Nora ANSELL-SALLES

mardi 15 octobre 2013

C'est à lire : le 1er livre de seflcoaching de la collection « Neurosciences & vie au travail », par Patrick Collignon et Chantal Vander Vorst de l'INC,

 
Harcèlement, intolérances, missions impossibles... Comment s'en sortir ?

 

Gérer Le management toxique, c'est possible !

 

Avec le 1er livre de seflcoaching de la collection « Neurosciences & vie au travail », par Patrick Collignon et Chantal Vander Vorst de l'INC, aux Editions Eyrolles

 

 Harcèlement, humiliations, vexations... Tels sont les premiers mots qui viennent à l'esprit quand on parle de management toxique. Pourtant, il ne se limite pas au harcèlement. Un management devient toxique lorsqu'il place une personne dans l'incapacité de réaliser ses tâches et ses missions ou qu'il la soumet à une pression émotionnelle supplémentaire.

 

En prenant appui sur les récentes découvertes en psychologie et neurosciences dont celles de l'IME, cet ouvrage élargit ainsi le spectre du management toxique à d'autres processus moins spectaculaires que le harcèlement mais tout aussi nocifs et sources de stress. Le lecteur du livre Le management toxique, conçu comme un parcours de selfcoaching, pourra comprendre comment se mettent en place les comportements toxiques, diagnostiquer la cause des problèmes qu'il subit, établir une stratégie efficace et passer à l'action pour ne plus en être la cible, grâce aux outils développés par l'IME et présentés ici par l'INC.

 

Identifier le type de management toxique pour mieux le gérer

 

« Si j'avais eu à ma disposition cet ouvrage il y a 33 ans quand j'ai commencé à travailler, j'aurais gagné du temps et évité les états par lesquels je suis passé. Tantôt furieux et impuissant, tantôt sidéré et toujours impuissant, tantôt évitant et désespéré... »

Note au début de la préface
Pierre Hurstel, Fondateur de «
Matière à réflexion,
pour le réenchantement des entreprises
»


après avoir assumé diverses responsabilités RH et communication pendant 20 ans chez Ernst & Young.

Dans un contexte de compétitivité exacerbée, de crise économique, de quête de sens et d'épanouissement mise à mal par le stress au travail, « beaucoup de managers ne sont pas ou peu préparés à la gestion des équipes et des situations complexes », constate le Docteur Jacques Fradin, directeur de l'Institut de Médecine Environnementale (IME, Paris) et co-fondateur de l'INC. « Ils ne sont pas formés au relationnel ou à la psychologie et sont rarement accompagnés en ce sens par l'entreprise ». Le manager se retrouve alors dans une situation inconfortable : soit il réussit ce challenge grâce à ses qualités/capacités propres, soit il se révèle incapable de relever ce défi et cela ouvre la voie au management toxique.

 

Le risque de management toxique est d'autant plus important que « bien souvent, l'organisation même n'intègre pas la dimension humaine, à savoir les capacités relationnelles et motivationnelles, les besoins des collaborateurs en termes d'autonomie et d'accès à l'information », poursuit Chantal Vander Vorst, Managing Director de l'INC et co-auteur du livre.

 

Mais, quelles que soient ses causes, individuelles, relationnelles et/ou organisationnelles, le management toxique mérite d'être géré efficacement car il est nocif non seulement pour les salariés mais aussi pour les entreprises « qui n'ont pas encore toutes perçu le coût du stress et de la toxicité », reconnaît Pierre Hurstel, dans la préface qui souligne « la bonne nouvelle » apportée par cet ouvrage, « c'est qu'apparemment on peut se désintoxiquer ».

En effet, à l'aide de grilles de lecture et mises en situations, le lecteur peut trouver et administrer l'antidote adéquat :

·         Déculpabiliser et diagnostiquer la source organisationnelle, relationnelle ou individuelle du management toxique ;

·         Développer une stratégie d'action pour supprimer la cause ou réduire l'effet du management toxique ;

·         Agir avec recul, pragmatisme et professionnalisme pour faire évoluer sa situation.

·          

Deux types de management toxique peuvent être différenciés : celui lié principalement à la personnalité propre du manager et celui, plus pernicieux, qui ne dépend pas que de la personnalité et des compétences managériales du supérieur hiérarchique.

 

Détoxifier la relation avec son manager

 

Pour le premier type, Patrick Collignon, co-auteur et directeur de la nouvelle collection Eyrolles « Neurosciences & vie au travail », distingue 3 cas : le management façon « antipathie », le management façon « 4x4 » et le management façon « hyper ». « Ils ne sont pas exclusifs et peuvent s'aggraver mutuellement », avertit Jacques Fradin, « mais ils relèvent de personnes normales mises dans des situations qui révèlent ou accentuent leurs propres limites. »

 

·         Antipathie : « Mon manager et moi, on ne se comprend pas », « Je ne le supporte plus » ou « Mon boss ne m'aime pas, ça tombe bien, moi non plus ». Il s'agit ici de problèmes d'agacement, voire d'agressivité qui surviennent essentiellement parce que les parties en présence défendent des valeurs divergentes. Selon Chantal Vander Vorst, « nous avons tous, consciemment ou non, des intolérances basées sur des certitudes et sur des valeurs. » L'intolérant n'a pas l'impression d'être intolérant. « Ses remarques visent selon lui à rétablir un ordre juste et nécessaire », précise Patrick Collignon.

·         4x4 : « Mon manager ne s'arrête jamais. Personne n'arrive à suivre son rythme. Il nous épuise ! » Doté d'une forte personnalité, ce manager dispose d'une énergie hors normes qu'il met au service de certaines valeurs, comme la créativité, la combativité... Sa motivation à toute épreuve (inconditionnelle) est doublée d'intolérances à l'échec et au manque de reconnaissance. « Très exigeant à leur égard », remarque Patrick Collignon, « le manager 4x4 ne comprend ni tolère que ses collaborateurs puissent avoir un fonctionnement différent du sien ». « S'il est constamment disponible, même le week-end, dans son idée, ses collaborateurs doivent l'être également », ajoute encore Chantal Vander Vorst.

·         Hyper : « Pour mon manager, tout doit toujours être hyper précis » (ou hyper ambitieux, hyper réfléchi, hyper cool...), « Certains sujets tournent à l'obsession... ou au drame » ou encore « Avec lui, c'est Je t'aime puis je ne t'aime plus, puis Je t'aime... moi, non plus ». Comme son nom l'indique, avec le management façon « hyper », on rentre dans le domaine du « trop ». « Le manager se trouve dans un cycle infernal, alternant entre obsession et rejet avec amertume. Il est dans l'hyperinvestissement émotionnel », explique Jacques Fradin. « Soit il en fait trop lui-même et attend une reconnaissance qui ne le satisfait jamais, soit il attend trop de ses collaborateurs et s'en trouve toujours déçu. »

·          

Dans ces trois cas, le management devient toxique bien que le manager ne soit pas forcément conscient de ses propres problèmes, ni de leur impact. « Pour qu'il y ait choc, il faut 2 rocs, » constate métaphoriquement Jacques Fradin. « En général, ces problèmes peuvent se résoudre assez facilement par le dialogue et en sortant des clivages binaires bien/mal, juste/injuste. »

 

Gérer la toxicité exacerbée ou générée par les dysfonctionnements organisationnels

Le second type de management toxique - façon « despote » et façon « mission impossible » - apparaît plus complexe à gérer car il n'est pas la simple conséquence de problèmes comportementaux personnels ou interpersonnels. « Il relève également de problèmes culturels et structurels plus profonds au sein de l'entreprise concernée », indique Patrick Collignon.

 

·         Despote : « Il se croit supérieur, humilie les plus faibles », « C'est un tyran ». « Dans les cas les plus extrêmes, certains comportements sont pathologiques et relèvent de la psychiatrie, » affirme le Dr Fradin. Il s'agit ici de postures de dominance à l'égard des collaborateurs ou des collègues qui aboutissent à des comportements de manipulation, de déstabilisation ou de harcèlement. Le manager est conscient de ce qu'il fait et y prend du plaisir. « Il est évident que cette attitude s'épanouit particulièrement quand la structure de l'organisation le permet. Lutter contre suppose d'agir aussi à ce niveau structurel. »

·         Mission Impossible : Ce dernier cas est plus lié à l'organisation même de l'entreprise qu'au manager. Une organisation efficace est construite selon le principe de win/win ; l'intérêt de toutes les parties concernées est censé être convergent. Or, avec la perte de sens et la complexification des processus, certaines missions au sein de l'entreprise deviennent « impossibles ». Chantal Vander Vorst donne ainsi l'exemple « d'un directeur marketing qui se ferait taper sur les doigts parce que les ventes de produits ne décollent mais qui n'a pas de responsabilité directe sur les équipes de commerciaux ou d'un chef de chantier qui a la responsabilité de couler des fondations mais qui n'a pas le pouvoir décisionnel de refuser des matériaux qu'il juge de qualité insuffisante. »

·          

Dans ces deux cas, les stratégies individuelles et relationnelles (travail sur soi-même et sur sa manière de communiquer) ne suffisent pas à améliorer la situation : des solutions organisationnelles doivent être mises en place pour rendre vivable son cadre de travail. Deux types de sorties de crise sont envisageables : basses et hautes. Les sorties basses sont accessibles à tous, quel que soit le niveau hiérarchique et sont non-conflictuelles. Elles s'appuient sur les « bonnes pratiques et politesses professionnelles » et sur la traçabilité des échanges sobres et factuels. Pour Patrick Collignon, l'avantage est qu'elles permettent d'éviter le rapport de force direct avec un « despote » mais aussi et surtout de montrer à la hiérarchie les dysfonctionnements organisationnels cachés, sans avoir besoin de les nommer ainsi (inadéquation entre responsabilité et pouvoir décisionnel, manque d'information, de délégation ou de moyens d'action, positions structurelles d'abus de pouvoir, de juge et partie...). Quant aux sorties hautes, « elles s'intègrent dans une stratégie proactive d'empowerment, si possible impulsée par la Direction », poursuit Chantal Vander Vorst, « pour le collaborateur, il s'agira d'une part de prendre la mesure de son poste et de l'occuper pleinement, assumant le risque de conflit avec sa hiérarchie ou ses collègues et, d'autre part, à modifier sa posture dans l'organisation et à développer son assertivité pour ne plus donner prise au despote ».

Et Jacques Fradin de conclure : « le manager n'est souvent pas le problème mais une solution. Il y a plus d'organisations troublantes  et de managers troublés en tant qu'individus que de managers intrinsèquement toxiques. »

 

A propos de...

Patrick Collignon, Products Development Manager de l'INC (Institute of NeuroCognitivism) et directeur de collection chez Eyrolles, est depuis 1994 expert en vulgarisation, concepteur-rédacteur et chef de projets innovants (édition, multimédia, pédagogie, web). Spécialisé dans l'Approche Neurocognitive et Comportementale (A.N.C.), il est Products Development Manager à l'INC.

Chantal Vander Vorst, Managing Director de l'INC, a exercé des fonctions de Project et Process Manager en entreprise pendant 12 ans. Depuis 1997, elle se passionne pour l'A.N.C. Managing Director de l'INC, elle est également Executive Coach et Formatrice.

L'Institute of NeuroCognitivism (INC : www.neurocognitivism.com), partenaire privilégié de l'IME, vulgarise et diffuse les applications concrètes de l'A.N.C. développée par l'IME sous la direction du Dr Jacques Fradin. Institut de formation d'experts en comportements certifiés A.N.C., l'INC propose également à tous des formations de développement personnel (« Gérer sereinement les situations difficiles », « Epanouir et éduquer ») et des questionnaires en ligne (Stress, Personnalités, Performance socio-organisationnelle...).

Projet de loi sur l'adaptation de la société au vieillissement


Lien vers  le dossier de presse, suite à la réunion de ministres concernant le projet de loi sur l’adaptation de la société au vieillissement qui s’est tenue hier matin.

 

Lien url :

 

MINE D'INFOS: "Le PLFSS 2014, quelle vision, quels enjeux?"

MINE D'INFOS: "Le PLFSS 2014, quelle vision, quels enjeux?":   Le petit- déjeuner-Débat organisé par l’Association DESSEIN qui s'est tenu à l'Institut Curie, avec le député Gérard Bapt, rappo...

"Le PLFSS 2014, quelle vision, quels enjeux?"

 Le petit- déjeuner-Débat organisé par l’Association DESSEIN qui s'est tenu à l'Institut Curie, avec le député Gérard Bapt, rapporteur général pour les recettes et l’équilibre des recettes générales pour le PLFSS 2014 et le député Jean-Pierre Door, vice-président de la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale, modéré par Christine Roullière-le Lidec et Guillaume Guichard, le 10 octobre 2013 -lendemain de la présentation en conseil des ministres du PLFSS 2014- a initier des discussions à la fois vives et passionnantes.


 
Docteur Christine Roullière-le Lidec
 

Le débat a début après l'allocution d'ouverture du sénateur Claude Huriet, président de Curie avec comme principaux temps forts :

 

les échanges croisés entre le vice président du CA de la CNAMTS pour le MEDEF , et le secrétaire national aux questions de santé de la CFDT présents dans la salle et les députés, particulièrement apprécié.

 

Les discussions qui ont démarré à cette occasion, ont entrainé de nouvelles ouvertures de travail.

 

L'urgence de mettre en œuvre des réformes de fond pour que le système de santé puisse garder son niveau d'excellence et une soutenabilité financière a été soulignée au cours des différents échanges.

 

De même le lien entre le PLFSS et la loi de santé publique qui reste à développer.

 

L'importance de penser organisation des soins, parcours de soins et service rendu à la population avant de parler budget a été soulignée par la séquence entre la présentation de la stratégie nationale de santé et celle du PLFSS

 

Même si de nombreuses questions n'ont pu être posées, et que des points d'amélioration subsistent…Pour autant ce débat à montré que les questions sur le parcours de soins, son organisation, son financement en particulier sont au cœur du système.

 

Le prochain séminaire de DESSEIN « le Parcours de soin, so what ? » du 16 octobre 2013, arrive avec le bon timing.

AGENDA :

 

L’association DESSEIN (Dauphine EcoSanté Social Entente et Idées Nouvelles) avec l’Institut Curie et l’Université Paris Dauphine dans le cadre de Paris Sciences et Lettres, vous invite au Séminaire :

 

«Le parcours de soins: So What?»

Mercredi 16 octobre 2013

8h30 - 12h30

Salle Raymond Aron,

Université Paris-Dauphine, Place du Maréchal de Lattre de Tassigny – 75016 PARIS

 

Le parcours de soins existe dans les faits mais il est également devenu un concept de politiques publiques. A ce titre, il fait l’objet de nombreuses discussions sans que l’on puisse encore bien cerner ni son périmètre ni ses objectifs.

 

-       Quelle est son périmètre ? Sa réalité pour les acteurs du système de santé ? Sa finalité ? Des soins mieux organisés ? Un meilleur service médical rendu ? Des objectifs de santé publique identifiables et pratiques ? Une rationalité économique ? Un rapport cout-efficacité favorable ?

 

-       Quelle gouvernance induit-il ? Une gouvernance régionale ? Nationale ?

 

-       Quelle implication économique ? Peut-il être évalué ? Comment ?




Inscription : christine.roulliere@wanadoo.fr

 
 
 

lundi 14 octobre 2013

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Titre : À la une AUDIO INFOS de Septembre 2013   Titre : Publicité L'ARGUS DE L'ASSURANCE du 11 OCT 13 ...

La MGEFI dans la presse


Titre : À la une
AUDIO INFOS de Septembre 2013
 
Titre : Publicité
L'ARGUS DE L'ASSURANCE du 11 OCT 13
 

MINE D'INFOS: 10è Journée Européenne de la Dépression

MINE D'INFOS: 10è Journée Européenne de la Dépression:    

10è Journée Européenne de la Dépression

 
 
 

MINE D'INFOS: Libres propos : Quand les assureurs santé parlent ...

MINE D'INFOS: Libres propos : Quand les assureurs santé parlent ...: Les assureurs complémentaires ont un rôle important à jouer dans le domaine de la prévention. Mais quelle place occupent-elles vraiment ...

Libres propos : Quand les assureurs santé parlent de prévention


Les assureurs complémentaires ont un rôle important à jouer dans le domaine de la prévention. Mais quelle place occupent-elles vraiment dans ce domaine ? Quelles actions menèrent-elles ?

 

Un rôle important à jouer !

 

Les complémentaires rencontrent des difficultés dans la mise en place d’opération de prévention: les adhérents restent en moyenne sept ans au sein d’une structure hors les actions de prévention donnant des résultats portent sur des périodes longues.

 

Les organismes complémentaires soutiennent les actions mises en place par le régime obligatoire et développent quelques actions spécifiques, en particulier dans les structures professionnelles pour lesquelles les durées d’adhésion sont plus longues. Dans le cas particulier du BTP, il existe une structure dédiée, l’Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics (OPPBTP) qui mène actuellement une expérimentation en collaboration avec un laboratoire pharmaceutique sur l’AVC dans le Nord-Pas de Calais. Force est de reconnaître que le poids économique de la prévention, constitue un frein, d’autant que l’interdiction d’accès aux données de santé ne permet pas d’en mesurer l’efficacité.

 




Propos recueillis lors du café nile « Quel objectif pour les réseaux de santé des assureurs complémentaires : économie ou qualité ? »

MINE D'INFOS: J -22 « Santé, prévoyance, retraite : une protecti...

MINE D'INFOS: J -22 « Santé, prévoyance, retraite : une protecti...: En partenariat avec     MGEFI, SMI, APGIS, COVEA   Miroir Social Vous invite au colloque Santé, prévoyanc...

J -22 « Santé, prévoyance, retraite : une protection sociale à reconquérir Quelle place pour l’entreprise ? » 4 novembre 2013 Maison des associations de solidarité



En partenariat avec
 
 
MGEFI, SMI, APGIS, COVEA
 

Miroir Social

Vous invite au colloque
Santé, prévoyance, retraite : une protection sociale à reconquérir
Quel rôle pour l’entreprise ?

Lundi 4 novembre 2013
Maison des associations de solidarité
10/18 rue des terres au curé - 75013 Paris




 

Programme :


9h-9h15 Ouverture par Daniel Benamouzig, chercheur en sociologie au CNRS-Sciences Po et coordinateur du rapport de Terra Nova "Réinventons notre système de santé"

9h15-10h30 Réinventer les principes de la mutualisation de la protection sociale entre :
les âges;
les niveaux de salaire;
les catégories familiales;
les catégories professionnelles;
les tailles d’entreprise,...



Avec


Serge Brichet, président de la Mgefi
Bertrand Daros, directeur général de la mutuelle SMI
Corinne Prayez, directeur général de l'Apgis



Pause



10h45-12h15Quelle place à la négociation dans l'entreprise, dans les branches ?

Quelle est la place de la protection sociale dans la rémunération globale ? Est-ce sa place ?

Quel développement des formules individualisées au travers des sur-complémentaires et des retraites supplémentaires ? Sont-elles les futurs socles de la protection sociale de demain ?
En quoi les démarches de prévention des acteurs de la protection sociale peuvent-elles contribuer à la qualité de vie au travail ?



Avec


Bruno Serizay, avocat associé chez Capstan
Serge Lavagna, secrétaire national CFE-CGC
Brigitte Jumel, secrétaire générale de l'Union des Fédérations CFDT des fonctions publiques et assimilés
Philippe Pihet, secrétaire confédéral FO
Eric Aubin, secrétaire national de la CGT (sous réserve)
Patrick Poizat, secrétaire général adjoint confédéral CFTC
Denis Falcimagne, Entreprise & Personnel



12h15-12h30 Synthèse des partenaires

 


12h30 Cocktail déjeunatoire

 

Participation gratuite - Inscription obligatoire /Demande de renseignements : redaction@miroirsocial.com

 

Coup de projecteur sur la participation de la MGEFI au colloque



 

Comment réinventer les principes de la mutualisation de la protection sociale ?


 Une problématique depuis toujours au cœur même des préoccupations de la Mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie.
Serge Brichet, Pdt. de la MGEFI, apportera l’éclairage « spécifique » d’une mutuelle de la Fonction publique et présentera la stratégie mise en place au sein de sa propre organisation, lors du colloque « Santé, prévoyance, retraite : une protection sociale à reconquérir Quelle place pour l’entreprise ? » organisé par Miroir Social le 4 novembre prochain à la Maison des associations de solidarité.

Contact presse MGEFI:

Nora Ansell-Salles

nansellsalles@mgefi.fr / 06 70 74 15 42 


La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.
■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR
www.mgefi.fr