Nora ANSELL-SALLES

lundi 3 mars 2014

La fin de vie en France

Analyse des lieux de fin de vie et de décès

L'Ined publie ce jour dans Population* un article qui analyse les parcours de fin de vie au cours du dernier mois de l'existence. Ces résultats permettent de mettre en évidence les éventuelles limites du maintien à domicile et de mieux comprendre les ressorts de l'hospitalisation au stade de la fin de vie. Ils ont été recueillis et analysés à partir de l'enquête « La fin de vie en France »** réalisée en 2010.

Aujourd'hui en France, la mort survient à des âges de plus en plus élevés et souvent précédée de maladies chroniques. Ces décès arrivent de plus en plus dans les institutions, hôpital ou maison de retraite.

Des lieux de fin de vie qui changent au cours du dernier mois de l'existence
Quatre semaines avant le décès, vivre à domicile est la situation la plus fréquente. Mais à l'approche du décès, le maintien à domicile ou en maison de retraite se raréfie au profit de l'hospitalisation. En un mois, la proportion de personnes hospitalisées fait plus que doubler : près de 7 hommes sur 10 et de 6 femmes sur 10 décèdent à l'hôpital. A l'inverse, seule une faible proportion d'hommes (20 %) et de femmes (16,3 %) meurent chez eux et 23,4 % des femmes et 10,5 % des hommes meurent en maison de retraite. Le départ de l'hôpital pour regagner le domicile ou la maison de retraite est exceptionnel. Moins de 4 % des personnes font ce trajet (2, 3 % vers leur domicile et 1,3 % vers la maison de retraite) et très rarement durant la dernière semaine de vie (0,6 %).

Des parcours différents selon la pathologie et le type de prise en charge
Le type de maladies et la finalité des traitements conditionnent les lieux de la fin des patients, toutes les situations cliniques ne permettant pas le maintien à domicile des personnes en fin de vie. Contrairement aux personnes atteintes de cancer qui passent plus souvent le dernier mois de leur existence à l'hôpital celles qui décèdent de maladies infectieuses, cardio-vasculaires, de l'appareil respiratoire ou de l'appareil digestif entrent plus souvent à l'hôpital la dernière semaine de leur vie. De même, il y a plus souvent transfert vers l'hôpital lorsque la finalité du traitement est la guérison et plus souvent un maintien dans lieu de vie si le traitement vise au confort du patient.

Les femmes et les plus âgés toujours plus souvent en maison de retraite
Les femmes sont en effet plus souvent prises en charge en maison de retraite en raison de leur veuvage qui est plus fréquent. Elles sont plus âgées et ont le plus fort risque de passer le dernier mois de leur vie en maison de retraite et à cette étape de la vie, elles peuvent changer de lieu de séjour essentiellement pour entrer à l'hôpital.

Pour lire l'intégralité de l'article :
Le dernier mois de l'existence : les lieux de fin de vie et de décès en France, Population n°4, 2013
Sophie Pennec (Ined), Joëlle Gaymu (Ined), Alain Monnier(Ined), Françoise Riou (CHU de Renne s, Université de Rennes 1), Régis Aubry (Observatoire national de la fin de vie, CHU Besançon), Silvia Pontone (Hôpital Robert Debré- APHP, Ined), Chantal Cases (Ined)


**Rappel des principaux résultats de l'enquête « La fin de vie en France »

Réalisée en 2010 par l'Ined, l'enquête « La fin de vie en France » a permis pour la première fois en France de mieux connaître les circonstances de la fin de vie.

Selon l'enquête :
- pour près d'un décès sur deux (48 %), le médecin déclare avoir pris une décision médicale en ayant conscience qu'elle était susceptible d'abréger la vie du patient ;
- dans leur grande majorité, les décisions prises s'appuient sur les dispositions de la loi Leonetti qui permet sous certaines conditions de limiter ou d'arrêter un traitement ou de donner des médicaments pour soulager des souffrances ;
- la plupart du temps, les décisions ont été prises sans intention d'accélérer la survenue de la mort (45 % sur 48 % des décisions) ;
- dans 27 % des cas, la décision a été d'intensifié le traitement de la douleur ;
-dans 0.8 % des cas, il y a eu administration d'un médicament pour mettre délibérément fin à la vie du patient. Dans plus de la moitié de ces cas, il s'agit d'une sédation pour détresse terminale ;
- les décisions de fin de vie ne sont pas toujours discutées avec les équipes soignantes (elles sont discutées dans 63 % des cas), avec un autre médecin (44 %) et la famille est associée sur un décès sur deux ;
- 16 % des personnes décédées ont exprimé le souhait d'accélérer leur mort mais les demandes explicites d'euthanasie restent rares.

L'enquête a consisté à interroger pour chaque décès le médecin ayant rempli le certificat de décès et porte au total sur 4 891 décès.

Pour en savoir plus :
Les décisions médicales en fin de vie en France, Population et Sociétés n° 494, novembre 2012

(Ined), Alain Monnier (Ined), Silvia Pontone (Hôpital Robert Debré-APHP, Ined), Régis Aubry (Observatoire national de la fin de vie, CHU Besançon)
 

* Population est une revue scientifique trimestrielle publiée par l'Ined en français et en anglais. Soumise à un comité de rédaction composé de personnalités scientifiques, elle accueille des travaux originaux de chercheurs en démographie et dans des disciplines associées : sociologie, économie, anthropologie, histoire, géographie, épidémiologie et santé publique, méthodologie en sciences sociales. 

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Journée Internationale de l'Audition de l'OMS : Priorité à la prévention


Le Syndicat National des Audioprothésistes - UNSAF se fait l'écho de la Journée Internationale de l'Audition, qui attire cette année l'attention sur la nécessaire mise en place de programmes de prévention liée à la perte auditive, dans de nombreux pays.

En effet, 80 millions de personnes sont atteintes de déficience auditive dans l'Union Européenne et 30% des cas restent non détecté
 


 
 
 NDLR : MGEFI et AUDITION

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  • Qualification en médecine générale : le Collège fait des recommandations

    Un travail et un combat collectifs de plusieurs dizaines d'années ont permis de faire reconnaître la médecine générale en France comme dans tous les pays, selon la définition européenne de l'Organisation mondiale des médecins généralistes (Wonca 2002) :
    • Comme une discipline scientifique et universitaire, avec sa filière de formation le D.E.S, (diplôme d'études spécialisées) depuis 2004, et ses enseignants chercheurs (loi de février 2008),
    • Comme une spécialité, appuyée sur le référentiel métier et compétences officiel (Mission Matillon), ses modalités d'exercice, reconnaissance qui a enclenché le processus de qualification par l'Ordre des médecins, au sein de commissions de qualification (depuis 2007).

    La médecine générale est une spécialité particulière par son mode d'exercice en soins primaires, par sa place de premier recours et par son rôle dans l'accompagnement des patients dans la continuité. Elle ne saurait être découpée en sous-spécialités, que ce soit par mode d'exercice ou par orientation.
    Dans ce contexte, le Collège de la Médecine Générale réaffirme qu'il faut différencier « diplôme universitaire » et « qualification ordinale» :
    - la validation du D.E.S (diplôme d'études spécialisées) de médecine générale confère à tous les jeunes diplômés le titre de spécialiste dans la discipline.
    - la soutenance de la thèse confère le titre de Docteur en médecine.
    - la qualification ordinale est accordée de droit à tous les spécialistes diplômés qui débutent leur exercice professionnel. Pour les médecins généralistes en exercice, non titulaires du D.E.S, la reconnaissance des acquis de l'expérience professionnelle permet d'obtenir le même titre, sur décision de commissions de qualification de l'Ordre des médecins en fonction de critères nationaux.

    Cependant, des disparités importantes et inacceptables ont été observées suite aux décisions des commissions départementales, par non respect des critères nationaux, au risque de laisser des professionnels qui exercent la médecine générale au bord du chemin. Ces critères nationaux doivent être affirmés par le CNOM, et respectés par l'ensemble des commissions départementales.

    La qualification ordinale procède uniquement de la spécialité universitaire ou de la reconnaissance de l'expérience et des acquis. La justification de l'expérience et le respect des critères sont une nécessité au regard de la transparence du rôle de chacun dans le système de santé, au service notamment de l'information des patients.

    Le titre requiert au plan professionnel une prise en charge de tous les motifs de recours sans sélection des patients, une approche globale, un suivi des problématiques de santé les plus prévalentes, en particulier les patients atteints de maladies chroniques, dans le respect des données actualisées de la science.

    Cet ensemble est illustré par la fonction de « médecin généraliste traitant ». Dans ce cadre, des techniques de soins particulières peuvent être intégrées à l'activité de médecine générale, au contraire d'activités à orientations exclusives et sélectives. Pour illustrer le propos, un spécialiste en médecine générale doit assurer prise en charge globale, coordination et continuité des soins conformément aux données de la science, en ayant la possibilité de recourir à ces techniques de soins.

    Des processus de mise à niveau existent pour les médecins souhaitant changer d'activité et exercer la médecine générale, tenant compte des acquis de l'expérience et du curriculum vitae.

    Le Collège conseille aux médecins qui n'exercent pas la médecine générale et qui n'ont pas de spécialités reconnues de se rapprocher de leurs organisations professionnelles pour faire reconnaitre leurs droits légitimes. C'est le cas des nombreux médecins hospitaliers improprement qualifiés « PH de médecine générale ». Ce sont des médecins omnipraticiens qui relèvent souvent de spécialités comme la médecine interne, par exemple.

    Le Collège de la Médecine Générale s'inscrit dans le travail effectué depuis plus de 30 ans pour clarifier aux yeux de la société et des patients la situation des médecins généralistes. C'est une nécessité au bénéfice d'une organisation lisible et structurée du système de santé et de la qualité et de la sécurité des soins prodigués à la population. C'est une nécessité pour respecter l'investissement des jeunes professionnels issus de l'université médicale, dans la médecine générale, spécialité identifiée et reconnue.

     www.lecmg.fr

    AVIS SUR LES SALLES D’INJECTION CONTROLEE DE DROGUES

    ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE
    SANTÉ PUBLIQUE - MÉDICAMENT - PRODUITS DE SANTÉ - BIOLOGIE - SANTÉ ET ENVIRONNEMENT








    Fondée le 3 août 1803 sous le nom de Société de Pharmacie de Paris


    Reconnue d’utilité publique le 5 octobre 1877



    AVIS SUR LES SALLES D’INJECTION CONTROLEE

    DE DROGUES


    adopté par le Conseil du 12 février 2014 et en séance du 19 février 2014

    L’Académie nationale de Pharmacie, ayant pris connaissance du projet ministériel d’expérimentation


    de salles de consommation contrôlée de drogues, a demandé à sa Commission des Substances
    vénéneuses et des Dopants d’analyser ce projet et de donner son avis qui a été adopté par le Conseil du
    12 février 2014 et qui est présenté en séance plénière de l’Académie le 19 février 2014.








    considérant :




    l’absence de garantie de qualité, d’identité et d’asepsie des produits injectés (« drogues de rue »),
    l’objectif qui est de venir en aide à ces patients et non d’entretenir leurs addictions,
    la non garantie d’éviter les contaminations par le VIH ou le VHC, la majorité des patients étant le





    plus souvent déjà contaminés,



    l’effet limité sur leur réinsertion dans le circuit sanitaire,
    l’absence de données concernant la responsabilité des médecins et des pouvoirs publics en cas de





    complication médicale ou d’actes délictueux commis sous l’emprise de la drogue injectée


    (accidents de la route, par exemple),


    l’absence de rigueur méthodologique et de critères d’évaluation de l’expérimentation envisagée,
    les rares études plutôt favorables à ce genre d’expérimentation concernant l’usage d’héroïne





    médicinale et non celui de « drogues de la rue » comme dans le cas présent,



    l’exemple de certains pays comme la Suède qui ont supprimé les salles d’injection en raison de





    leurs résultats peu convaincants,



    le nombre de centres de soins pour toxicomanes existant en France, avec 170 000 patients sous





    traitement substitutif,



    l’absence de concertation avec le monde médical et pharmaceutique à la recherche d’un





    consensus,



    l’Académie nationale de Pharmacie émet un avis défavorable à l’expérimentation de salles
    d’injection contrôlée de « drogues de rue » telle qu’elle est actuellement définie dans le projet, et
    demande, pour une plus grande sécurité des patients, un renforcement des moyens alloués aux





    centres de soins pour toxicomanes et aux unités d’addictologie.

    … /…


    Avis AnP Salles d’injection adopté Conseil 12.02.2014 et séance du 19 février 2014 2 / 2





    Bibliographie



    Heroin or conventional opioid maintenance ? The patients’ perspective. J Addict Med, 2013, 7,





    401-4.



    Effectiveness of methadone maintenance treatment in prevention of Hepatitis C Virus
    transmission among injecting drug users. Hepat Mon, 2013, 13, e12411.
    New heroin-assisted treatment. Recent evidence and current practices of supervised injectable





    heroin treatment in Europe and beyond. EMCDDA Insights, European Monitoring Centre for

    Drugs and Drug Addiction, 2012, 170 pp.


    Supervised injectable heroin treatment is expensive but cost effective, report says. BMJ, 2012,
    344, e2942.
    Héroïne Teneurs et adultérants. Évolutions récentes. Observatoire Français des Drogues et des





    Toxicomanies, Dispositif SINTES, 2011.



    Supervised injectable heroin or injectable methadone versus optimised oral methadone as





    treatment for chronic heroin addicts in England after persistent failure in orthodox treatment



    (RIOTT) : a randomised trial. Lancet, 2010, 375, 1885-95.
    Les traitements de substitution aux opiacés : bilan des politiques publiques. Ann Pharm Fr, 2009,
    67, 299-303.
    From illegal poison to legal medicine : a qualitative research in a heroin-prescription trial in
    Spain. Drug Alcohol Rev, 2009, 28, 186-95.





     

    Lettre  de l'Academie nationale de pharmacie

    http://fr.calameo.com/read/003152624490193b81635

    ACOUPHENES ET HYPERACOUSIE

    Focus sur des troubles de

    l’audition qui pourraient bien s’avérer

    les maux de notre siècle

     

     

    Parmi les troubles de l’audition, les acouphènes


    (bourdonnements et sifflements dans la tête et dans les oreilles)

    et l’hyperacousie (hypersensibilité aux bruits normalement

    supportés) sont des symptômes ORL de plus en plus fréquents

    au sein de la population française. Entre 2 et 2,5 millions de

    Français de tous les âges sont officiellement déclarés

    acouphéniques (source : association France Acouphènes).

    Mais on estime que 6 à 8 millions de personnes en souffriraient

    parmi la population française.

    L’origine de ces troubles de l’audition est multiple :

    Traumatisme Sensoriel Auditif (lié aux pratiques d’écoute

    de musique amplifiée ou au bruit au travail) ; usure des

    mécanismes de l’oreille avec l’âge ; choc émotionnel ;

    prise de médicaments ototoxiques…
    Vivre avec ces gênes ou troubles en permanence est

    insupportable et provoque fatigabilité, dégradation

    de la vie intellectuelle, physique, psychique et sociale.

     

    17 e Journée Nationale de l’Audition
     
    Avec la participation de :
    Mme Roselyne Nicolas - France Acouphènes
    Dr. Pascal Foeillet - ORL
    Dr. Paul Zylberberg - Médecin du travail
    Dr. Martine Ohresser - ORL
    membres du Comité Scientifique de la JNA

    Au cours de cette Conférence,en avant-première :

    les résultats de l’Enquête Nationale JNA - IPSOS - Crédit Agricole :

    ‘‘Acouphènes et Hyperacousie : Quelles solutions ? ’’
    






    Le Syndicat National des Audioprothésistes - UNSAF se fait l'écho de la Journée Internationale de l'Audition, qui attire cette année l'attention sur la nécessaire mise en place de programmes de prévention liée à la perte auditive, dans de nombreux pays.

    En effet, 80 millions de personnes sont atteintes de déficience auditive dans l'Union Européenne et 30% des cas restent non détectés.


    NDLR : MGEFI et AUDITION

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    13 mars 2014: journée nationale de l'audition

    DP-2014
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    10e Podium de la relation client Bearing Point et TNS Sofres. L'Assurance retraite reçoit le 1er prix dans la catégorie Services publics


    17/02/14 - Pour la sixième année consécutive, l'Assurance retraite reçoit le 1er prix Podium de la relation client dans le secteur Services publics de la part de Bearing Point et TNS Sofres. Ce trophée remis le 10 février 2014 récompense son offre de services en ligne ainsi que la qualité de l'accueil et des conseils retraite que la branche propose à ses assurés.


    Le classement s'établit sur l'évaluation exprimée par les clients et usagers, meilleurs juges de la performance des organisations en matière de Relation Client. Pour chaque organisation, les personnes interrogées sont amenées à se prononcer sur 14 dimensions structurantes de la Relation Client réparties en 3 catégories (exécution, lien et émotion).


     

    La vidéo de la semaine

     

    L'Ecole nationale supérieure de Sécurité sociale (EN3S), en partenariat avec le Commissariat général à la stratégie et à la prospective, a organisé, vendredi 14 février, la cérémonie de remise du Prix EN3S 2013.


    Retrouvez la vidéo de la cérémonie et les photos
    sur le site du Commissariat général à la stratégie et à la prospective

     

    Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 590 du 16 février 2014

     

    ·         - Orientations de négociation de la COG 2014-2017 CNAMTS - Le communiqué de presse du Conseil, le préambule et les propositions d'orientations

    ·          

    ·         - Orientations de négociation de la COG 2014-2017 CNAMTS - Le support de présentation pour l'INC du 3 mars 2014 - site Ucanss

    ·          

    - La lettre de la Michodière 6-2014 du 14 février 2014 - SNFOCOS

     


    ·          


    ·          


     

     Source: Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale