Nora ANSELL-SALLES

lundi 26 janvier 2015

Hépatite C : Les associations saluent la décision de l’office Indien des brevets


(Paris, le 21 janvier 2015) En plein débat sur le coût des nouveaux traitements contre l’Hépatite, l’office indien des brevets a rejeté mardi 13 janvier une des demandes de brevet formulées par . Les associations se félicitent de cette décision, qui contribue à une amélioration de l’accès aux traitements pour de nombreux patients.
Un recours en opposition avait été déposé conjointement par l’association de patients Delhi Network of Positive People (DNP+) et le collectif de juristes Initiative for Medicines, Access & Knowledge (I-MAK). Une opposition au brevet est une procédure ouverte à toute personne intéressée – industriels concurrents ou société civile - pour contester la validité d’un brevet.
« Cette décision est encourageante car elle constitue un pas vers la disponibilité du traitement en version générique et donc vers l’accès universel » explique le Docteur Jean-François Corty, Directeur des Opérations France de Médecins du Monde, « mais il nous faut encore attendre car un deuxième brevet demandé par Gilead est toujours en cours d’examen ».
L’actuel médicament de Gilead vendu à prix exorbitant - 1 000 dollars la pilule aux US, 84 000$ les 3 mois de traitement – est inaccessible pour l’immense majorité des patients atteints d’hépatite C. De fait, les organisations médicales internationales sont dans l’incapacité de soigner correctement leurs patients malades de l’hépatite C alors qu’un traitement efficace existe.
Le problème d’accès se pose non seulement dans les pays « à ressources limitées » mais aussi dans les pays occidentaux qui ne disposent pas des ressources suffisantes pour absorber de tels prix. En France, le prix est de 41 000 euros et le médicament est rationné. En Angleterre, le traitement est vendu 44 000£ et l’assurance maladie a repoussé d’avril à juillet la dispensation du traitement. En Espagne, le traitement est également rationné : seule 5 000 personnes -1 personne sur 5 en besoin urgent de traitement- pourra y avoir accès en 2015.
Pourtant, le sofosbuvir ne coûterait que quelques centaines de dollars si des versions génériques existaient[1].
Nos associations rappellent la nécessité de favoriser l’accès universel aux traitements contre l’hépatite C en Europe et dans le reste du monde. La décision de l’office Indien des brevets doit également encourager l’ouverture d’un débat public en France sur les prix des médicaments et leur impact sur les systèmes de santé.
Associations signataires : Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Aides, Comede
Contacts presse
Médecins du Monde
Aurélie Defretin 01 44 92 13 81/
infomdm@medecinsdumonde.net //www.medecinsdumonde.org
Médecins Sans Frontières :
Pierre Borelle : 01 40 21 27 25 /
Charlotte Nouette-Delorme 01 40 21 28 23
samuel.hanryon@paris.msf.org
Aides :
Antoine Henry : +33 (0)1.41.83.46.53 /
Comede


[1] Andrew Hill and all, Minimum Costs for Producing Hepatitis C Direct-Acting Antivirals for Use in Large-Scale
Treatment Access Programs in Developing Countries, Clinical Infectious Diseases, February 13, 2014.

cancer l thérapies ciblées l rechercher anomalies moleculaires dans ADN circulant pour remplacer biopsies



20  janvier  2015
THERAPIES CIBLEES EN CANCEROLOGIE
ADN tumoral circulant versus biopsies : avantage à l’ADN circulant pour la recherche d’anomalies moléculaires
A ce jour, la recherche des anomalies moléculaires éligibles pour une thérapie ciblée s’effectue à partir de l’analyse d’un prélèvement de la tumeur. Les médecins de l’Institut Curie viennent de démontrer la fiabilité d’une technique peu invasive et moins douloureuse pour les patients : l’analyse de l’ADN tumoral circulant à partir d’une simple prise de sang.
Fer de lance de la médecine de précision, les thérapies ciblées ne peuvent être proposées qu’aux patients porteurs de l’anomalie moléculaire qu’elles visent.
« Leur prescription nécessite donc de rechercher dans les cellules tumorales si l’anomalie est bien présente » explique le Dr Christophe Le Tourneau, responsable du pôle Médecine de précision à l’Institut Curie. « Aujourd’hui cette recherche s’effectue principalement à partir des prélèvements de la tumeur. » Or la biopsie est un acte invasif pour le patient, parfois douloureux et pouvant nécessiter une hospitalisation.

« Une alternative serait de rechercher les anomalies moléculaires éligibles pour une thérapie ciblée dans l’ADN tumoral circulant obtenu à partir d’un simple prélèvement sanguin » se réjouit le Pr Jean-Yves Pierga, chef du département d’Oncologie médicale à l’Institut Curie et spécialiste des biomarqueurs circulants. Il existe en effet un phénomène naturel de dégradation des cellules normales ou tumorales dans l’organisme et ce, afin d’assurer le renouvellement des tissus. Les cellules tumorales sont dégradées et des brins d’ADN tumoral circulent dans l’organisme.


SHIVA : porte ouverte à de nombreuses avancées
« Dans le cadre de l’essai SHIVA, nous avons donc recherché chez 34 patients atteints de cancers différents (soit au total 18 types de cancer) les anomalies moléculaires dans les biopsies, mais aussi dans l’ADN tumoral circulant », commente le Dr Christophe Le Tourneau.
SHIVA[1] est un essai clinique innovant, coordonné par le Dr Christophe Le Tourneau dans lequel, pour la première fois en cancérologie, le choix thérapeutique est entièrement basé sur le profil moléculaire de la tumeur, sans tenir compte de la localisation tumorale.
Pour 27 patients, 28 des 29 anomalies moléculaires détectées dans les biopsies l’ont été dans l’ADN tumoral circulant. Par ailleurs, une anomalie non détectée dans les biopsies a été identifiée dans l’ADN tumoral circulant. Chez les 7 autres patients, la recherche des anomalies n’avait pas pu être effectuée dans les biopsies. En revanche, elle a été possible dans l’ADN tumoral circulant.
 « Cette étude est la première à montrer la faisabilité de la recherche de plusieurs anomalies moléculaires éligibles pour une thérapie ciblée dans l’ADN tumoral circulant par des techniques utilisées en routine chez des patients métastatiques et atteints de différents types de cancer », commente le Pr Jean-Yves Pierga. « Au-delà d’être moins invasive, moins douloureuse et plus économique, la recherche des anomalies dans l’ADN tumoral circulant est une alternative fiable aux biopsies. »
En raison du développement de nouvelles thérapies ciblées, mais aussi de l’extension de leur prescription, le recours aux tests moléculaires est en pleine expansion. « Ces résultats présentent donc une alternative prometteuse, d’autant plus que les biopsies (surtout au niveau des métastases) ne sont pas toujours réalisables chez les patients », conclut le Dr Christophe Le Tourneau.



 
Catherine GOUPILLON – SENGHOR
Responsable des relations presse

Institut Curie Paris l Orsay l Saint-Cloud

téléphone : +33 (0)1 56 24 55 23

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[1] L’essai clinique Shiva a été développé en majeure partie grâce à la générosité publique, au financement d’entreprises dont la Fondation EDF, Malakoff Médéric et Swiss Life, et d’associations fidèles de l’Institut Curie,  ainsi que dans le cadre de la labellisation SIRIC (site de recherche intégré sur le cancer) obtenue par l’Institut Curie en 2011.

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MINE D'INFOS: Cancer : repérer les anomalies moléculaires dans l...: Si le message ne s'affiche pas correctement, cliquez ici A ce jour, la recherche des anomalies moléculaires éligibles pour une th...

Cancer : repérer les anomalies moléculaires dans l'ADN tumoral circulant

Si le message ne s'affiche pas correctement, cliquez ici

A ce jour, la recherche des anomalies moléculaires éligibles pour une thérapie ciblée s’effectue à partir de l’analyse d’un prélèvement de la tumeur. Les médecins de l’Institut Curie viennent de démontrer la fiabilité d’une technique peu invasive et moins douloureuse pour les patients : l’analyse de l’ADN tumoral circulant à partir d’une simple prise de sang.
Fer de lance de la médecine de précision, les thérapies ciblées ne peuvent être proposées qu’aux patients porteurs de l’anomalie moléculaire qu’elles visent. « Leur prescription nécessite donc de rechercher dans les cellules tumorales si l’anomalie est bien présente » explique le Dr Christophe Le Tourneau, responsable du pôle Médecine de précision à l’Institut Curie. « Aujourd’hui cette recherche s’effectue principalement à partir des prélèvements de la tumeur. » Or la biopsie est un acte invasif pour le patient, parfois douloureux et pouvant nécessiter une hospitalisation.
« Une alternative serait de rechercher les anomalies moléculaires éligibles pour une thérapie ciblée dans l’ADN tumoral circulant obtenu à partir d’un simple prélèvement sanguin » se réjouit le Pr Jean-Yves Pierga, chef du département d’Oncologie médicale à l’Institut Curie et spécialiste des biomarqueurs circulants. Il existe en effet un phénomène naturel de dégradation des cellules normales ou tumorales dans l’organisme et ce, afin d’assurer le renouvellement des tissus. Les cellules tumorales sont dégradées et des brins d’ADN tumoral circulent dans l’organisme.

MINE D'INFOS: C'est à lire : Refonder le système de protection s...

MINE D'INFOS: C'est à lire : Refonder le système de protection s...: A l'occasion de la sortie en librairie de Refonder le système de protection sociale : Pour une nouvelle génération de droits sociaux ...

C'est à lire : Refonder le système de protection sociale : pour une nouvelle génération de droits sociaux...

A l'occasion de la sortie en librairie de Refonder le système de protection sociale : Pour une nouvelle génération de droits sociaux, de Bernard Gazier, Bruno Palier et Hélène Périvier,
Le Centre d'études européennes de Sciences Po invite les journalistes  à une  rencontre avec les auteurs autour d'un petit déjeuner, jeudi 05 février 2015, à 08h30. La présentation aura lieu dans les locaux de Sciences Po, au 27 rue Saint Guillaume 75007 Paris
Vous pouvez dors et déjà trouver un certains nombre d'articles autour de l'ouvrage en suivant les liens suivants :
Pour de nouveaux droits sociaux (Le Monde),
Un nouvel âge des droits sociaux (Les Echos),
Alternatives économiques,
Liens socio,
Acteurs publics

MINE D'INFOS: C' est à lire : L’Atelier Créatif des soutifs

MINE D'INFOS: C' est à lire : L’Atelier Créatif des soutifs: L’Atelier Créatif des soutifs Kathryn Kemp-Griffin . Mise en vente : 4 février 2015 - Prix : 4,99 € Cet ouvrage est publié...

C' est à lire : L’Atelier Créatif des soutifs

L’Atelier Créatif des soutifs
Kathryn Kemp-Griffin.

Mise en vente : 4 février 2015 - Prix : 4,99 €
Cet ouvrage est publié en collaboration avec l’association Pink Bra Bazaar
qui a pour but la sensibilisation à la lutte contre le cancer du sein.
Larousse a décidé de soutenir l’association Pink Bra Bazaar créée en 2010 qui repose sur une idée originale : associer les femmes et les marques de lingerie dans un même combat, la lutte contre le cancer du sein.
Tout au long de l’année, cette association organise des rendez-vous inattendus pour informer et sensibiliser les femmes sur cette maladie.
Elle est la première association à réunir les femmes et les acteurs du secteur de la lingerie (boutiques, fabricants, créateurs, stylistes, médias) autour d’un même objectif : lutter contre le cancer du sein.
La fondatrice de l’association, elle-même guérie d’un cancer grâce à un dépistage précoce, a eu l’idée de parler de prévention grâce à un vêtement très féminin, le soutien-gorge.
Larousse apporte un soutien Mécène à cette association et cette cause. Une partie des recettes sera reversée à l’association.
L’ouvrage propose
  • 23 projets créatifs pour donner une nouvelle vie à un soutien-gorge : head band, bracelets, doudou, sacs… beaucoup d’idées pour une démarche positive !
  • Des coloriages et des pages de notes pour créer et consigner son propre projet.
  • Un concours : pour soutenir la lutte contre le cancer du sein et gagner l’un de nos lots, le lecteur doit remplir et découper le bulletin de participation inclu dans l’ouvrage
    et l’envoyer avec une photo de sa création chez Larousse. Voici le lien de l’adresse à laquelle le concours et son règlement seront disponibles :
    http://www.editions-larousse.fr/concours-pinkbrabazaar.
Pour sensibiliser au cancer du sein !
21 x 21 cm ; 48 pages ; broché
Relations presse : Sylvie Triau ▫ 01 44 39 43 88 ▫ striau@larousse.fr

Éditions Larousse – 21, rue du Montparnasse, 75283 PARIS Cedex 06 www.editions-larousse.fr

C'est à lire : ELLE S’APPELAIT EMMA un témoignage poignant



 

Sortie en librairie le 26 janvier du livre ELLE S’APPELAIT EMMA écrit par le journaliste ALAIN THIESSE. Dans ce livre, Alain Thiesse raconte son combat contre l’acharnement thérapeutique pour tenter de sauver sa fille Emma, une grande prématurée.





 Cet ouvrage est préfacé par le Professeur de pédiatrie Pierre Monin.

"Cette part de vie narrée avec pudeur et vérité nous fait entrevoir la profondeur de la détresse d’un père confronté à la fois au mystère de la vie, à la découverte de sa paternité, aux angoisses de la prématurité et à la crainte d’une inéluctable fin. Dans ce cri, long de plusieurs mois, de plusieurs années, l’auteur nous livre une analyse nécessairement subjective du vécu de ces heures intenses marquées par sa souffrance et sa douloureuse confrontation à celle de son épouse."

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Extrait de la préface du Professeur Pierre Monin

Elle s’appelait Emma est l’histoire émouvante d’un bébé né trop tôt, grand prématuré, que l’on n’arrivera pas à sauver et qui s’éteindra dans sa sixième année. Son père, Alain Thiesse, est journaliste à l’Est Républicain. Dans ce vibrant hommage à sa fille Emma, il raconte son calvaire entre espoir et désespoir, réanimation, acharnement thérapeutique et handicap. « C’était ma fille. Mon seul et unique enfant. Mon Trésor, mon amour. 720 g, 30 cm… Elle n’a attendu que 5 mois de grossesse pour venir voir à quoi ressemblait le monde. Un bébé né trop tôt. En état de mort apparente. Elle sera réanimée par les médecins de l’unité de néonatologie à la naissance. Sans qu’on nous demande notre avis. Je les avais prévenus. »

À l’heure où les débats sur la fin de vie des grands prématurés* commencent à trouver un large écho, ce livre poignant paru en février dernier et aujourd’hui réactualisé, a le mérite de poser les vraies questions : celles qui dérangent mais qui sont nécessaires à la prise en compte d’une meilleure communication et de plus d’humanité entre patients, familles des patients et monde médical.


                                                                                                            *  Cf. Le cri de détresse des parents de Titouan, un grand prématuré né trois mois et demi avant le terme, qui finiront par être entendu par le CHU de Poitiers en obtenant « l’accompagnement de fin de vie ».


MINE D'INFOS: Ligue de l'enseignement Service civique accompagne...

MINE D'INFOS: Ligue de l'enseignement Service civique accompagne...: La Ligue* accompagnera la montée en puissance du service civique Lors de ses vœux aux acteurs de l’économie et de l’emploi, le président d...

Ligue de l'enseignement Service civique accompagnera la montée en puissance du service civique



La Ligue* accompagnera la montée en puissance du service civique
Lors de ses vœux aux acteurs de l’économie et de l’emploi, le président de la
République a souhaité une montée en charge du service civique et annoncé «
100 000 volontaires au plus vite, 150 000 en 2017 ».


La Ligue de l’enseignement se réjouit de ces déclarations qui constituent un
pas décisif vers un service civique pour tous. Premier organisme d’accueil avec
9 100 volontaires depuis 2010, nous sommes prêts à accompagner le développement
de ce programme, sur l’ensemble du territoire.


Le service civique est à la fois une étape et une expérience dans la vie d’un
jeune. Servir l’intérêt général, (re)trouver le goût du collectif, exercer et valoriser
sa citoyenneté dans le respect des autres sont autant de remparts contre
l’intolérance. S’il est pris comme tel, le service civique peut être, pour tous les
jeunes, un outil d’intégration dans le débat public, d’ouverture à des enjeux de
société et de transmission de valeurs. C’est ce que nous défendons depuis sa
création.


Sources : communiqué presse du 19 janvier 2015

En savoir plus


*Association reconnue d’utilité publique par décret du 31 mai 1930, titulaire d’une concession de service public par décret du 8 janvier 1985
Siège social : 3, rue Récamier 75341 Paris cedex 07 • Direction générale des services : 21 rue Saint-Fargeau
CS72021 75989 Paris cedex 20 • Fax 01 42 84 13 34 (siège), 01 43 58 95 08 (DGS) •
email : informations@laligue.org • site : http://www.laligue.org/ • TVA FR 06 775 666 415 •
SIRET 775 666 415 000 10 • NAF 9499 Z
 

Contact presse 
Marie-Sophie Thiroux
msthiroux@laligue.org

MINE D'INFOS: Le recul de l'âge minimal du départ à la retraite ...

MINE D'INFOS: Le recul de l'âge minimal du départ à la retraite ...: V IENT DE PARAÎTRE, dans la collectio n Études et Résultats , n° 902 , janvier 2015 Le 20 janvier 2015 ...

Le recul de l'âge minimal du départ à la retraite aurait peut d'effet ...

VIENT DE PARAÎTRE,
dans la collection Études et Résultats,
902, janvier 2015
Le 20 janvier 2015
Nadine Barthélemy, Alessandra Di Porto et Julien Samak
Les nouveaux retraités du régime général ont en moyenne 62 ans lorsqu’ils liquident leur pension, entre juillet 2012 et juin 2013. Le recul de l’âge légal d’ouverture des droits entraîne une augmentation de 7 mois de l’âge moyen de liquidation par rapport à celui des retraités partis deux ans plus tôt.

Les nouveaux retraités ont été interrogés en 2014 sur leurs motivations de départ et sur leur connaissance des dispositifs. Le recul de l’âge légal d’ouverture des droits a un effet très limité sur ces motivations. Comme dans les enquêtes de 2010 et 2012, les trois quarts d’entre eux partent dès qu’ils en ont la possibilité parce qu’ils ont atteint le taux plein ou l’âge légal, ou encore parce qu’ils souhaitent profiter de la retraite le plus longtemps possible.
Comme en 2012, huit nouveaux retraités sur dix ont le sentiment d’avoir été bien informés sur leurs droits, mais ils manquent de connaissances précises sur la durée requise pour bénéficier du taux plein et sur certains dispositifs.
Contact PRESSE : drees-infos@sante.gouv.fr
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