Nora ANSELL-SALLES

mardi 24 mars 2015

MINE D'INFOS: Café nile avec Claude Leicher (MG France) - 18 Mar...

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MINE D'INFOS: Interview Luis Godinho, Président de l'UNSAF lors ...

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MINE D'INFOS: 100 Visages pour une Loi de Santé - Eric Henry

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Interview Luis Godinho, Président de l'UNSAF lors du Café nile 18/3/15


Café nile avec Claude Leicher (MG France) - 18 Mars 2015


MINE D'INFOS: Serge Brichet invité du Café nile le mercredi 25 ...

MINE D'INFOS: Serge Brichet invité du Café nile le mercredi 25 ...:   Serge BRICHET   invité du Café nile mercredi 25 mars de 8h30 à 10h au Sir Winston : « Professionnels de santé et assureurs ...

lundi 23 mars 2015

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MINE D'INFOS: MSF publie une analyse critique de la riposte mond...

MINE D'INFOS: MSF publie une analyse critique de la riposte mond...: Poussés au-delà de nos limites MSF publie une analyse critique de la riposte mondiale au virus Ebola, un an après l’apparition ...

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MINE D'INFOS: MSF publie une analyse critique de la riposte mond...: Poussés au-delà de nos limites MSF publie une analyse critique de la riposte mondiale au virus Ebola, un an après l’apparition ...

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MINE D'INFOS: MSF publie une analyse critique de la riposte mond...: Poussés au-delà de nos limites MSF publie une analyse critique de la riposte mondiale au virus Ebola, un an après l’apparition ...

MSF publie une analyse critique de la riposte mondiale au virus Ebola, un an après l’apparition de l’épidémie



Poussés au-delà de nos limites
MSF publie une analyse critique de la riposte mondiale au virus Ebola,
un an après l’apparition de l’épidémie la plus meurtrière de l'histoire
Rapport: http://www.calameo.com/books/003152624b687595bc7c2



Genève, le 23 mars 2015 – L’organisation médicale internationale Médecins Sans Frontières (MSF) a sorti aujourd’hui une analyse critique portant sur la gestion de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest. Un an après que les premiers cas aient été détectés, l’organisation revient sur la faiblesse de la réponse apportée et met en garde sur le fait que, malgré une diminution importante du nombre de cas, l’épidémie n’est pas terminée. 
Le rapport « Poussés au-delà de nos limites », repose sur des entretiens réalisés avec des dizaines de membres du personnel qui ont été impliqués dans la gestion de l’épidémie sur le terrain. Il décrit les toutes premières mises en garde de l’organisation, il y a juste un an, quand l’épidémie se répandait dans toute la Guinée ; le déni des gouvernements des pays touchés alors qu’elle s’étendait progressivement à toute la région ; et la mise en place par MSF d’un projet médical unique par son ampleur en raison de l’inaction des autres acteurs. Au cours de cette période, plus de 1.300 membres du personnel international et 4.000 membres du personnel national ont été déployés en Afrique de l’Ouest, où ils ont pris en charge près de 5.000 personnes atteintes de l’Ebola. 
« Aujourd’hui, nous prenons le temps de la réflexion. Analysant non seulement la manière dont nous avons réagi à la plus grande épidémie d’Ebola jamais constatée, mais aussi la réponse apportée par les différents acteurs » rapporte Joanne Liu, Présidente de MSF international. « Cette épidémie, par son caractère exceptionnel, a mis en lumière l’inefficacité et la lenteur de la réponse apportée par les acteurs de l’aide humanitaire et médicale lors d’une telle situation d’urgence ». 
Le rapport revient sur les conséquences médicales de l’apathie de la « coalition de l’inaction » dénoncée par MSF durant plusieurs mois début 2014, période pendant laquelle le virus a disposé de temps pour se propager, nous obligeant à faire appel à la mobilisation de matériel médical, civil et militaire et à des moyens de réponse spécifiques aux catastrophes biologiques. Fin août 2014, notre centre de d’Ebola d’Elwa 3 à Monrovia était totalement submergé de patients. Notre staff était obligé de renvoyer chez elles des personnes visiblement malades, tout en sachant bien qu’en rentrant dans leurs communautés, elles seraient de nouveaux vecteurs de la propagation du virus. 
« On a souvent dit que cette épidémie était le fruit d’une accumulation de mauvaises circonstances. Une épidémie étendue sur plusieurs pays, dotés d’un système de santé faible et n’ayant jamais dû faire face au virus Ebola » dit Christopher Stokes, le Directeur Général de MSF. « Cette explication est bien trop facile. L’ampleur atteinte par cette épidémie d’Ebola est aussi due à une réaction défaillante de plusieurs institutions. Leur inaction eut des conséquences tragiques qui auraient pu être évitées. » 
Le rapport revient également sur le défi que la réponse à l’épidémie a représenté pour MSF et sur les choix difficiles que nous avons parfois été amenés à faire en l’absence de moyens suffisants et de traitements efficaces de la maladie. Alors que notre expérience de l’Ebola était cantonnée à un groupe d’experts relativement restreint, il nous était difficile de réagir plus adéquatement.
Devant l’ampleur de la catastrophe et la faiblesse de la réaction internationale, nous avons souvent dû nous limiter à une pure gestion des dommages. Incapables de répondre à tous les défis à la fois -le traitement des patients, la surveillance des nouveaux cas, l’enterrement des morts, entre autres activités- nous avons dû nous résoudre à des compromis. 
« Pendant la période la plus critique, les équipes de MSF étaient juste incapables d’admettre davantage de patients ou de donner les meilleurs soins possibles » se rappelle le Dr Liu. « Cette expérience était traumatisante pour une organisation de médecins volontaires comme la nôtre. De nombreuses discussions, et parfois même, des tensions ont éclaté au sein même de MSF. »
Une réflexion est en cours au sein de MSF, afin de tirer des leçons de l’épidémie actuelle pour une meilleure gestion des épidémies futures. Nous analysons notamment notre base de données de patients pour définir les multiples facteurs influant sur le taux de mortalité. Plus important encore, nous soutenons la recherche et le développement de vaccins, de traitements et d’outils de diagnostic fiables et faciles à utiliser. 
Mais le plus grand défi reste à venir. Pour que l’épidémie puisse être déclarée « sous contrôle », chaque personne qui a été en contact avec une personne infectée par le virus doit être identifiée. Nous n’avons pas droit à l’erreur et nous ne pouvons pas relâcher notre attention. Le nombre de nouveaux cas détectés chaque semaine demeure supérieur à celui constaté lors des épidémies d’Ebola précédentes. En outre, le nombre total de cas ne diminue plus significativement depuis fin janvier.
En Guinée, le nombre de patients atteints par Ebola augmente même à nouveau. En Sierra Leone, de nombreux patients identifiés ne figurent pas sur les listes de personnes ayant été en contact avec d’autres personnes contaminées. Le Libéria a entamé le décompte des jours avant l’annonce de la fin de l’épidémie mais demeurera une zone à risque tant que le virus sera présent dans les pays voisins.
« L’épidémie d’Ebola a aussi ébranlé la confiance que la population a envers le système de santé et démoralisé les travailleurs du secteur. Les gens sont non seulement appauvris et endeuillés. Mais ils sont aussi devenus suspicieux, » constate le rapport. 
Dans les 3 pays les plus touchés par l’épidémie, près de 500 travailleurs de la santé ont péri au cours de l’année. Ces pertes tragiques affaiblissent davantage des structures médicales déjà fragiles avant le début de l’épidémie. Rétablir un accès de base aux soins de santé doit être la première étape de la reconstruction des systèmes de santé dans les pays touchés par l’épidémie. 
« Des milliers de personnes ont payé de leur vie l’échec de la réponse apportée à l’épidémie. Nous devons analyser toutes les raisons de cette catastrophe médicale sans précédent, de la faiblesse des systèmes de santé nationaux, à la lenteur et à la paralysie de l’aide humanitaire internationale », conclut le rapport.


MINE D'INFOS: Victoire juridique pour la vente de médicaments en...

MINE D'INFOS: Victoire juridique pour la vente de médicaments en...: Victoire juridique pour la vente de médicaments en ligne L'arrêté du 20 juin 2013 relatif aux bonnes pratiques de dispensation d...

Victoire juridique pour la vente de médicaments en ligne

Victoire juridique pour la vente de médicaments en ligne
L'arrêté du 20 juin 2013 relatif aux bonnes pratiques de dispensation
des médicaments sur Internet annulé par le Conseil d'Etat
23 mars 2015
1001Pharmacies.com, premier portail français de vente en ligne de produits de santé, accueille avec satisfaction la décision du Conseil d'Etat. Une annulation qui permet aux pharmaciens français de relancer le débat et d'entrevoir sous de meilleurs auspices leur évolution vers la vente de médicaments en ligne.
Par décision du 16 mars 2015, le Conseil d'Etat a annulé pour excès de pouvoir l'arrêté du 20 juin 2013, relatif aux bonnes pratiques de dispensation des médicaments sur Internet.
Rappel des faits
19 décembre 2012 : ordonnance autorisant la vente en ligne de médicaments en France.
31 décembre 2012 : publication du décret comportant un volet sur le e-Commerce.
20 juin 2013 : décret sur les bonnes pratiques de dispensation et de vente en ligne pour les pharmacies physiques, autorisant la vente en ligne des 4.000 médicaments disponibles sans ordonnance. Sous les pressions des syndicats de pharmacies et du CNOP le décret est devenu inapplicable et trop strict : interdiction aux pharmaciens français de faire de la publicité pour leur site web, obligation de collaboration avec des hébergeurs de données de santé très coûteux, interdiction de regroupement sur internet de plusieurs officines, etc.
Fin juin 2013 : 3 recours déposés devant le Conseil d'Etat, dont celui de 1001Pharmacies, afin de demander la suppression des restrictions et incohérences mettant en péril les activités online des pharmaciens français. Ces restrictions avaient pour incidence d'une part de favoriser le développement de sites étrangers, plus ou moins légaux, qui vendent des médicaments en ligne sur le territoire français, et, d'autre part, de provoquer la détérioration de l'équilibre économique des officines françaises.
Une première victoire pour les Français et la vente en ligne
A l'initiative de 1001Pharmacies et du cabinet d'avocats CMS Bureau Francis Lefebvre, cette annulation est fondée sur le double motif que, d'une part, l'arrêté n'a pas été soumis, préalablement à son adoption, à l'avis de la Commission européenne, rendu obligatoire par la directive 98/34 ; et que, d'autre part, le Conseil d'Etat a souligné que nombre des dispositions de l'arrêté échappent à la compétence de la ministre et relèvent du décret en Conseil d'Etat.
Les conséquences de cette annulation
- Le ministère doit adopter un nouvel arrêté fixant les bonnes pratiques, et revoir, d'ici un an, l'ensemble de la législation relative à la vente du médicament par internet (comme prévu à l'article R 4235-18 du code de la santé publique).
- Cette annulation fragilise les poursuites engagées par le CNOP à l'encontre de certains pharmaciens offrant un service de vente en ligne. Dans la plupart des cas, les poursuites étaient fondées sur l'arrêté qui vient d'être annulé. C'est notamment le cas des poursuites engagées à l'encontre de 1001Pharmacies.com.
"Avec plus de 10 ans de retard par rapport à nos voisins européens, nous attendions avec impatience, en 2012, cette loi qui promettait d'encadrer le marché de la vente en ligne de médicaments en France. Malheureusement, beaucoup trop de restrictions se sont retrouvées dans cet arrêté de bonnes pratiques ! Cette loi a eu pour effet de dissuader les officines françaises de se développer sur Internet, et a même entraîné le développement d'acteurs belges sur le marché national, au détriment des pharmacies françaises. Depuis plus de 3 ans, nous constatons que les pharmaciens français ne sont pas tous capables de s'affirmer seuls sur la vente en ligne, face à des gros acteurs européens. Il est donc impératif de permettre le regroupement de plusieurs officines sur des plateformes Internet mutualisées, pour développer enfin en France le marché de la pharmacie en ligne."
Cédric O'Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies.com.
1001Pharmacies en chiffres :
Nombre de clients : 500.000
Nombre de visiteurs uniques : 1.000.000
Nombre de vendeurs et pharmacies partenaires : 600
Volume de ventes : 7M€ en 2014
Volume de ventes : 22M€ prévisionnels en 2015
35 salariés
1001pharmacies.com
1001pharmacies.com est développée par la société eNova Santé SAS, basée à Montpellier (34). Lancée en octobre 2012 après 2 ans d'étude et de développement par Cédric O'Neill, Pharmacien et Spécialiste Web, et Sabine Safi, Spécialiste en Marketing sur internet, 1001pharmacies.com est la première plateforme web permettant aux pharmacies de vendre leurs produits et de délivrer leurs conseils sur internet. Aujourd'hui le site référence également d'autres vendeurs spécialisés dans la santé pour proposer 15.000 références en matériel médical, vétérinaire, santé connectée, et bien sûr parapharmacie. 1001pharmacies a obtenu dès son lancement le soutien de la Région Languedoc-Roussillon ainsi que de l'Union Européenne et de BPI France, et a réalisé début 2014 une levée de fonds de 2 millions d'euros.
Pour en savoir plus : http://www.1001pharmacies.com.

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MINE D'INFOS: C'est à lire : Newsletter réalisée par Gérard Biet...: Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos comment...

C'est à lire : Newsletter réalisée par Gérard Bieth

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L'actualité des sites Internet et réseaux sociaux
Santé et Travail ouvre une rubrique d'actualité pour plus de réactivité

16/03/15 - A retrouver sur le site du magazine trimestriel un lundi sur deux la nouvelle rubrique " Dans l'actu " qui propose un résumé sur les éléments saillants de la quinzaine écoulée en matière de santé au travail.
Cette nouvelle rubrique pourra donner lieu, suivant l'actualité, à des traitements complémentaires sous forme d'articles ou d'enquêtes plus fouillées réalisées par ses journalistes.
> L'actualité du 16 mars 2015

Sondages - enquêtes

Prescription en DCI obligatoire depuis 1er janvier 2015. Quel effet ?

Les comportements des médecins ont bien changé en la matière selon une enquête menée par Vidal en février 2015 auprès de 1 600 médecins et 400 pharmaciens.

 En effet, 43 % des généralistes et 32 % des spécialistes reconnaissent avoir modifié leurs pratiques de prescription depuis le 1er janvier dernier. Et 15 à 18 % ont l'intention de le faire prochainement. En général, ils optent pour une prescription en " DCI + nom de marque ". Toutefois, les réticences restent fortes : 42 % des généralistes et 50 % des spécialistes ne souhaitent pas changer leurs pratiques. Par ailleurs, les logiciels d'aide à la prescription des généralistes ont également évolué : 36 % éditent systématiquement aujourd'hui une ordonnance en DCI + nom de marque, contre seulement 12 % lors de la précédente enquête en juin 2014. De leur côté, les pharmaciens confirment cette évolution avec une diminution de 13 % du nombre d'ordonnances rédigées seulement en " nom de marque " entre juin 2014 et février 2015 (52 % du total contre 65,3 %). 

Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 642 du 15 mars 2015
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