d’une prestation de téléassistance à domicile.
Les activités exclues du domaine d’application de la norme : la télésurveillance, la visioassistance, la vidéosurveillance, les caractéristiques techniques des équipements, la téléassistance dans les établissements de soins et dans les établissements d’hébergement à caractère médico-social.
Pour commander la norme NF X50-520 - Qualité de service en téléassistance http://www.boutique.afnor.org/norme/nf-x50-520/qualite-de-service-en-teleassistance/article/809420/fa180323
* Liste des membres de la commission de normalisation QSTACN « Qualité de service en téléassistance », ayant élaboré ce projet de norme :
ADF (Assemblée des Départements de France) ; AFNOR Certification ; AFOC (Association Force Ouvrière Consommateur) ; Agence Régionale Santé Ile de France ; AIMV (Association de services à la personne) ; Alexia Sibony ; ANSP (Agence Nationale Services à la Personne) ; Arnoux Conseil ; ASIPAG (Association Solutions Innovantes Pour l'Autonomie et Gérontechnologies) ; ASSECO CFDT ; Association ALERTE ; Association Cogitey – coordination gérontologie ; Assystel, ASTIC Conseil, BCL Conseils, CASSIOPEA (Conseil Assistance Services Solidarité Information et Orientation sur les Personnes Agées ou handicapées) ; CNAV (Caisse nationale d’assurance vieillesse) ; Centre National de Référence Santé ; CNSA (Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie) ; Conseil Général de la Creuse/ Jeunesse et solidarités; Crédit Mutuel ARKEA ; Custos SAS ; Datacet ; DGCIS/STCAS (Direction Générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services) ; Doro ; Equinoxe Tele Assistance ; Europ Assistance France ; FNAAFP/CSF (Fédération Nationale des Associations de l'Aide Familiale Populaire) ; FNG (Fondation Nationale de Gérontologie) ; FREGIF (Fédération des Réseaux de santé Gérontologiques d'Ile-de-France) ; FESP (Fédération des Entreprises de Service aux Particuliers) ; Handeo ; Hôpital Charles Foix ; INC Hebdo ; Intervox Systèmes, IP Assistance, La poste – Dion Courrier ; Le défenseur des droits ; Mutualité Sociale Agricole/ Caisse Centrale ; On Medio/ Gerontechnologie.net ; Philoe Conseil ; Centre de recherche en Gestion de l’Ecole Polytechnique ; Présence Verte Association Nationale (à l’origine du projet de norme) ; Présence Verte SA ; Santé Service UNA Services ; Sciences Po/ IEP Paris ; Securitas France ; SeniorAlerte ; Serena ; Solem ; Synergie/ La maison de l’autonomie ; Telecom Design ; Ubiquiet ; UNCCAS (Union Nationale des Centres Communaux et Intercommunaux pour l’Action Sociale) ; Université Paris Dauphine ; NPDM ; VIVAT.
Qu'est-ce qu'une norme volontaire ?
Une norme volontaire est un document de référence publié par AFNOR, faite de manière itérative et collaborative avec le concours actif des professionnels fédérés de manière représentative (industriels, consommateurs, associations, syndicats, collectivités locales…). Elle fournit des principes et des exigences pour une activité ou ses résultats. 33 000 normes volontaires sont aujourd’hui en vigueur. Seules 1% sont rendues obligatoires par la réglementation. Revues systématiquement et a minima tous les cinq ans pour lutter contre toute obsolescence, les professionnels décident leur maintien, mise à jour ou annulation. Sur les 1942 nouveaux documents publiés en 2012, 1224 étaient des révisions. 1543 normes ont été retirées des collections.
A propos d’AFNOR
L'association AFNOR et ses filiales constituent un groupe international au service de l'intérêt général et du développement économique. Il conçoit et déploie des solutions fondées sur les normes, sources de progrès et de confiance. Les missions d'intérêt général sont assurées par l'association dans le cadre d'un décret qui lui confère l'animation et la coordination du système français de normalisation, la représentation des intérêts français dans les instances européennes et internationales de normalisation, l'élaboration et la diffusion des normes.
Ses filiales - formation, évaluation et certification, réseau international - quant à elles, exercent des activités de marché dans un environnement concurrentiel et en respectent strictement les règles. La direction générale du Groupe est assurée par Olivier Peyrat.
 
 
NDLR : MGEFI et AFNOR
 

MINE D'INFOS: Nomination à la FNMF

MINE D'INFOS: Nomination à la FNMF: NOMINATION François Rauch François Rauch est nommé Directeur de la communication et de l'information de la Mutualité Française. ...

mercredi 2 octobre 2013

Thierry Beaudet : la santé durable | Espace vidéo | Découvrez les vidéos du groupe Istya | Groupe Istya

Thierry Beaudet : la santé durable | Espace vidéo | Découvrez les vidéos du groupe Istya | Groupe Istya

Thierry Beaudet : la santé durable | Espace vidéo | Découvrez les vidéos du groupe Istya | Groupe Istya

Thierry Beaudet : la santé durable | Espace vidéo | Découvrez les vidéos du groupe Istya | Groupe Istya

Thierry Beaudet : la santé durable | Espace vidéo | Découvrez les vidéos du groupe Istya | Groupe Istya

Thierry Beaudet : la santé durable | Espace vidéo | Découvrez les vidéos du groupe Istya | Groupe Istya

Nomination à la FNMF

 
François Rauch

François Rauch est nommé Directeur de la communication et de l'information de la Mutualité Française. Il a pris ses fonctions le 1er octobre 2013.


Agé de 49 ans, François Rauch est ancien élève de l'école normale supérieure et diplômé de l'institut d'études politiques de Paris.

Responsable de la communication interne au sein de la Direction financière du groupe Renault en 1990, puis chargé de communication et de relations institutionnelles auprès du Président de Radio France Internationale en 1991. En 1996, il rejoint Crédit Agricole SA comme chargé de communication auprès du Président et du Directeur général pour prendre en 2005 les fonctions de Secrétaire général de Crédit Agricole Leasing & Factoring.



A propos de la Mutualité Française

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d'adhérents.

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

Les mutuelles disposent également d'un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d'innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d'accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d'optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d'information, d'aide à l'orientation et de soutien sur des questions de santé.

MINE D'INFOS: Portrait intimiste du Pdt de la MGEFI

MINE D'INFOS: Portrait intimiste du Pdt de la MGEFI: Portraits Pour découvrir des personnalités sous un autre angle. Capitaine militant en provenance de la Canebière Serge Brichet, ...

mardi 1 octobre 2013

MINE D'INFOS: Ouverture de la base de données publique des médic...

MINE D'INFOS: Ouverture de la base de données publique des médic...: Base de données publique des médicaments : Marisol Touraine pose la première pierre du service public d’informations en santé ...

MINE D'INFOS: HandiCaPZéro : nouveau, le foot accessible

MINE D'INFOS: HandiCaPZéro : nouveau, le foot accessible: la Ligue 1 accessible au public aveugle et malvoyant. La Ligue de Football Professionnel invite les passionnés aveugles et malv...

MINE D'INFOS: HandiCaPZéro : nouveau, le foot accessible

MINE D'INFOS: HandiCaPZéro : nouveau, le foot accessible: la Ligue 1 accessible au public aveugle et malvoyant. La Ligue de Football Professionnel invite les passionnés aveugles et malv...

MINE D'INFOS: 6ème édition de l’Observatoire du CISS sur les dro...

MINE D'INFOS: 6ème édition de l’Observatoire du CISS sur les dro...: Rapport annuel de notre ligne Santé Info Droits Avec plus de 7.500 sollicitations traitées par nos écoutants juristes en 2012 , le r...

6ème édition de l’Observatoire du CISS sur les droits des malades


Rapport annuel de notre ligne Santé Info Droits

Avec plus de 7.500 sollicitations traitées par nos écoutants juristes en 2012, le

rapport de notre ligne Santé Info Droits apporte une photographie fine et concrète des



difficultés rencontrées par les personnes confrontées à des problèmes de santé dans

toute leur diversité, mais aussi par rapport à leurs conséquences sur la vie sociale,

professionnelle et personnelle…

Mêlant analyses chiffrées et verbatim issus des sollicitations traitées, cet Observatoire

détaille les situations concrètes qui font que, souvent encore, il peut être difficile de

voir ses droits en tant que personne malade reconnus et mis en œuvre.
L’évolution des thématiques abordées en lien avec l’actualité des préoccupations des usagers
Les 5 principales thématiques, réunissant plus de 85% des sollicitations, restent inchangées :

1/ droits des usagers du système de santé (démographie médicale, secret professionnel, accès aux informations

médicales, discrimination et refus de soins, fin de vie, accidents médicaux…) ;

2/ accès et prise en charge des soins (carte vitale, frais de transports médicaux, CMU, forfait hospitalier, ALD…) ;

3/ revenus de remplacement (arrêt de travail et invalidité) ;

4/ accès à l’emprunt et à l’assurance ;

5/ travail.

Parmi celles-ci, les sous-thématiques qui ont connu les plus fortes augmentations depuis l’année précédente

témoignent des sujets de préoccupation des usagers et recoupent assez précisément ceux sur lesquels le CISS se

bat au quotidien pour les défendre et les représenter. C’est notamment le cas pour les deux principales

thématiques au sein desquelles les questions qui ont le plus augmenter portent sur :

- la démographie médicale,

- l’information sur le coût des soins,

- les dépassements d’honoraires,

- le recueil du consentement,

- le respect du secret professionnel,

- les médicaments génériques,

- la complémentaire santé,

- l’aide médicale d’Etat,

- la prise en charge des frais de transports sanitaires.
Santé Info Droits : l’information des usagers au cœur de l’action du CISS
Une analyse qui montre les interactions et le lien essentiel qui existent entre notre mission d’information des

usagers et notre action en matière de défense de leurs droits. Une analyse qui démontre que nos revendications

s’appuient indéniablement sur une conjonction d’indices perçus au plus proche du terrain grâce aux différents

relais dont on dispose et au premier rang desquels se trouve l’Observatoire sur les droits des malades que

constituent notre ligne Santé Info Droits (0 810 004 333, numéro Azur, également joignable au 01 53 62 40 30 / lundi, mercredi et

vendredi 14h-18 ou mardi, jeudi 14h-20h).

NB : Document téléchargeable au format pdf sur www.leciss.org, ou disponible en service de






presse en adressant une demande à communication@leciss.org
 
 
 
 
 

HandiCaPZéro : nouveau, le foot accessible

la Ligue 1 accessible au public aveugle et malvoyant.


La Ligue de Football Professionnel invite les passionnés aveugles


et malvoyants à suivre, en toute autonomie, la saison 2013/2014… Une première dans le Championnat de France !


En association avec HandiCaPZéro, la LFP propose un tout nouveau guide et un dispositif web entièrement adaptés.


En braille, audio et caractères agrandis, le guide comprend le calendrier complet des journées, une présentation des clubs et les effectifs de la nouvelle saison...


En ligne, retrouvez tout au long de la saison sur handicapzero.org, les résultats, les classements officiels, la composition des équipes une heure avant le coup d'envoi… Le tout en provenance directe du site de la LFP grâce à un web service dédié.



suivre la saison 2013 -2014


- le guide de la Ligue 1 (version braille, audio ou caractères agrandis) est gratuit et se commande sur handicapzero.org ou au 0800.39.39.51 (appel gratuit depuis un poste fixe).




- l'info web est disponible sur handicapzero.org rubrique sport - Ligue 1






la LFP en bref


La Ligue de Football Professionnel réglemente le football professionnel français. A ce titre la LFP organise et gère quatre compétitions : la Ligue 1 (380 matches), la Ligue 2 (380 matches), la Coupe de la Ligue (44 matches) et le Trophée des Champions (1 match). La LFP est le premier organisateur de spectacle vivant de France, avec plus de 800 matches par saison, plus de 10 millions de spectateurs (dont 7,3M pour la Ligue 1, 2,6M pour la Ligue 2 et 0,5M pour la Coupe de la Ligue). Lors de la saison 2012-2013, la Ligue 1 comptait 73 diffuseurs dans 216 territoires et 33 langues.





HandiCaPZéro en bref


HandiCaPZéro (créée en 1987) facilite l'autonomie quotidienne des personnes aveugles et malvoyantes.
En partenariat avec des entreprises et des collectivités, l'association propose gratuitement des dispositifs accessibles : éditions adaptées (braille, caractères agrandis, audio Daisy), web... dans les domaines de l’information, la santé, l’emploi, la vie pratique, le sport, les loisirs...
handicapzero.org.





Ouverture de la base de données publique des médicaments



Base de données publique des médicaments :



Marisol Touraine pose la première pierre

du service public d’informations en santé
Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, a ouvert ce jour la première base de données publique qui recense l’ensemble des informations disponibles sur les médicaments.

Hébergée sur medicaments.gouv.fr, cette base de données marque la première étape du projet du Gouvernement de mettre en place un service public d’information en santé.

En effet, comme l’a rappelé Marisol Touraine lors de la présentation des grands axes de la Stratégie nationale de santé, chaque Français doit pouvoir accéder aisément à une information fiable, qu’elle concerne des médicaments, des établissements ou des professionnels de santé.



Sous le pilotage de la direction générale de la santé, la base de données publique des médicaments regroupe des données issues de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), de la Haute autorité de santé (HAS) et de l’Assurance maladie (CNAMTS). Elle fournit des informations sur l’intégralité des spécialités pharmaceutiques commercialisées sur le marché français ou dont l'arrêt de commercialisation date de moins de deux ans.
Sont présentés pour chaque médicament les indications, les précautions d’emploi, les contre-indications, les autorisations de mise sur le marché, le statut au regard de la commercialisation, le prix, le taux de remboursement et des informations relatives à la sécurité d’emploi. Des icones indiquent si le médicament est délivré uniquement sur prescription, s’il est remboursé par la sécurité sociale et s’il appartient à un groupe générique. 2



Ces informations peuvent être facilement, grâce à la fonction d’autocomplétion, recherchées par le nom du médicament ou de son principe actif.

La base est accessible sur ordinateur, une version spécifique ayant été développée pour les mobiles et tablettes.
L’accès à la base se fait à l’adresse medicaments.gouv.fr qui offre un espace dédié exposant au grand public de manière pédagogique et transparente ce qu’est un médicament, comment il est commercialisé, avec quelles précautions il doit être utilisé, comment déclarer les effets indésirables éventuels…



Sur ce même espace, l’internaute pourra déclarer un effet indésirable, dans le but d’améliorer les signalements des professionnels et des patients eux-mêmes.

Pour la première fois, des informations simples et de référence sont publiées sur un endroit unique et répondent aux questions que se posent les citoyens sur le médicament.

La base de données publique des médicaments évoluera dans les prochains mois afin de répondre aux suggestions que ne manqueront pas de faire les citoyens et les professionnels de santé, en particulier la mise à disposition de recommandations.




Retrouvez la présentation animée de cette base sur http://www.sante.gouv.fr/clip-base-de-donnees-medicaments.html


 

Festival du Tatouage de Chaude-Aigues 2014


Les 13 et 14 septembre 2013, Stéphane Chaudesaigues était présent à la Convention de Tatouage de Pittsburgh (USA). Il avait accepté d’en être l’invité d’honneur à la demande de son ami Shane o’Neill, reconnu comme l’un des meilleurs tatoueurs réalistes au monde, couleurs et noirs et gris et organisateur de cette Steel City Tattoo Convention. Durant cette première convention de rentrée, Stéphane Chaudesaigues a officiellement annoncé l’organisation du 2e Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues, les 4, 5 et 6 juillet 2014.

Chaudes-Aigues. Plus besoin de présenter désormais ce petit village cantalien de 1.000 âmes. Quand on aborde le sujet, Stéphane Chaudesaigues -dont le nom éponyme laisse entendre qu’il doit y avoir une histoire emplie d’émotion entre les deux- s’enflamme : «Surtout connue pour ses thermes et ses sources, Chaudes-Aigues a vibré en 2013 le temps d’un week-end fabuleux, sous les dermographes de plus de 140 artistes tatoueurs venus de 26 pays. L’occasion rêvée de faire découvrir un métier, une passion, mais aussi une région d’exception, aux paysages magnifiques encore préservés». Mais pour ce grand nom du tatouage, c’est aussi «une aventure qui, à un moment de ma vie, m’a conduit à une forme d’aboutissement personnel et professionnel. Celui d’œuvrer moi-même, sur la terre de mes ancêtres, pour construire et bâtir à mon tour, avec mes outils, mes moyens et mon époque».

Réitérer cette rencontre, doublée du pari fou de faire venir encore plus de tatoueurs et de festivaliers nationaux et internationaux, est un enjeu qui fait à nouveau vibrer toute la famille Chaudesaigues ! «Nous avions délibérément communiqué en 2013 sur un symbole fort» commente Stéphane Chaudesaigues. «Un symbole si puissant que, bien souvent, on pourrait ne plus le remarquer : la famille. La ou les familles d’ailleurs. Car il y a celle que l’on a, celle que l’on crée et celle à laquelle on appartient sans s’en rendre compte, finalement. Je souhaitais faire découvrir -et espérais  faire se rencontrer- mes deux familles : ma communauté professionnelle et les habitants d’un petit village, niché à 750 mètres d’altitude dans l’étroite vallée du Remontalou, sur les terres du Caldaguès, à Chaudes-Aigues, dans le Cantal».
Si l’on peut parler de succès pour la première édition, c’est bien de celui-là : la rencontre réussie d’une communauté, celle du tatouage, et des Auvergnats.

Chaudes-Aigues et le Cantal In’k the Skin -le Cantal on l’a dans la peau-
Reconnue à l’international comme étant la plus familiale et la plus atypique convention de tatouage, la deuxième édition se devra de s’inscrire dans cette même filiation. Les plus grands noms ont déjà fait acte de candidature. Le public de festivaliers, amateurs ou avertis, va donc à nouveau affluer vers cette terre cantalienne assez peu coutumière de performances dermographiques ! La fête, Stéphane y tient : «Plus qu’un moment inoubliable, dans le Cantal, pour vivre et découvrir la planète tattoo, ce sera l’occasion de nous retrouver, d’échanger et de partager autour de notre passion. Se faire tatouer, certes. Mais aussi profiter, une nouvelle fois, en famille, avec nos enfants et tous nos amis. Découvrir ou redécouvrir un pays, une région, mais aussi des valeurs. Le Cantal In’k, c’est tout simplement faire la fête !».
La fête dans la convention. Mais aussi la fête autour ; sur les quais et dans les rues de ce paisible petit bourg.

Du 4 au 6 juillet 2014, Chaudes-Aigues, capitale mondiale du tatouage…mais pas que !
Chaudes-Aigues, future concurrente de Cannes et de Saint-Tropez ? Il n’y avait un pas… que Stéphane Chaudesaigues va s’employer à faire franchir à toute la commune ! Même si la Place du Gravier ne peut égaler la Croisette, ou si le Remontalou, avant d’aller se jeter dans le Truyère, ne réussit pas à se charger d’effluves marines, c’est quand même un Festival à part entière qui verra se mêler néophytes, amateurs, caldaguès* et fans du tatouage.

Parmi ces derniers se trouvent nombre de passionnés des années 50.  Alors, l’idée a jailli de la créativité jubilatoire de Stéphane, telle l’eau coulant de la Source du PAR : Cadillac, Ford Mustang, et autres Chevrolet aux chromes rutilants serviront d’écrin à un Concours de PIN’UP.


Le premier prix sera un voyage à Las Vegas. Le second prix, deux menus dégustation chez Serge Vieira, Bocuse d’or 2005 et 2 étoiles au Guide Michelin, dans son fabuleux Restaurant au château du Couffour.

 

Ces deux prix seront décernés par un jury particulièrement averti. Mais aussi par le public qui pourra voter pour la candidate dont la tenue, le maquillage, l’élégance l’auront le plus séduit. De nombreuses autres récompenses seront décernées également au plus bel équipage (voiture + chauffeur).


Voitures et concurrentes peuvent d’ores et déjà se préinscrire sur : contact@festival-tatouage.com


Le Cantal In’k the skin, à Chaudes-Aigues, dans le Cantal, en Auvergne, les  4, 5 et 6 juillet 2014 ; plus qu’une convention du tatouage, une véritable histoire d’amour.
*habitants de Chaudes-Aigues
Affiche du Festival 2014
- Photo Stéphane Chaudesaigues- Shane O’Neil
Communiqué de presse

Contrats responsables : position de la FNMF


En alourdissant le prix des complémentaires santé, cette taxation aggrave les difficultés d'accès aux soins, a fait valoir Etienne Caniard à l'adresse du ...




 

Mélange boisson énergisante-alcool, une hécatombe : des alternatives existent !


Le fameux vodka-Redbull est entré aujourd’hui dans les habitudes de consommation des jeunes adultes. 2/3 des 18-34 ans ont déjà l’habitude de mélanger boissons énergisantes / boissons alcoolisées et c’est devenu en quelques années la boisson la plus vendue en boite de nuit.

 

Mais quels sont les risques? La caféine présente en très (trop ?) forte quantité dans les boissons énergisantes masque les effets de l’alcool et accélère le rythme cardiaque, pouvant aller de la tachycardie à la crise cardiaque.

 

Des alternatives existent ! La société TRENDY DRINK, jeune entreprise parisienne fondée en 2011 par Pierre-Michel Couturier, a lancé, il y a maintenant un an, une nouvelle boisson alcoolisée GO ON, à base de vodka Française, guarana, ginseng, gingembre. Leurs cocktails aux extraits naturels de plantes sont garantis sans caféine, taurine,  colorant ni conservateur. Surfant sur les vertus de ces plantes utilisées depuis des millénaires de manière traditionnelle ou en vitamine, le fondateur de la marque explique : « Notre objectif avec cette boisson est d’apporter avec un cocktail prêt à servir, une alternative responsable aux mélanges boisson énergisante / boisson alcoolisée. Nous avons alors travaillé notre boisson autour de 3 axes :
- une formulation responsable sans caféine ou tout autre produit aux noms étranges et parfois inconnus qu’on trouve dans les boissons énergisantes.


- Une marque et un packaging branchés qui correspondent aux nouvelles habitudes de consommation et aux nouvelles tendances en aromatisation.


- Un degré d’alcoolémie à 12,9% similaire au champagne pour que  le consommateur, contrairement aux mélanges artisanaux, puisse contrôler sa consommation.
Pour appuyer notre démarche nous avons été accompagnés par le CERVIA (centre régional de valorisation et d’innovation agroalimentaire) et subventionnés dans le cadre de l’ARAQ (l’Aide Régionale à l’Alimentation de Qualité) »
.

 

Alors pour que la consommation d’alcool reste un plaisir, préférez le coup de foudre à la crise cardiaque !

 

En savoir plus sur GO ON et TRENDY DRINK: www.go-on.fr / www.trendydrink.com

 

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

Ouverture des inscriptions au cercle Droit et Mutualité du 17/10/2013


Le prochain cercle Droit et Mutualité se déroulera le 17 octobre prochain à partir de 14h00 à la Mutualité Française. Il aura pour thème : Les nouvelles règles Fit&Proper et la loi bancaire du 26 juillet 2013


L'accès à la conférence est libre sous réserve d'inscription sur Mutweb en cliquant ici.

L'EFS lance une nouvelle application Facebook


Afin d'encourager le don de sang entre amis, l'Etablissement français du sang lance sur facebook l'application « Je donne, nous donnons !»

 
 

Destinée aux 18-35 ans, elle permet de créer un évènement « don de sang » et de le partager avec ses proches. Aujourd'hui, près de 150 événements ont été créés !

 

Pour faire connaître ce dispositif, une campagne de promotion de l'application est lancée sur Facebook début octobre puis mi-novembre.

 

Faire un don de sang entre amis, prévoir une sortie culturelle, un resto ou un ciné après avoir donné, tel est le concept de l’application qu’a lancé l’EFS. Destinée aux 18-35 ans, elle permet de créer un évènement « don de sang » et de le partager avec ses proches. Simple et efficace, l’appli permet en quelques clics de mobiliser son entourage.

 

Déjà près de 150 événements ont été créés. L’EFS espère ainsi inciter les jeunes à aller donner leur sang. Une campagne de promotion de l’application sera lancée sur Facebook début octobre et mi-novembre afin de faire connaître le dispositif. Pour cela, l’EFS a réalisé quatre vidéos teasing, des micro-trottoir en milieu étudiant, témoignant dans la bonne humeur de l’expérience du don.

 

A découvrir dès maintenant sur la chaine You tube de l’EFS. http://www.youtube.com/user/ChaineEFS

 

Pour tenter l’expérience du don entre amis, n’hésitez plus : rendez-vous sur la page Facebook de l’Etablissement français du sang! www.facebook.com/EtablissementFrancaisduSang

 

A savoir :
1.7 million de donneurs et 3 millions de dons en 2012,
10 000 dons de sang nécessaires chaque jour,
1 million de malades soignés chaque année grâce aux dons
de sang,
Ne pas venir à jeun pour donner son sang,
Etre muni d’une pièce d’identité si c’est un premier don.
Pour connaître la collecte de sang la plus proche de chez vous : www.dondusang.net
 

Libres propos signés Jacques DRAUSSIN

Docteur Google et Mr Hyde


Là-bas, puisque l'Etat se révèle décidément aussi impuissant à réglementer la protection sociale que la possession des armes à feu, c'est comme d'habitude le business et la finance qui tirent les premiers.

Après Bill Gates, dont une bonne partie de l'immense fortune permet aujourd'hui de financer - et donc de contrôler - les programmes de l'OMS, c'est le président de Google qui s'y colle. Et il n'y va pas avec le dos de la cuillère à dollars.

A preuve, l'inimaginable interview de Larry Page publiée dans le numéro de Time Magazine de cette semaine, dont le titre de couverture annonce la couleur : « Can Google solve death ? » [Soit, à peu près « Google peut-il résoudre le problème de la mort ? »]. Mazette, rien que ça !

Le Dieu des moteurs de recherche, sans promettre de sauver le monde du vieillissement et des maladies dégénératives en 7 jours chrono entend bien donner à sa toute nouvelle société, la California Life Compagny, des objectifs à sa démesure. Réussir, grâce à ses capacités de collecte des données et de gestion du Big-data, là où la recherche médicale échoue encore par empirisme naïf et reléguer dans le Cloud de l'histoire les cancers ou la maladie d'Alzheimer…

Du côté de Mountain View, Larry Page ne se laisse pas davantage distraire par de médiocres considérations éthiques que décourager par l'échec de la précédente tentative de Google dans le secteur.

En 2008, Google Health prétendait offrir à chaque internaute un espace de stockage de ses données de santé mais l'initiative avait lamentablement capoté. Une pierre dans le jardin de notre ministre de la Santé qui vient d'affirmer sa volonté de ressusciter le Dossier Médical Personnel…

Là où Google a échoué, Marisol Touraine réussira-t-elle ?

Jacques DRAUSSIN


NDLR : MGEFI et Jacques DRAUSSIN

Jacques DRAUSSIN, Rédacteur en chef du magazine Bien Sûr Santé - anime chaque année la table ronde qui clôture l’assemblée IDF de la MGEFI.

 
Bien Sûr Santé Le magazine gratuit de la prévention  Tous les deux mois sur papier dans les salles d’attente des cabinets médicaux et tous les jours sur le Net.

Pour vous abonner à l’Infolettre et la recevoir chaque semaine gratuitement inscrivez-vous sur www.biensur-sante.com

Pour un véritable service public de l’information en santé !


Une première étape

 

Le gouvernement vient de présenter le premier volet de service public de l’information en santé annoncé dans la stratégie nationale de santé. Ce service devrait répondre aux attentes d’information sur le médicament. C’est donc une bonne nouvelle.

 

Des attentes encore très fortes

 

Cependant, nos concitoyens témoignent que leurs attentes dépassent largement la question très ponctuelle du médicament. Ainsi, les recommandations vaccinales, notamment le calendrier des vaccins, sont insuffisamment connus des familles et conduisent aujourd’hui à de faibles couvertures vaccinales préjudiciables à la santé publique.

Au-delà du médicament, les malades attendent aussi des informations sur la maladie et les modes de prise en charge. En outre, alors que les maladies chroniques explosent, les patients et leur entourage peinent à accéder à des informations fiables sur les parcours de santé, notamment dans leurs aspects médico-sociaux et sociaux (séjour en établissement, prise en charge des coûts d'hébergement et d'accompagnement par les familles, revenus de remplacement, actions d’accompagnement, aide aux aidants…).

Enfin, alors que nos concitoyens connaissent des difficultés économiques majeures, une véritable information en santé ne peut pas éluder la question des prix et de la qualité des biens et services objets de cette information.

 

Autant de défis pour un véritable service public de l’information en santé.

 

Une clarification attendue avant de poursuivre

 

Cela fait plus de dix années maintenant que tous nos responsables politiques admettent que les patients sont proprement victimes d’une asymétrie d’information dans leur usage du système de santé par rapport à ceux qui sont les fournisseurs de biens et services en santé. Pour autant, la stratégie nationale de santé qui vient d’être annoncée ne consacre que quelques lignes confuses au futur service public de l’information en santé, donnant même le sentiment qu’il se réduirait à un annuaire des services de santé mis à jour deux fois par an par les agences régionales de santé.

 

Il faut aller vers un portail global fournissant des réponses de référence adaptées aux attentes de nos concitoyens.

 

 

 

Le service public de l’information en santé doit être accessible par un portail unique, contenir des informations lisibles et compréhensibles par tous, être animé en lien avec les personnes concernées et leurs représentants et contenir une réponse globale couvrant les domaines de la prévention, du soin et de l’accompagnement médico-social.




 
ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR

APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer

France Parkinson - FSF - Générations Mouvement - La CSF - Le LIEN - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde

SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH